Légende chinoise oubliée
Il y a 3000 ans, l’empereur chinois Shen Nong, dont le nom signifie « le laboureur divin », aurait cueilli et goûté lui-même des centaines de plantes pour connaître leurs propriétés médicinales et les répertorier selon leurs vertus pour la santé humaine.
Selon la légende, il s’intoxiqua souvent au cours de ses expériences mais son pouvoir divin lui aurait chaque fois permis de ressusciter.
Cette histoire contient quelque chose de troublant.
L’empereur a consigné ses précieuses découvertes dans un livre qui est arrivé jusqu’à nous., le Shennong Bencao Jing.
Bencao signifie « herbier ». Ce volumineux ouvrage rassemble les 360 remèdes animaux et minéraux, et les 252 remèdes végétaux qui devraient suffire à assurer une santé robuste toute la vie.
Il est considéré comme le premier traité de phytothérapie (médecine par les plantes).
C’est là qu’on trouve un des premières description de plantes devenues aussi célèbres que le ginseng, à la saveur « douce et légèrement amère », qui renforce les cinq « viscères », apaise l’Esprit, ouvre le Cœur (calme les palpitations), chasse les énergies perverses (renforce le système immunitaire), et prolonge la vie. »
Il y parle aussi du pavot qui rend le sommeil, ou du Dang Gui, l’angélique chinoise indiquée pour les problèmes féminins.
Tous ces remèdes sont détaillés, accompagnés de posologies précises.
Or, la recherche médicale reconnaît aujourd’hui la validité scientifique de la plupart de ces remèdes qu’on croyait « légendaires » ! Des découvertes sont réalisées jour après jour sur les propriétés médicinales de la racine de Ginseng, de l’angélique, de la cannelle, du gingembre, etc.
C’est pourquoi nous avons décidé de consacrer à ce passionnant sujet un dossier dans le nouveau numéro de notre revue mensuelle Plantes & Bien-Être.
Mais si je vous écris en urgence aujourd’hui, c’est parce que ce nouveau numéro de Plantes & Bien-Être est imprimé sur papier. Pour le recevoir, il est nécessaire de vous inscrire.
Nous lançons l’impression de ce numéro exceptionnel le mercredi 24 juin à la première heure. Aussi merci de m’indiquer avant mardi soir minuit si vous souhaitez recevoir votre exemplaire. Si c’est le cas, merci de cliquer en bas du message et de suivre les instructions.
A noter que ce numéro de Plantes & Bien-Être traite également d’un sujet central encore plein de mystère pour la science : l’amour…
L’amour, source de vie et d’énergie jusqu’au plus grand âge
On considère souvent qu’il est normal de voir le désir amoureux décroître avec le temps.
En fait, quand la mécanique du désir s’enraye, la faute est souvent à rechercher du côté de l’armoire à pharmacie : certains médicaments sont en effet des coupables potentiels beaucoup plus sérieux que les problèmes psychologiques, affectifs ou d’âge.
En particulier, vous devez vous méfier :
- des antidépresseurs et des hypnotiques,
- des traitements cardiovasculaires, et notamment des hypotenseurs ;
- chez l’homme, être très prudent avec les médicaments pour la prostate,
- chez la femme, les traitements antihormonaux et la pilule contraceptive ont tendance à faire diminuer la libido dans 20 à 40 % des cas;
- moins courant, les traitements destinés à faire repousser les cheveux peuvent avoir eux aussi un effet désastreux sur le désir.
Si vous en parlez à votre médecin, il saura dans bien des cas vous conseillez un changement de votre traitement qui vous évitera cet effet secondaire assez désolant.
Toutefois, vous pouvez aussi agir à votre niveau
Chacun connaît la testostérone qui est « l’hormone mâle » par excellence. Ce que l’on sait moins, c’est que la femme en produit également, en moindre quantité. Par contre, la zone dans le cerveau de la femme qui gère le désir se « réveille » lorsque monte le taux de testostérone dans son organisme.
Il faut savoir que les tiges de céleri frais semblent aider le cycle de production de la testostérone et qu’elles favoriseraient la libération d’androstérone (une hormone similaire).
L’artichaut, le fenouil, l’asperge et la grenade peuvent jouer un rôle très étonnant, que nous vous indiquons dans ce dossier du nouveau Plantes & Bien-Être.
Certaines plantes bien choisies, comme le tribulus (appelé aussi “le Viagra Vert”, ce n’est pas sans raison…), l’ortie ou le damiana, aident également à stimuler le désir.
Mais le but est de couvrir entièrement le sujet et vous découvrirez aussi les effets dont on parle peu de la verveine, du mucuna, des huiles essentielles de menthe poivrée, de sarriette. de rose de Damas et d’ylang ylang.
Quand on parle d’âge, l’autre grand sujet qui concerne les femmes est la baisse de densité osseuse, qui commence dès la ménopause. Les médecins parlent d’ostéoporose, et beaucoup recommande de boire plus de lait, ce qui est exactement l’inverse de ce qu’il faut faire. C’est pourquoi nous vous indiquons le programme en 4 étapes à suivre pour vous assurer des os solides… et en pas finir courbé avec une canne parce que vos vertèbres se sont tassées, ni en chaise roulante parce que votre col du fémur s’est fracturé, et qu’il ne se remet pas.
Ostéoporose : les 4 étapes à suivre
Si vous souffrez – ou si vous avez peur de souffrir – de fragilité osseuse, n’écoutez surtout pas les géants de l’industrie alimentaire, qui cherchent juste à vous vendre plus de laitages.
Plus de lait ne donne pas les os solides, au contraire.
La santé du squelette den réalité de 4 étapes cruciales :
D’abord, il faut apporter à notre système les matières premières nécessaires pour bâtir un os solide.
L’os est composé en grande partie de calcium, la brique de construction primaire du squelette. Mais encore faut-il que ce soit du calcium assimilables, qui rejoigne la matrice du squelette, et qui n’aille pas tout simplement encrasser les artères.
Une fois les minéraux absorbés par l’intestin, il faut s’assurer qu’ils se déposent aux bons endroits, dans les os, les dents, et ne créent pas de calcification sur la paroi artérielle ou dans les zones d’inflammation chronique. La présence de vitamines D3 et K2 est essentielle à ce dépôt ordonné. Pour chacune, nous vous donnons une recommandation journalière.
De plus, le cycle complet de fabrication de l’os requiert d’autres minéraux comme le magnésium et le phosphore. C’est le magnésium qui active la phosphatase alcaline, une enzyme permettant la formation des cristaux de calcium dans la masse osseuse.
Nous trouvons ce panel de minéraux dans le monde végétal, et une consommation régulière de fruits et légumes fournit un apport diversifié.
Mais cet apport est-il suffisant ?
Pas sûr, car les sols où poussent les végétaux sont de plus en plus pauvres. Voilà pourquoi le secours des plantes minéralisantes est essentiel : luzerne, cataire, prêle, avoine, menthe, trèfle rouge, framboisier, ces plantes révèlent un potentiel minéralisant souvent ignoré et pourtant indispensable. (notre tableau détaillé vous montrera l’apport de minéraux associé à chacune).
Une dose journalière de 20 g de plantes fournit un apport suffisant en minéraux divers pour la plupart des personnes. Vous créer votre propre mélange (nous vous donnons différents exemples pour inspirer vos propres créations).
- Une fois les minéraux déposés, il faut éviter les résorptions dues à un excès d’acidité ou de stress oxydatif. Leromarin, en simple infusion journalière, fournit un excellent pouvoir antioxydant. Rajoutez-en une branche à votre infusion minéralisante journalière.
Ce numéro de Plantes & Bien-Être vous offre donc à lui seul une feuille de route complète contre l’ostéoporose, bien éloignée des préjugés et lieux communs colportés par la publicité (pour rappel, Plantes & Bien-Être ne contient aucune publicité, c’est un journal qui ne vit que grâce à ses abonnés).
Mais il traite aussi d’un autre sujet crucial pour beaucoup de seniors : comment aborder l’épreuve d’une radiothérapie dans les meilleures conditions :
Radiothérapie : Urgence protection !
Le principe de la radiothérapie est d’essayer de détruire toutes les cellules malignes responsables du cancer, bloquer leur capacité à se multiplier de manière anarchique, tout en épargnant les tissus sains périphériques.
Même si les cellules saines ont une aptitude à se réparer que n’ont pas les cellules cancéreuses, et malgré des rayonnements de plus en plus ciblés, les tissus sains proches de la zone traitée seront malgré tout toujours atteints.
Ainsi, dans les 2 à 4 semaines, en fonction des zones irradiées, les effets suivants peuvent apparaître :
- Un érythème nommé « radiodermite aiguë », qui se manifeste par une rougeur et un assèchement de la peau.
- La peau se pigmente, elle peut aussi se crevasser. Dans certains cas elle restera plus sombre et rêche aux endroits concernés par le rayonnement.
- En cas d’irradiation de la bouche, du cou ou du haut du thorax : des difficultés pour avaler, déglutir, un manque de salive.
- En cas d’irradiation de l’abdomen : des nausées, des diarrhées.
- En cas d’irradiation du bassin : des troubles urinaires, des douleurs lors des rapports sexuels.
- Une certaine fatigue peut survenir au bout de quelques séances.
Les huiles essentielles et végétales permettent de diminuer les lésions et de faciliter la cicatrisation et la régénération des tissus cutanés.
En prévention des traitements de radiothérapie, des onctions d’huiles essentielles pures et d’huiles végétales ont fait leurs preuves et sont recommandées largement par les médecins phytothérapeutes et aromathérapeutes. Dans les hôpitaux les plus avancés, ils font partie des protocoles de traitement.
Les Huiles Essentielles (HE) de Niaouli (Melaleuca quinquenervia), par leurs composés de type sesquiterpénols, constituent un filtre naturel contre les UV (UV-B et une partie des UV-A), comme c’est le cas pour d’autres Myrtacées : arbre à thé (Melaleuca alternifolia) et cajeput (Melaleuca cajeputii).
Ces huiles essentielles sont également efficaces en post-radiothérapie. De l’HE de lavande, des huiles végétales (jojoba, rose musquée, calophyllum…), une huile de macération solaire de millepertuis ou du gel d’aloé vera peuvent s’y associer, afin de favoriser la cicatrisation des tissus enflammés.
Exemples de formules en pré-radiothérapie :
1. HE pures : appliquer quelques gouttes de niaouli ou un mélange niaouli (80 %)-tea tree (20 %) sur la zone devant être irradiée 2 heures avant la séance, en veillant à ce que la peau soit bien sèche au moment de la radiothérapie. Dans la mesure du possible, renouveler l’opération une quinzaine de minutes après la séance.
Immédiatement après la radiothérapie : badigeonner la peau irradiée avec de l’huile de macération solaire de millepertuis.
Certains aromathérapeutes (spécialistes des huiles essentielles) préconisent deux applications par jour des formules évoquées, après la séance et au coucher, avec lavage de la zone et séchage avant l’irradiation du lendemain.
Puis, une fois les séances terminées, le traitement peut être continué avec 3 applications par jour d’huiles essentielles pures, en mélange ou diluées dans une huile végétale, sur la zone concernée, et ce jusqu’à l’obtention d’une amélioration nette.
Avoir à votre disposition, bien en sécurité dans votre bibliothèque pour le jour où vous êtes confronté au problème, tous les précieux renseignements sur ce sujet qui sont dans le nouveau numéro de Plantes & Bien-Être, ce n’est pas un luxe.
C’est une chose raisonnable et nécessaire, surtout en cette époque où le cancer est devenu la première cause de mortalité.
Aussi dans le numéro de juillet de Plantes & Bien-Être
Vous pourrez aussi découvrir dans ce numéro :
- Ce qui arrive avec le maquillage« normal ». Au bout d’un an, on a retrouvé sur des femmes consommatrices de produits d’hygiène et de maquillage…2 kilos de composés chimiques toxiques : paraben, conservateurs, etc ! Voilà une bonne raison (et il y en a 5 autres aussi excellentes) d’utiliser les plantes dans leur forme naturelle pour hydrater votre peau et éclairer votre teint. Il y en a. Elles fonctionnent ! Utilisons-les !
- Cosmétique naturel: une crème de coquelicot et calendula (avec notre recette) pour adoucir le feu du soleil et préserver le bronzage.
- La tisane chaude…qui rafraîchit ! Le mélange de chiendent,hibiscus,tilleul, fraisie, vigne rouge etcassis qui diminue la sensation de chaleur en été ! A découvrir aussi : un gel rafraîchissant pour les jambes.
- Dans les situations d’urgence, il y a la police (le 17), les pompiers (le 18), et il y a aussi… aconit napellus. Une plante qui traite l’angoisse intense, les névralgies aigues et les fièvres brutales en homéopathie. Nous vous indiquons comment l’utiliser dans chaque situation.
- De délicieuses feuilles de menthe contre les flatulences et les constipations passagères. Avec une astuce pour repérer les feuilles les plus riches en menthol (excellentes pour l’haleine fraîche).
- Le thé vert contre la sécheresse buccale.
- L’aubépine pour apaiser le stress.
- La phyto à quatre pattes : une vétérinaire nous donne ses remèdes pour soigner les animaux par les plantes.
- Une fabuleuse visite chez un guérisseur Africain.
- L’algue qui vient au secours des végétaliens.
L’espace me manque ici pour vous détailler toutes les autres découvertes sur les plantes médicinales que nous publions dans le seul numéro de juillet de Plantes & Bien-Être.
Mais le but pour vous n’est pas simplement de lire ce nouveau numéro, même s’il contient tant d’informations utiles et passionnantes :
Rejoignez un grand mouvement en marche !
Les lecteurs de Plantes & Bien-Être ne tirent pas seulement des bienfaits personnels de leur lecture, ils participent à une révolution orchestrée par des experts qualifiés et bienveillants !
Ce ne sont pas seulement les meilleurs experts de la médecine par les plantes, faisant partie des personnalités les plus diplômées du secteur.
S’ils ont pris ce rôle de leaders, c’est grâce à leur capacité à parler des plantes de façon simple et stimulante pour tous, surtout si vous n’avez aucune connaissance en botanique actuellement.
Sans doute avez-vous déjà entendu parler d’eux. Ce sont :
- Le Docteur Franck Gigon ex chargé de cours au diplôme universitaire de phytoaromathérapie de Paris XIII, est spécialiste des plantes, de l’aromathérapie, conférencier et auteur de nombreux livres de référence dont « Se soigner par les plantes pour les Nuls » et « La vérité sur les plantes qui soignent » ;
- Le Docteur Daniel Scimeca, spécialiste des plantes, président du syndicat de la médecine homéopathique ; directeur d’enseignement à la Société médicale de biothérapie, formateur de médecins et pharmaciens, et lui aussi auteur de nombreux ouvrages sur la santé naturelle ;
- Le Dr Danielle Roux, pharmacienne, scientifique et rédacteur en chef de la « Revue de Phytothérapie Européenne » ;
- François Couplan, docteur-ès-sciences, ethnobotaniste, spécialiste mondial des utilisations traditionnelles des plantes et auteur de cinquante ouvrages sur le sujet ;
- Christophe Bernard, diplômé de la Southwest School of Botanical Medicine et créateur du « Jardin des Plantes Médicinales » ;
Ainsi que le Dr Jacques Labescat (phytothérapeute), Julien Kaibeck, spécialiste des huiles essentielles, Alessandra Moro Buronzo et Nicolas Wirth (naturopathes).
Grâce à eux, grâce à cette communauté de lecteurs qui a jailli de terre en seulement un an, un mouvement de fond est en marche, naturel, participatif, ouvert et impliqué que rien ne peut plus l’arrêter !
C’est leur ambition magnifique que nous vous proposons de rejoindre en devenant à votre tour abonné dePlantes & Bien-Être : refaire de notre planète un monde où il ferait bon vivre, en permettant à chacun de connaître les plantes qui l’entourent et leurs vertus pour retrouver son indépendance, sa liberté, et sa santé ; et aussi se reconnecter à la Nature que nous pillons et polluons aujourd’hui sans états d’âme.
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Commencez tout de suite à bénéficier et à faire bénéficier vos proches des secrets oubliés des plantes et de la nature.
C’est le seul moyen de secouer le joug du système de santé tel qu’il est aujourd’hui organisé, pour le profit de quelques-uns mais contre la santé de tous.
Rendez-vous ici pour recevoir aujourd’hui votre premier numéro de Plantes & Bien-Être.
Je vous rappelle que nous envoyons en impression la nouvelle édition de Plantes & Bien-Être mercredi 24 juin à la première heure. Abonnez-vous avant mardi 23 juin minuit pour recevoir votre exemplaire.
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
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