Archive pour la catégorie 'sauvons la planète'

L’homme et la nature, le couple infernal

 

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L’Homme et la Nature : le couple infernal !

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Je t’aime, moi non plus… Quel refrain s’applique mieux aux relations qui lient la Nature et l’Homme depuis les origines ?

Nous aimons la Nature, certes, mais ne cessons de nous en méfier, de chercher à l’apprivoiser et parfois à la détruire au point de compromettre notre avenir commun.

Vous avez du feu ?

N’exagérons rien : ce n’est pas le jour où l’un de nos lointains ancêtres a brisé une branche qu’il a commencé à détruire son environnement. Mais ce geste est le symbole de sa capacité à soumettre un environnement qui, au fond, le terrifie.

Alors que la plupart des animaux se contentent de s’adapter aux contraintes naturelles, les bipèdes vont décider de s’en émanciper. Une belle flambée et fini le froid, l’obscurité, les prédateurs !

Arrivés en Europe, les voilà qui regardent d’un mauvais œil rhinocéros laineux, aurochs et autres tigres aux dents de sabre. Qu’à cela ne tienne ! Quelques artistes talentueux apprivoiseront ces nuisibles sur les parois des grottes de Chauvetou Lascaux. Et si cela ne suffit pas, soyons sûr que la pratique de plus en plus habile et donc efficace de la chasse ou de la pêche aura aidé certaines espèces à déserter notre voisinage.

Si l’on discute toujours aujourd’hui de leur responsabilité dans la disparition des célèbres mammouths (12 000 av. J.-C.) et de plusieurs de leurs collègues herbivores, on doit reconnaître que nos chers Homo sapiens et Neandertal sont loin de l’image d’Épinal. Ils avaient déjà en effet, à leur petite échelle, un impact non négligeable sur leur environnement.

Saura-t-on jamais s’ils n’ont pas fait disparaître pour toujours des dizaines de plantes ? N’estime-t-on pas que près de 80 % des grands mammifères américains ne se remirent pas de leur rencontre avec l’Homme, dès lors qu’il eût repéré le passage du détroit de Béring (12 000 av. J.-C.) ? Les prédateurs ont changé de camp !

« La Nature est un temple… » (Baudelaire)

Il y a environ 10 000 ans, nos chasseurs se font paysans. Ils commencent à sélectionner et parquer les animaux et les plantes et donnent naissance à de nouvelles espèces souvent inaptes à survivre à l’état sauvage. Savez-vous ainsi que nos races de vaches ou moutons ont moins de 150 ans ?

Aussi longtemps que la terre abonde, les premières communautés paysannes ne font pas de manières.

Elles brûlent une parcelle de forêt et sèment des graines sur les cendres. Lorsque le sol est épuisé, elles vont un peu plus loin renouveler l’opération. Cette agriculture primitive sur brûlis, destructrice de la sylve et de l’humus, est encore pratiquée du Brésil à l’Indonésie en passant par l’Afrique tropicale et Madagascar.

Puis, nos chers aïeux transforment les forêts en champs permanents ou en rizières. Ils fondent aussi des villes pour loger une population toujours plus nombreuse et creusent la terre à la recherche de précieux minerais.

Au Moyen-Orient, des cours d’eau artificiels apparaissent grâce à une parfaite maîtrise de l’irrigation qui multiplie les zones cultivées au détriment des forêts de la région.

Celles-ci vont également souffrir de l’augmentation de la population et de ses besoins en matière de construction, de métallurgie et de chauffage, au point de totalement disparaître. Que reste-t-il, en Irak, du Croissant fertile de l’Antiquité ?

Pour imaginer sa splendeur passée, on peut rêver devant les « maisons-montagnes »que sont les ziggourats. Elles rappellent de façon édifiante la place, dans ces sociétés, de la religion dont un des premiers objectifs était alors de se concilier les forces terrifiantes de la nature.

Sont toujours là pour nous le rappeler les grands mythes qui, à l’exemple de celui du déluge, cherchent à expliquer les colères de la Terre.

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Du côté du Nil, une grande partie des dieux égyptiens revêtent l’apparence d’animaux sauvages. Ils témoignent du mélange de crainte et d’admiration que les habitants ressentent pour la Nature. Parfois père fouettard, elle est par-dessus tout la mère nourricière qui dispense ses bienfaits.

Tout cela est très bucolique

Dans la Grèce antique, l’homme, peut-être moins inquiet pour sa survie, commence à prendre du recul et à s’interroger sur sa place au sein de l’univers. La nature est toujours vénérée pour sa beauté et sa générosité, on honore les sources et célèbre certains arbres comme l’olivier de l’Acropole, mais les dieux perdent leur aspect animal et sont relégués sur l’Olympe.

Pour les philosophes, la nature commence à se réduire à un ensemble unifié, parfaitement organisé et soumis à l’homme : « S’il est bien des merveilles en ce monde
Il n’en est pas de plus grande que l’homme »
 (Sophocle, Antigone).

Ne soyons donc pas surpris que les Grecs fassent preuve de brutalité en déboisant sans remords la péninsule hellénique et les îles de la mer Égée, que Platon comparait « à un corps décharné par la maladie » (Critias).

On peut voir dans ces regrets tardifs l’origine du latin locus amoenus (« lieu agréable ») pour désigner la nature originelle où le sage Lucrèce aurait aimé trouver beauté et repos (De natura rerum, 1er siècle av. J.-C).

Cette nature idéalisée se retrouve dans le mythe de l’Âge d’or évoqué par Ovide : « La terre, sans être violée par la houe, ni blessée par la charrue, donnait tout d’elle-même »(Métamorphoses).

Les Romains, en effet, ne cessent d’encenser la vie des bergers (Virgile, Les Bucoliques, 1er siècle av. J.-C.), tout en célébrant par la création des villes et des réseaux routiers leur victoire sur la sauvagerie.

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Ode à la nature

« Heureux vieillard, tes champs te resteront donc ! et ils sont assez étendus pour toi, quoique la pierre nue et le jonc fangeux couvrent partout tes pâturages. Des herbages inconnus ne nuiront pas à tes brebis pleines, et le mal contagieux du troupeau voisin n’infectera pas le tien. Vieillard fortuné ! là, sur les bords connus de tes fleuves, près de tes fontaines sacrées, tu respireras le frais et l’ombre. Ici l’abeille d’Hybla, butinant sur les saules en fleurs qui ceignent tes champs de leur verte clôture, t’invitera souvent, par son léger murmure, à goûter le sommeil : et tandis que du haut de la roche l’émondeur poussera son chant dans les airs, tes chers ramiers ne cesseront de roucouler, la tourterelle de gémir, sur les grands ormeaux » (Virgile, Les Bucoliques, 1er siècle av. J.-C.).

Du Paradis au purgatoire

La culture médiévale renoue avec la nostalgie du Paradis terrestre où l’Homme vivait en paix. Malheureusement, les meilleures choses ont une fin et voilà les hommes condamnés à subsister dans une nature hostile à laquelle ils doivent jour après jour arracher leur subsistance.

Suite à l’effondrement des institutions romaines, aux grandes invasions et à la dépopulation, la forêt a partout pris sa revanche.

Après l’An Mil, la reconquête agricole est favorisée par le réchauffement climatique et la croissance de la population.

Les défrichements et l’extension des labours font reculer partout la forêt et la lande, au point d’inquiéter les seigneurs, grands chasseurs devant l’Éternel.

En 1346, par l’ordonnance de Brunoy, le roi de France Philippe VI limite sévèrement les droits d’usage dans les forêts du domaine royal « afin qu’ils se puissent perpétuellement soustraire en bon état ». C’est sans doute la plus ancienne loi écologique du monde !

Nos campagnes prennent leur aspect actuel avec le maillage du territoire par lesvillages et les monastères, très actifs dans la gestion du patrimoine naturel.

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Les chemins, les canaux et les mares, les haies et les bocages remodèlent les paysages et les humanisent tout en enrichissant leur biodiversité.

En Extrême-Orient, dans la Chine des Song (Xe-XIIe siècles), on poursuit avec la même assiduité la domestication de la nature, des fleuves et des montagnes avec force digues et terrasses.

Comme en Occident, les paysans développent une agriculture économe des ressources naturelles et apprennent à gérer la pénurie. La cuisine chinoise conserve le souvenir de cette pénurie à travers l’art d’accommoder les restes.

Les villes explosent grâce entre autres au développement du commerce le long des voies navigables, pour certaines artificielles tel le Grand Canal qui unit sur 1 700 km Pékin à Hangzhou.

Plus au sud, les Khmers mettent au pas la nature tropicale autour d’Angkor, où ils entreprennent de gigantesques aménagements hydrauliques pour établir leur métropole religieuse (IXe-XIVe siècle). Mais la démesure de leur entreprise va les conduire à leur perte…

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Même chose en ce qui concerne lacivilisation maya (IX-XIe s.), en Amérique centrale, dont l’effondrement aurait été provoqué par une agriculture intensive sur brûlis entraînant déforestation et usure des sols.

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Le choc des Grandes Découvertes

Le jour de 1492 où Christophe Colomb a posé le pied sur le continent américain, l’histoire des rapports entre l’Homme et la nature s’est emballée.

On connaît les conséquences humaines des Grandes Découvertes : la réduction de 90 % de la population amérindienne en 150 ans du fait essentiellement de l’introduction involontaire du virus de la variole, contre lequel les Amérindiens, à la différence des Européens, n’étaient nullement immunisés. À ce « choc microbien » s’ajoutent les guerres indiennes et l’introduction massive d’esclaves africains. (…)

Extrait de Hérodote

Faut-il que le monde aille mal pour que les idées de génie sortent de l’ombre ?

 

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Des frigos en libre service à Berlin pour lutter contre la faim et

le gaspillage.

À l’initiative d’une association de partage de nourriture, plusieurs dizaines de réfrigérateurs parsèment la capitale allemande Berlin, et ce, pour lutter contre le gaspillage et contre la faim.

Formidable initiative qu’a eu l’association Lebensmittelretten, un site participatif qui facilite le partage de nourriture entre les particuliers, en proposant des frigos en libre service dans toute la ville de Berlin, gratuitement.

Dix millions de tonnes. C’est le chiffre gênant que représente le gaspillage alimentaire par an, uniquement en France.

Un problème particulièrement sérieux, surtout quand on sait qu’une grande partie de ce gaspillage alimentaire est toujours consommable.

Alors à Berlin, en Allemagne, l’association Lebensmittelretten a mis en place plusieurs frigos dans toute la ville, où n’importe qui peut déposer de la nourriture, en suivant une seule et unique règle : n’y déposer que de la nourriture que l’on pourrait finalement manger soi-même.

En plus de compter sur la générosité des habitants, les 1700 bénévoles de l’association parcourent les magasins et restaurants de la ville pour y récupérer les denrées qui ne seront pas consommées.

Là où l’opération est un succès, c’est que les professionnels participent activement à l’opération et ont décidé de jouer le jeu.

En effet, là où en France, supermarchés et restaurants, en général, luttent pour que cette nourriture ne soit pas redistribuée… Là bas, ils sont partenaires et participent au remplissage de ces réfrigérateurs.

Lutter contre le gaspillage alimentaire, un enjeu essentiel de notre siècle. Bravo, et merci.

Une opération qui n’est pas sans nous rappeler l’initiative de cet homme qui a trouvé un moyen de lutter contre la faim, gratuitement.

http://positivr.fr/des-frigos-en-libre-service-berlin-pour-lutter-contre-la-faim-et-le-gaspillage/?utm_source=POSITIVR&utm_campaign=add38dd563-POSITIVletter&utm_medium=email&utm_term=0_f3b350e410-add38dd563-97835509&mc_cid=add38dd563&mc_eid=85da1626aa

L’homme, la triste réalité

 

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Publié dans:coup de gueule, sauvons la planète |on 16 juin, 2014 |1 Commentaire »

les 7 dons de l’enfant

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Un enfant naît avec sept dons naturels.

Le premier est l’innocence, le second est l’ouverture d’esprit, le troisième est l’imagination, le quatrième est la confiance, le cinquième est une passion pour la vie, le sixième est la compassion pour la vie, le septième est le courage.

Voilà les dons que le monde tente de dérober à chaque enfant, en les remplaçant par sept traits inférieurs comme la culpabilité, l’étroitesse d’esprit, le conformisme, le doute, l’apathie, l’insensibilité et la peur.

Comme Gédéon, j’ai découvert la face sombre de l’humanité quand j’étais encore enfant, lorsque j’ai vu assommer un bébé phoque pour la première fois. Mais j’ai aussi eu la joie de voir les baleines et de nager au milieu des castors, des dauphins, des phoques et des poissons.

Mon enfance m’a donné pour toute ma vie l’amour des autres créatures et de la nature, et pour toute ma vie aussi la passion de défendre et protéger. Elle m’a aussi fait entrevoir les choses auxquelles je ne voulais pas prendre part. Lorsque j’étais enfant, je me disais que je ferais cesser le massacre des phoques et que je protègerais les animaux sauvages.

Mes expériences enfantines ont modelé mon évolution en tant qu’adulte, et je n’ai jamais perdu cette innocence, j’ai gardé un esprit ouvert, nourri mon imagination et conservé ma confiance, ma passion et ma compassion, et renforcé mon courage.

Les livres que j’ai lus, les oiseaux dont le chant m’a émerveillé, les animaux que j’ai vus, les grands professeurs que j’ai écoutés et l’amour qui emplissait constamment mon cœur m’ont gardé sur la voie de la compassion.

Chaque enfant a le potentiel pour la grandeur, et cette grandeur peut être nourrie simplement en ne renonçant pas aux sept vertus positives pour les remplacer par les sept traits négatifs.

Les rêves d’un enfant peuvent se réaliser s’il ne perd pas les sept dons naturels qu’il reçoit à la naissance. Le secret est simple. Suivez votre cœur, et souvenez-vous que votre cœur n’a jamais tort.

Capitaine Paul Watson

Ce texte est la préface de notre livre « Gédéon et la plage rouge », un livre pour enfants sur les massacres de globicéphales aux iles Féroé qui sera bientôt en vente au prix de 10 euros pour nous aider à financer la prochaine mission aux iles Féroé.

Photo : Genetikmonoeil Bpbo

notre planète dans toute sa splendeur

Pendant que certains détruisent tout, d’autres fixent sur la pellicule ce que bientôt nous ne pourrons plus voir

 

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Publié dans:sauvons la planète |on 25 février, 2014 |Pas de commentaires »

La Video Qui a fait pleurer tout Le monde

 

La vie est un sommeil, l’amour en est le rêve, et vous aurez vécu si vous avez aimé… Alfred de Musset !
 

 

 

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Publié dans:sauvons la planète |on 31 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

MESSAGE AUX PEUPLES DE LA TERRE

MESSAGE AUX PEUPLES DE LA TERRE dans sauvons la planète

Peuples de la terre !

Publiée le 10 oct. 2012

Peuples de la Terre, nous aimerions vous dire à quel point vous êtes inconscients. Nous vous avons déjà dit que petit à petit, vous videz les océans de toute vie. De plus, vous détruisez notre milieu, nos « maisons » en quelque sorte. Il devient de plus en plus difficile pour nous d’exister dans notre propre milieu. Nous aussi avons la conscience de l’existence de la Source. Nous lui avons donc demandé de nous enlever de ce monde. Ce monde n’est plus le nôtre, les océans ne nous abritent plus, nous ne pouvons plus nous nourrir. Vous verrez de plus en plus nos frères, les grands cétacés, ou même ceux que vous appelez les poissons mourir en énormes quantités et au lieu de vous poser des questions, vous trouverez cela normal. Vous trouverez toujours des mauvaises excuses au lieu d’aller réellement au centre du problème ! C’est vous qui êtes le centre du problème !

Pauvres humains ! Vous imaginez que vous êtes des petits dieux parce que vous avez tous pouvoirs ! Vous avez détruit notre milieu de vie et vous détruisez en même temps votre propre milieu de vie ! Vous n’avez pas compris que l’océan est une source considérable de nourriture pour vous et que nous vous offrions cette nourriture avec Amour. Il n’y avait pas que nous, grands mammifères marins, ainsi que les poissons, qui pouvaient vous servir de nourriture ! Il y avait des algues extrêmement bonnes pour nourrir les humains, ainsi que des algues qui pouvaient les soigner de toutes leurs carences.

Nous qui avons la conscience, qui pouvons communiquer par télépathie avec certains humains, nous aurions pu vous donner des indications pour soigner une maladie désastreuse dont ne précisons pas le nom car vous le connaissez aussi bien que nous. Vous n’avez pas pris conscience de tous les dégâts que vous commettez ! Pourquoi cela ? Pour un profit illusoire ! Lorsqu’il ne restera plus rien sur votre monde, vous nourrirez-vous avec votre argent ? Nous sommes malheureux, mais pas pour nous ! Nous sommes malheureux pour vous !

Pour l’instant, les humains, les habitants de la terre ferme, n’ont pas été réellement touchés, ils n’ont pas encore eu le retour de leurs erreurs. Lorsque notre milieu sera encore plus abîmé, ils comprendront ! Il y a longtemps, le grand Dauphin Blanc vous avait dit que les océans ont besoin de nous, ont besoin de la vie de toute la faune marine pour rester en équilibre. L’océan a besoin de l’énergie de vie de ce que nous sommes. Lorsqu’il n’y aura plus cette énergie de vie, les océans, les lacs et les rivières se mettront en colère, ils se révolteront. Vous ne pouvez même pas imaginer ce que l’eau peut faire ! Vous êtes tellement ignorants !

Nous, mammifères marins qui vous parlons, sommes des dauphins, mais les baleines et beaucoup d’autres grands mammifères marins ont aussi une conscience et peuvent communiquer avec vous. Ils ressentent autant de souffrance que celle que nous exprimons. Si nous sommes venus vous parler, c’est pour vous mettre une dernière fois en garde ! Vous ne comprenez pas vos erreurs, donc vous les comprendrez dans la souffrance ! Nous ne sommes pas là pour créer des peurs en vous, car vous êtes suffisamment grands pour vous en créer tous seuls ! Ouvrez les yeux ! Regardez les millions de poissons qui meurent tous les jours ! Regardez l’état de l’eau qui est si sacrée et si utile à la vie ! Vos fleuves et vos lacs deviennent impropres à la vie de nos frères les poissons, et eux-mêmes deviennent impropres à la consommation des humains.

Cela ne vous inquiète-t-il pas ? Cela ne vous cause-t-il aucun chagrin, aucun remord? Pauvres humains ! Lorsque vous vous réveillerez, il sera trop tard ! Nous, les dauphins, dirons que d’une certaine manière cela fait aussi partie du Plan, mais le Plan aurait pu être différent, il aurait pu générer beaucoup moins de souffrance dans ce que nous sommes en tant qu’habitants des océans, des lacs et des rivières. Nous quittons cette magnifique petite planète sans regrets, et nous dirons même avec une immense joie. La seule tristesse qui demeure en nous est de voir à quel point vous êtes encore dans l’ignorance, dans l’obscurantisme, dans la suffisance et dans l’égoïsme.

 

Nous ne pouvons rien faire pour vous ! Plusieurs fois, nous avons essayé de vous mettre en garde, mais cela n’a servi strictement à rien ! Vous direz : « comment un mammifère marin ou un poisson peuvent-ils connaître l’Amour ? » N’oubliez pas que, comme vous, nous sommes Enfants de la Source, et que nous venons d’un monde où la communication entre les êtres était totale.

Monique Mathieu
29/09/2012

Lien Source : http://ducielalaterre.org/fichiers/tr…
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- que vous fassiez référence à notre site 
http://ducielalaterre.org
- que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

 

MESSAGE AUX PEUPLES DE LA TERRE

Publié dans:sauvons la planète |on 12 mai, 2013 |Pas de commentaires »

VOICI LE MONDE DANS LEQUEL NOUS VIVONS

 

VOICI LE MONDE DANS LEQUEL NOUS VIVONS dans sauvons la planète dans sauvons la planète

 

 

La moitié de la nourriture mondiale part à la poubelle

Selon une étude de l’Institution of Mechanical Engineers (IME) britannique, 30% à 50% de la production mondiale, soit de 1,2 à 2 milliards de tonnes d’aliments, n’arrive jamais dans les assiettes et sont jetés au lieu d’être consommés.

La raison de ce gaspillage ?

-Des dates de péremption trop strictes,

-les exigences esthétiques de la grande distribution (pour les fruits par exemple, ceux qui n’ont pas les bonnes mensurations partent à la poubelle),

-les pratiques agricoles, de mauvaises conditions de transport et de stockage des produits bruts…

Environ un milliard d’humains ne mangent pas à leur faim dans le monde alors que ces aliments gaspillés pourraient nourrir la population mondiale croissante et ceux qui ont faim aujourd’hui.

Sans compter le gaspillage des terres, de l’eau et des ressources énergétiques utilisées pour produire.

Extrait de ma minute essentielle

Publié dans:sauvons la planète |on 15 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

LE COMPTE A REBOURS

 

LE COMPTE A REBOURS dans sauvons la planète

A notre époque, plus personne ne peut ignorer ce qui se passe à l’autre bout du monde, chacun étant un bout du monde pour l’autre .

Un massacre perpétré par un fou a eu lieu hier aux Etats -unis et ce n’était pas le premier.

Chez nous ce n’est pas mieux, chaque jour en consultant la presse, on découvre :

-tueries,

-assassinats,

-règlements de compte, 

-vengeance,

-conduite en état d’ivresse,

-procès truqués,

- cultures illicites de drogues

alors que pendant ce temps, nos dirigeants s’apprêtent à légaliser :

-le mariage homosexuel,

- l’adoption,

-la procréation assistée,

-l’euthanasie,

-l’utilisation du cannabis etc….

et que certains sont plus intéressés par leur déviance sexuelle que part le rôle qu’ils sont sensés jouer afin de sauver l’économie.

Taisons-nous au sujet des ministres et hommes de pouvoir qui  ont eu maille à partir avec la justice sur cela, les âmes bien nées  font silence.

quant à la pauvre laïcité, n’en parlons pas tant elle est malmenée et agonise

Quand on s’intéresse au monde animal, on voit alors :

-la méchanceté et la cruauté des hommes, qui tuent souvent simplement par sadisme

Alors on cherche ailleurs et on trouve :

-la malhonnêteté des scientifiques qui mettent sur le marché des médicaments dangereux et/ou inefficaces seulement pour le profit, (j’en ai 400 à vous soumettre dans un prochain article),

-le monde sportif englué dans la drogue avec en prime l’omerta.

-les artistes qui nous quittent pour préserver leur compte en banque, laissant à son triste sort le petit peuple qui pourtant les a aimés et applaudis et sans se souvenir que sans eux, ces grands talents ne seraient rien.

On peut se retourner du côté que l’on veut c’est partout la tromperie, le mensonge et comme la presse s’en mêle, gonflant des sujets qui n’ont aucun intérêt pour cacher ceux qui sont vraiment importants, utilisant avec brio, la langue de bois dont ils sont devenus maîtres, la coupe déborde  avec le consentement de la populace qui ne fait rien pour essayer de sauver ce qui peut l’être encore.

Un jour, pas si éloigné que cela de nous, une révolte estudiantine reprise par l’ensemble des citoyens à vu naître un slogan qui a été appliqué à la lettre et qui devait faire miracle :

                                                                                 IL EST INTERDIT D’ INTERDIRE !

On voit aujourd’hui le résultat mais là encore, au lieu de faire son examen de conscience, de reconnaître ses erreurs et d’essayer de les réparer, le citoyen lamba préfère la politique de l’autruche qui consiste à accuser le pouvoir en place, pouvoir qu’il a lui-même élu et qui hélas est à son image.

 

Je suis heureuse d’être dans la tranche d’âge suffisamment avancée pour être sure que je ne verrai pas les résultats  de toutes ces inconséquences qui, à mon avis, indiquent le déclin certain de notre monde et de notre civilisation.

 

Publié dans:sauvons la planète |on 16 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

LA PRIERE DE L’ ARBRE

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PRIERE DE L’ARBRE.

Je suis le roi de la forêt,
Qui protège faune et flore,
Homme! laisse-moi prouver
Que Je peux servir encore.

Avec moi tu construis violons et flûtes,
Voutes des églises, et de tes cathédrales,
Toit de bois qui protège ta hutte,
D’un froid qui sans moi te serait fatal.

Lorsque l’enfant paraît,
Tu lui fais un berceau,
Et pour aller pêcher,
Tu construis un bateau.

Je suis l’ombrage les jours d’été,
La chaise sur laquelle tu t’assieds,
La table où a été posé,
Ton repas du jour vite avalé.

Je partage ton lit taillé dans un chêne,
Dans lequel chaque nuit tu viens te reposer,
Je serai aussi dans les années prochaines,
Le cercueil dans lequel tu seras enterré.

Mais si tu m’enlèves de mon sol natal,
Sans penser qu’un jour je ne serai plus là,
Pour assouvir tes besoins les plus doux,
Que deviendras-tu homme, pauvre fou. ?

Je veux rester le Roi des forêts,
Qui protège faune et flore
Homme laisse-moi te prouver
Que Je peux servir encore.

Yaël le 18/09/2010

Publié dans:sauvons la planète |on 7 octobre, 2010 |Pas de commentaires »
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