Archive pour la catégorie 'Non classé'

testament pour mes fils

fichier doc XXXTESTAMENT POUR MES FILS

Publié dans:Non classé |on 15 août, 2015 |Pas de commentaires »

le collier

 

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Lorsqu’un train plein de prisonniers juifs est arrivé à l’un des centres d’extermination nazis, de nombreux polonais sont sortis pour regarder le dernier groupe qui était emmené.
Les Juifs désorientés rassemblaient les biens qu’ils voulaient prendre avec eux dans le camp, lorsqu’un officier nazi appela les villageois qui étaient à proximité :
« Vous pouvez prendre tout ce que ces juifs laissent, car c’est sûr qu’ils ne reviendront pas pour les reprendre ! »

Deux femmes polonaises qui se tenaient non loin de là ont vu une femme vers l’arrière du groupe, portant un grand manteau, lourd et qui avait l’air cher. N’attendant pas qu’une autre personne ne prenne le manteau avant elles, elles ont couru vers la femme juive, l’ont jetée à terre, lui ont saisi son manteau et sont parties à toute allure.
S’éloignant des autres, elles ont rapidement posé le manteau par terre pour partager le butin qui était dissimulé à l’intérieur. En fouillant dans les poches, elles ont découvert le cœur chavirant des bijoux en or, des chandeliers en argent et d’autres objets de famille.
Elles étaient ravies de leurs trouvailles, mais lorsqu’elles ont de nouveau soulevé le manteau, il semblait toujours plus lourd qu’il n’aurait dû être. Après avoir encore vérifié, elles ont trouvé une poche secrète, et caché à l’intérieur du manteau il y avait un bébé …. une petite fille !

Choquées par leur découverte, une des femmes a eu pitié et a plaidé auprès de l’autre, « Je n’ai pas d’enfant, et je suis trop vieille aujourd’hui pour en avoir un. Prenez l’or et l’argent et laissez-moi le bébé. »
La femme polonaise emporta sa nouvelle « fille » chez elle, au plus grand plaisir de son mari. Ils ont élevé la petite fille juive comme leur propre enfant, la traitant très bien, mais ne lui révélant jamais quoi que ce soit à propos de ses antécédents. La jeune fille excella dans ses études et devint même médecin, travaillant en tant que pédiatre dans un hôpital en Pologne.

Lorsque sa « mère » décéda de nombreuses années plus tard, une visiteuse vint pour lui présenter ses condoléances.
Cette vieille femme s’était invitée elle-même et dit à la fille: «Je veux que vous sachiez que la femme qui est décédée la semaine dernière n’était pas votre vraie mère … » et elle s’est mise à lui raconter toute l’histoire. Elle ne la croyait pas au début, mais la vieille femme a insisté.
« Quand nous vous avons trouvée, vous portiez un magnifique collier en or avec une écriture étrange, qui doit être de l’hébreu.
Je suis sûre que votre mère a gardé le collier. Allez voir de vous-même ». En effet, la femme ouvrit la boîte à bijoux de sa mère décédée et trouva le collier tout comme la vieille dame le lui avait décrit.
Elle était choquée. Il lui était difficile d’imaginer qu’elle avait été d’origine juive, mais la preuve était là, dans sa main. Comme ce fut son seul lien vers une vie antérieure, elle chérit le collier. Elle l’avait fait agrandir à la taille de son cou et le portait tous les jours, même si elle n’avait aucune pensée pour ses racines juives.

Un peu plus tard, elle est allée en vacances à l’étranger et a rencontré deux garçons juifs qui étaient sur une rue principale, essayant de convaincre les passants juifs de porter des Tefillins sur les bras (pour les hommes) ou d’accepter des bougies pour les allumer le Chabbat, le vendredi après-midi (pour les femmes).
Saisissant cette occasion, elle leur a raconté toute son histoire et leur a montré le collier.
Les garçons ont confirmé qu’un nom juif était inscrit sur le collier, mais ne savaient pas quel était sa situation du point de vue religieux. Ils lui ont conseillé d’écrire une lettre à leur mentor, le Rabbi Loubavitch ZT « L, pour tout lui expliquer. Si quelqu’un saurait quoi faire, ce serait lui.

Elle suivit leurs conseils et envoya une lettre le jour même. Très vite, elle reçut une réponse indiquant que selon les faits il était clair qu’elle est bien une jeune fille juive et peut-être qu’elle devrait envisager d’utiliser ses compétences médicales en Israël où les pédiatres talentueux sont très recherchés. Cela éveilla sa curiosité, et elle se rendit en Israël où elle consulta un tribunal rabbinique (Beth Din) qui la déclara juive. Peu de temps après, elle fut acceptée dans un hôpital pour travailler, et ensuite rencontra son mari et éleva une famille.

En août 2001, un terroriste a fait exploser le café Sbarro dans le centre de Jérusalem. Les blessés ont été transportés à l’hôpital où cette femme travaillait. Un patient a été amené, un homme âgé en état de choc. Il cherchait partout sa petite-fille qui avait été séparée de lui.
Demandant comment elle pourrait la reconnaître, le grand-père frénétique donna une description d’un collier en or qu’elle portait.
Finalement, la petite-fille fut retrouvée parmi les blessés. A la vue de ce collier, la pédiatre se figea. Elle se tourna vers le vieil homme et lui dit: « Où avez-vous acheté ce collier ? » Il lui répondit « Vous ne pouvez pas acheter un tel collier. Je suis orfèvre et j’ai fait ce collier. En fait, j’en ai fait deux tout à fait identiques pour chacune de mes filles. Voilà la petite-fille de l’une, et mon autre fille n’a pas survécu à la guerre « .

Et voilà comment une fille juive, brutalement arrachée à sa mère sur une plate-forme de camp nazi il y a près de soixante ans, a retrouvé son père …..

Publié dans:Non classé |on 19 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

A Toi que je n’ai jamais vu

 

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A toi que je n’ai jamais vu

Je t’ai cherché et un jour, je t’ai trouvé

Comment en es tu certaine me demande-t-on ? Certaine, je ne le suis pas et c’est très bien ainsi car si je l’étais, notre relation n’aurait plus d’intérêt, c’est ce petit doute devant ce qui est inexplicable qui me tient en haleine, qui me fait me poser des questions

Ai-je rêvé ? es -Tu près de moi comme je le crois ? m’entends Tu ?

Ai-je bien compris Tes enseignements ? ai-je fait de ma vie ce que Tu souhaitais ?

Mais dis moi ! une chose me désole plus que les autres :

Tous ces gens qui ne croient pas en Toi, qui méprisent et insultent  les livres qui parlent de Toi qui se disent athées mais qui prétendent pourtant savoir de quoi ils parlent  me font de la peine car ils se privent d’une aide précieuse, celle qui consiste à remettre en question nos soi- disant vérités, à douter de tout avoir compris, à chercher sans cesse à faire mieux.

 

Comme il doit être triste et dangereux le chemin sur lequel ils se trouvent, sans itinéraire, sans barrière de protection, sans espoir de déboucher un jour  dans une clairière toute illuminée.

 

Je voudrais partager avec tous, la sérénité que me donne le fait de croire en Toi, de Te sentir à mes côtés même si je ne peux pas le prouver et expliquer à mes semblables que ce qui est visible est bien souvent mensonger et que ce qui est caché est souvent vérité et que celui qui fait l’effort de chercher, trouve au bout du chemin, une lumière qui ne s’éteint jamais et qui le protégera toujours.

Yaël

 

Publié dans:Non classé |on 13 juillet, 2015 |2 Commentaires »

Les Fonds de QUARREUX

 

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Il y a plusieurs centaines d’années vivait, dans le fond de Quarreux, un meunier nommé Hubert Chefneux. Il était très croyant et très serviable envers son prochain.

Sa fidèle épouse lui avait donné de beaux enfants. Leur moulin, mu par les eaux de l’Amblève, leur rapportait suffisamment pour subvenir à leurs besoins journaliers. Certes ils vivaient de façon modeste, mais ils n’eurent voulu changer de vie pour rien au monde, et ce malgré les nombreuses périodes d’inactivités venant troubler leur quiétude lors de la crue des eaux de l’Amblève. Hubert Chefneux savait qu’un jour ou l’autre il recevrait l’héritage d’un vieil oncle dont l’on disait qu’il possédait de bonnes économies. Et notre ami Hubert, tout comme la Catherine son épouse, les escomptait afin de les utiliser à bon escient : le jour de l’héritage venu, il allait investir dans la rénovation et l’amélioration de son moulin d’une part, mais également pour faire réaliser des travaux visant à toujours avoir un égal volume d’eau afin d’alimenter le dit moulin.

Un jour vint et le vieil oncle mourut. Bien sûr, la Catherine et son époux Hubert en étaient accablés de tristesse, on le serait à moins mais l’oncle était vieux, il avait fait sa vie et nos deux comparses voyaient poindre le fabuleux héritage, à juste titre, escompté. Animé par un enthousiasme éphémère, notre ami Hubert Chefneux se préoccupa d’aller à Warfusée, petite bourgade située assez loin de son domicile et nécessitant plusieurs jours de marche. Arrivé chez feu l’oncle, il eut tôt fait d’apprendre que ce dernier n’avait laissé que quelques bagatelles et autres bricoles. Rien quasi, en tous cas pas suffisamment pour réaliser les rêves qu’il s’était construits. Le cœur lourd, parsemé d’un peu de colère envers cet oncle de qui il espérait tant, c’est d’un pas nonchalant qu’il se décida à revenir sur les terres de Quarreux.

Ses pensées, parfois égarées, l’égarèrent lui-même si bien que du bon chemin il s’égarât et dut demander la juste route à un hère passant par-là. « Dirige-toi vers ce moulin que l’on aperçoit là-bas » lui dit le hère. «Qu’est-ce donc pour un moulin ?» rétorqua notre ami Hubert, je n’en ai jamais point vu de pareil ! Poursuivant d’un pas pressé sa route, Hubert Chefneux s’arrêta alentour de ce moulin afin de contempler la majesté qui s’en dégageait. Lorsqu’il eut considéré tous les avantages qu’aurait pu lui procurer pareil édifice, Hubert reprit le chemin du retour, la tête remplie d’idées pas toutes très lucides.

A la croisée de deux chemins, des bruits de pas vinrent troubler ses pensées vagabondes. Hubert s’arrêta, écouta et vit par-devant lui un homme haut telle une grande armoire. Bien que venant d’un chemin différent, l’homme salua notre ami et d’un pas alerte, s’empressa de prendre la même direction. La conversation s’engagea et Hubert Chefneux fit part à l’inconnu de ce qui l’avait tant séduit un moment auparavant. Le fameux moulin lui taraudait l’esprit. Rencontre apparemment judicieuse puisque l’homme lui dit appartenir à la corporation des maîtres maçons de Liège. « Je voyage pour affaire de bâtisses » lui dit-il. « Pour pareil moulin, je donnerais jusqu’à cent ans de ma part de paradis » rétorqua Hubert. « Dans pareilles conditions, faisons alors affaire ensemble » enchérit l’homme. La conversation reprit de plus belle et, voyant qu’Hubert Chefneux était prêt à vendre son âme au diable, l’homme lui annonça bien connaître ce dernier.

 La suite ici :

http://www.aywaille1.be/Nonceveux_Sedoz_Quarreux/quarreux_1.htm

 

Publié dans:Non classé |on 29 mai, 2015 |Pas de commentaires »

les faux croyants

 

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C’est stupéfiant de voir la manière dont ce sans-abri a été traité, juste devant une église…

Mais ce qui s’est passé ensuite à l’intérieur de cette même église restera à jamais dans la mémoire de ses paroissiens.

Il s’agit en fait du nouveau pasteur de cette église qui s’est déguisé en mendiant. Ce jour la étaient attendus 1000 fidèles qui venaient justement voir ce nouveau pasteur.

Ainsi déguisé, il se rendit sur le porche de l’église pour faire la manche. Sur les 1000 personnes qui lui sont passées devant avant de rentrer dans l’eglise, seulement 3 lui ont dit bonjour et pas une ne lui a donné une pièce.

Il est ensuite entré dans le sanctuaire et s’est assis à l’arrière. Il a salué les gens et a été accueilli par des regards noirs ou méprisants. Comme il était assis à l’arrière de l’église, il a écouté les premières prieres.

Puis est venu l’heure d’introduire le nouveau pasteur “Nous tenons à vous présenter notre nouveau pasteur.” La congrégation regarda tout autour applaudissant de joie et d’anticipation. L’homme sans-abri assis à l’arrière se leva et se mit à marcher dans l’allée. Les applaudissements se sont arrêtés avec tous les regards braques sur lui. Il se dirigea vers l’autel et, prenant le micro dans la main, et s’arrêta un instant, puis récita,

Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.

Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli;

j’étais nu, et vous m’avez vêtu; j’étais malade, et vous m’avez visité; j’étais en prison, et vous êtes venus vers moi.

Les justes lui répondront: Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire?

Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli; ou nu, et t’avons-nous vêtu?
Quand t’avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi?

Et le roi leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites.

Après avoir récité ce passage de Matthieu dans la bible, le nouveau pasteur s’est tourné vers sa congrégation et leur a raconté ce qu’il avait vécu ce matin meme: le mépris, le dédain, l’humiliation.

Beaucoup de personnes se sont alors mises à pleurer et la plupart avaient la tête baissée, tous bien entendu remplis de honte.

Il termina par ces mots: “Aujourd’hui j’ai vu un rassemblement de personnes certes, mais ce ne sont pas les disciples de Jesus Christ qui etaient présents aujourd’hui. Le monde est remplie de personnes qui veulent se donner bonne conscience en se rendant à la messe du dimanche. Mais parmi ces personnes combien de vrais pratiquants? Quand vous deciderez-vous à devenir de vrais disciples de Dieu?”

Une histoire touchante qui met en avant l’hypocrisie de certaines personnes ainsi que le manque de compassion dont nous sommes bien souvent coupables. (source: godvine)

http://bridoz.com/sans-abriignore-par-les-gens/

Publié dans:Non classé |on 24 mai, 2015 |Pas de commentaires »

La vulnérabilité de D-ieu

 

Mémorandum-de-Dieu

 

Vous voulez être D.ieu?

Adapté des enseignements du Rabbi de Loubavitch

« Vous serez saints, car Moi, l’Éternel votre D.ieu, Je suis saint. »

Lévitique 19, 1

Ce verset, qui ouvre la paracha de Kédochim, contient certaines des leçons les plus importantes pour notre vie.

Il dissipe des mythes essentiels à propos de D.ieu.

Il nous enseigne le sens du véritable amour.

Il révèle notre immense potentiel.

Il nous donne la force et l’inspiration pour changer le monde.

Ce verset est simple, d’une déroutante simplicité : « Vous serez saints, car Moi, l’Eternel votre D.ieu, Je suis saint. » Mais cette simple déclaration porte en elle des significations multiples, comme l’illustre un curieux Midrache.

Ce Midrache déclare :

La suite ci-dessous :

 

http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/1513116/jewish/La-vulnrabilit-de-Dieu.htm

Publié dans:Non classé |on 1 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Test de personnalité – La page de Maître Zen

 


La page de Maître Zen

Visitez la page de Maître Zen!

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TEST DE PERSONNALITE

Observe les 6 portes et les chemins qui se trouvent derrière…Puis demandes toi quelle est la porte et surtout le chemin qui te correspond le mieux…à ta personnalité, ta vie, ton idéal…Choisis le chiffre correspondant et regarde à quoi cela correspond, tu en apprendras peut-être un peu plus sur toi-même et ton chemin idéal…

Choix numéro 1 : Le chemin de la liberté
Si tu as choisi ce chemin, tu es le genre de personne qui a besoin d’espace. Tu aimes avoir la possibilité de faire les choses à ta façon. Tu préfères un chemin que tu défriches toi-même qu’un chemin tout tracé. Ton chemin idéal : celui qui a de multiples voies, une infinité de possibilité, comme la mer, car tu n’aimes pas te sentir enfermé, restreint. Tu es indépendant, un peu rebelle, mais tu n’aimes pas la confrontation. Tu n’aimes pas être pressé, car tu veux savourer la vie. Tu es tellement absorbé par elle que tu t’oublies un peu toi-même.

Choix numéro 2 : Le chemin privé
Si tu as choisi ce chemin, c’est que tu es sûrement le genre de personne qui aime voyager seule. Tu adores observer, réfléchir et résoudre plein de petits mystères qui se présentent devant tes yeux. Ton chemin idéal est assez étroit et et parfait pour une personne. Tu es heureux de retrouver les autres quand tu arrives à destination, en revanche, car tu n’es pas non plus un grand solitaire, mais tu aimes profiter de certaines aventures seules. Tu es original et inspiré, tu regardes le monde comme personne d’autre, et c’est pour cela que les gens aiment tes conseils. En plus, tu es très compréhensif !

Choix numéro 3 : Le chemin coloré
Si tu as choisi ce chemin, tu es une personne qui adore se mêler aux autres, discuter avec tout le monde, engager de grandes discussions. Tu aimes sentir que tu fais partie du monde et en faire l’expérience chaque jour en rencontrant des gens, en étant dans des ambiances bruyantes et animées. Ton chemin idéal est beau, coloré, excitant. Pour toi, le voyage compte plus que la destination. Tu aimes la compagnie, et les autres adorent être avec toi, car tu es à la fois intellectuel et plein d’humour. Avec toi, on ne s’ennuie pas !

Choix numéro 4 : Le chemin du frisson
Si tu as choisi ce chemin, tu es quelqu’un de très difficile à suivre. Tu ne supportes pas la routine, et dans la vie, tu vas toujours de l’avant. L’inconnu ne te fait pas peur, bien au contraire. Tu y vas, et tu verras après pour les conséquences. Ton chemin idéal est imprévisible, et même parfois un peu flippant. Tu ne respectes pas toujours les règles, tu es même parfois imprudent. On dit de toi que tu agis sans réfléchir mais ce n’est pas grave puisque cela t’a toujours réussi. Tu es spontané, un vrai aventurier, et les gens apprécient cela.. Ils savent qu’avec toi, l’aventure se profile !

Choix numéro 5 : Le chemin de la sécurité
Si tu as choisi ce chemin, tu es quelqu’un de calme et de chaleureux qui recherche avant tout la tranquillité. Tu te contentes de ce que tu as, et tu n’aimes pas être dérangé pour des choses qui n’ont aucune importance. Ton chemin idéal est clair, dégagé, et très agréable. Tu aimes profiter du voyage au maximum, donc tu préfères savoir ce que ton voyage te réserve. Tu choisiras toujours le chemin le plus facile et sûr si jamais un choix se présente car tu considères que la vie est déjà suffisamment compliquée pour en rajouter davantage. Tu es quelqu’un de très stable qui sait motiver les gens qui t’entourent. Tu es très lucide et terre à terre et les gens adorent se fier à toi car tu es de bon conseils.

Choix numéro 6 : Le chemin de la tranquillité
Si tu as choisi ce chemin, c’est que tu es un solitaire, un vrai. Tu considères la solitude comme quelque chose de très important, de précieux, et tu peux passer de longs moments de ta vie seul sans te sentir mal. Ton chemin idéal est très calme et immobile. Tu adores observer tout ce qui se passe autour de toi sans te sentir dépassé par les événements. C’est pour cela que tu apprécies les ambiances très posées. Tu cherches un sens profond dans tous les aspects de la vie et tu es quelqu’un de très intense, tant dans tes pensées que dans tes actions. Tu n’aimes pas les foules, mais tu apprécies les gens. En général, tu préfères les voir en tête à tête, pour profiter d’eux à fond. Dans tes relations, tu es authentique et très profond.

Es-tu satisfait de cette description ?

Si ce petit test t’a plu, partage-le avec tes amis.

Publié dans:Non classé |on 19 mars, 2015 |3 Commentaires »

Les héros oubliés : Histoire ordinaire et pourtant extraordinaire !

 

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Beaucoup d’émotion aujourd’hui au lycée privé du Vernet-la-Varenne. Pendant la guerre ce pensionnat de jeunes filles a hébergé trois soeurs juives. Soixante-dix ans plus tard, deux d’entre elles sont revenues inaugurer une plaque à la mémoire de leur histoire et de ceux qui les ont protégées.

Une histoire ordinaire pendant la guerre et pourtant extraordinaire. Elles ont entre neuf et douze ans et leurs parents sont arrêtés et déportés, en janvier 44 elles arrivent au pensionnat de jeunes filles du Vernet-la-Varenne.

On savait qu’on était juives… on ne savait pas bien à quoi ça correspondait mais on savait qu’il ne fallait pas le dire…

http://www.europe-israel.org/2015/03/puy-de-dome-trois-soeurs-juives-sauvees-au-vernet-la-varenne/

Publié dans:Non classé |on 16 mars, 2015 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : le temps perdu

 

 

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« Au lieu de prendre conscience du rôle immense qu’ils ont à jouer dans la création, au lieu de participer à l’œuvre du Créateur, les humains, comme les animaux, s’affrontent et se déchirent. Oui, parce qu’en réalité la nature animale existe toujours en eux sous forme d’instincts incontrôlés : l’agressivité, la possessivité, la sensualité, etc.

Ce n’est pas parce que les humains ont appris à se présenter sous des apparences plus civilisées qu’ils se sont débarrassés de leurs pulsions animales. Parfois, derrière l’air aimable de quelqu’un qui vous sourit en disant : « Bonjour, comment allez-vous ? Quel plaisir de vous rencontrer ! » il y a un fauve qui ne demande qu’à vous sauter dessus pour vous dévorer.

 

Et vous-même, ne vous trouvez-vous pas parfois dans un semblable état d’esprit ?… Des présences animales se mêlent à nos pensées, à nos sentiments, à nos désirs, et notre travail est de les apprivoiser jusqu’à les amener à travailler avec nous au sein de l’harmonie cosmique. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:Non classé |on 9 mars, 2015 |Pas de commentaires »

Elles sont si belles !

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Les plus belles églises du monde , Richar Silver les a photographiées pour le plaisir des yeux.

http://www.planet.fr/magazine-photos-decouvrez-les-plus-belles-eglises-du-monde-sous-une-perspective-unique.811701.6553.html?page=0%2C14

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Publié dans:Non classé |on 7 mars, 2015 |1 Commentaire »
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