Archive pour la catégorie 'poemes'

l’attente

un défit m’a été lancé : faire un poème avec 10 mots proposés et voici ce que cela a donné :

 

 

Amour – sa – sur – de – flamme – broder – que –tendre – aurore – vent

 

l'attente dans poemes

L’Attente

 

A la lueur de la flamme elle attendait son amour,

jusqu’à l’aurore, peaufinant son ouvrage,

Elle ne savait que broder de très beaux atours,

Qu’elle vendait à  tout  son entourage.

 

Le vent soufflait, dehors il faisait froid,

Où était son aimé, elle ne le savait pas,

Son tendre compagnon parti voici longtemps

Sur sa barque fragile quelque soit le temps,

 

Reviendrait- il ou bien était il mort ?

Tant de questions qu’elle se posait encore,

Quand soudain un bruit se fit entendre,

Alors que dehors il gelait à pierre fendre.

 

La porte s’ouvrit et un corps apparut,

Trempé jusqu’à l’os, transi et fourbu

Et apercevant celle qu’il était venu chercher

Il sut qu’enfin il pouvait se reposer.

 

Yaël

 

Publié dans:poemes |on 16 février, 2013 |Pas de commentaires »

REQUIEM POUR DES FOUS

Sur un site sur lequel je me suis inscrite il y a peu, il y a un concours : une image est proposée et il est demandé d’écrire un texte en prose ou en vers selon l’inspiration du moment. 

Rien à gagner, seulement le plaisir d’essayer. 

 

REQUIEM POUR DES FOUS dans poemes 20766710

 

Réquiem pour des fous.

 

Que dire de ces couleurs qui nous invitent,

à méditer sur nos actes insensés,

Sur l’état de notre monde  que nous allons tuer,

Si nous ne changeons pas notre façon de vivre.

 

La nature est si belle, trop belle pour nous,

Qui détruisons tout sur notre passage,

A force d’oublier d’être sage,

Et de respecter ce qui n’est pas à nous.

 

Toi nature que nous faisons souffrir,

Pourras tu un jour nous pardonner,

Nos actes qui ne font que détruire,

Et nous apprendre enfin à aimer ?

 

Yaël

 

Publié dans:poemes |on 17 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

POUR CEUX D EN HAUT

 

 

POUR CEUX D EN HAUT dans poemes file.php?50,file=212144,filename=Jacobs_Ladder_Songe_de_Jacob

 

J’ai tissé une échelle,

J’ai  gravi  les échelons,

Pour arriver au ciel,

Lieu merveilleux dit-on.

 

Mon pied s’est tout d’abord posé,

Sur la première marche appelée départ,

Puis d’un coup de talon  il a continué,

Sur la deuxième et sans s’arrêter repart

 

Tout au long du voyage il se demandait,

Pourquoi tant d’efforts et pour arriver où ?

Dans un lieu inconnu, peut-être un désert ?

Ou encore tomber et se casser le cou ?

 

Pourtant il continuait poussé par son élan,

Et de plus en plus vite avançait à grand pas,

Un peu comme aidé par des bras bienveillants,

Qui le hissaient, allez savoir pourquoi ?

 

Quand enfin il pu voir, tous ceux qui l’attendaient,

Il  n‘en revenait pas car ils les connaissait,

Voisins, amis, famille, tous tendaient les bras,

Et posaient questions sur ceux d’en- bas

 

M’attendiez-vous défunts ?

Mais oui répondirent-ils !

Car de vous avons besoin,

De vos pensées, de vos sourires.

 

Après moult pâlabres, Il est redescendu,

Racontant à chacun tout ce qu’il avait vu,

Et transmettant le message qu’il avait reçu,

Et qui disait ceci, ni moins ni plus :

 

Nous ne vous avons pas quittés,

Seul notre corps est parti,

Mais notre cœur lui est resté,

Au fond du vôtre tapi.

 

En cette fin d’année souhaitez à vos aimés,

Bonne année, bonheur et santé,

Pour nous aussi ayez une pensée,

Car nous veillons sur vous où que vous soyez.

Yaël

 

 

Publié dans:poemes |on 21 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

POEME POUR UNE AMIE

aaaaaaviolet.jpgL’absence,

Elle était là, dans son petit coin timide et effacée,
dévorant des yeux tout ce qu’elle voyait,
Mais n’osant pas elle-même dire ce qu’elle ressentait,
De si belles choses dans son cœur déposées.

Comment l’ai-je vu, ? je ne m’en souviens pas,
Toujours est-il que nous fîmes quelques pas,
Ensemble, et depuis ce jour là,
Une grande amitié nous protège de ses bras.

Mais il s’agit en fait d’un tout petit oiseau,
Pris dans les filets de la vie cruelle,
Et qui reçoit en plein cœur tous les maux,
Et les mots prononcés par des infidèles.

Celles qui n’hésitèrent pas à tromper sa confiance,
A se jouer d’elle, promettant avec aisance,
Bien des choses aussitôt oubliées,
Par ces dernières qui ne savent pas aimer.

Recroquevillée, sur sa propre douleur,
Elle veut nous quitter car elle n’a plus le goût,
De partager ses articles qu’elle composait pour nous,
L’envie n’y est plus car pour elle c’est un leurre.

Toi petite fille que j’aime de tout mon cœur,
Ne laisse pas les méchants gagner ce combat,
Ils ne valent rien, oublie les sur l’heure,
Mais reste avec nous, ne nous laisse pas.

Je viens de vous conter l’histoire d’une amie,
Qui est aussi la vôtre, vous le devinez bien,
Une petite fille si douce et sans malice,
Que nous allons perdre si nous ne faisons rien.

Je vous tairai son nom , il est inutile,
Car celles qui l’on aimée l’auront reconnue,
Quant aux autres oust ! qu’elles filent,
De pareilles « amies » sont mal-venues

Quant à vous qui lisez cette complainte,
Et si votre cœur vous dit qui elle est,
Allez sur son blog et dites lui combien,
Vous souhaitez qu’elle ne s’en aille jamais.

Yaël le 10/12/2010

Publié dans:poemes |on 11 décembre, 2010 |4 Commentaires »

L ‘ECHELLE CELESTE

aaaaaaa.jpg

POUR CEUX D’ EN HAUT

J’ai tissé une échelle,
J’ai gravi les échelons,
Pour arriver au ciel,
Lieu merveilleux dit-on.

Mon pied s’est tout d’abord posé,
Sur la première marche appelée départ,
Puis d’un coup de talon il a continué,
Sur la deuxième et sans s’arrêter repart

Tout au long du voyage il se demandait,
Pourquoi tant d’efforts et pour arriver où ?
Dans un lieu inconnu, peut-être un désert ?
Ou encore tomber et se casser le cou ?

Pourtant il continuait poussé par son élan,
Et de plus en plus vite avançait à grand pas,
Un peu comme aidé par des bras bienveillants,
Qui le hissaient, allez savoir pourquoi ?

Quand enfin il pu voir, tous ceux qui l’attendaient,
Il n‘en revenait pas car ils les connaissait,
Voisins, amis, famille, tous tendaient les bras,
Et posaient questions sur ceux d’en- bas

M’attendiez-vous défunts ?
Mais oui répondirent-ils !
Car de vous avons besoin,
De vos pensées, de vos sourires.

Après moult pâlabres, Il est redescendu,
Racontant à chacun tout ce qu’il avait vu,
Et transmettant le message qu’il avait reçu,
Et qui disait ceci, ni moins ni plus :

Nous ne vous avons pas quittés,
Seul notre corps est parti,
Mais notre cœur lui est resté,
Au fond du vôtre tapi.

En cette fin d’année souhaitez à vos aimés,
Bonne année, bonheur et santé,
Pour nous aussi ayez une pensée,
Car nous veillons sur vous où que vous soyez.

Yaël 11/12/2010

Publié dans:poemes |on 11 décembre, 2010 |Pas de commentaires »

la complainte du mâle

aaaaalemalepoeme.jpg

Pendant longtemps, pendant des lustres,
J’étais le mâle incontesté,
Femme faisait ce que je disais,
Il ne me restait plus qu’à bomber le buste.

Qu’il était bon le temps où j’étais le maitre,
Guerroyant ou baisant pour mon simple plaisir,
Femme était là pour combler mes désirs,
Pour être adulé je n’avais qu’à paraître.

Sur mon trône d’orgueil, mes vanités posées,
Tout mon petit monde venait les contempler,
Du petit au plus grand chacun enviait,
La chance et le luxe qu’à mes pieds j’étalais.

Pourtant un jour mon ciel s’est assombri,
Femme a osé décider à ma place,
Et moi j’avoue que je n’ai pas compris,
Cet acte accompli avec autant d’audace.

Moi ! le maitre des lieux pourtant si bon parfois,
Qui offrait bien souvent robes et bijoux,
A celle qui par chance partageait ma couche,
Comment osait-elle élever la voix ?

J’eus beau faire, j’eus beau dire,
Femme n’a plus cessé depuis ce moment là,
D’avoir des exigences, d’avoir des envies,
Qui jusque ici n’étaient là que pour moi.

Des années ont passé, j’ai perdu tous mes biens,
Je ne décide plus rien, je me sens tel un chien
Qui suit son maitre en remuant la queue,
Devant faire uniquement ce que femme veut.

Alors femmes de peu de cœur !
Ne me demandez pas d’être à la hauteur,
De vous ouvrir la porte,d’être valet de cœur,
Ca c’est pour le passé et n’a plus de valeur.

Et si un jour il vous prenait l’envie,
De redonner à l’homme le rôle qui lui revient,
Il vous faudrait d’abord femmes impies,
Nous rendre l’honneur que vous nous avez pris.

Yaël le 20/09/2010

Publié dans:poemes |on 20 septembre, 2010 |2 Commentaires »

le couple maudit

aaaamourhaine3.jpg

  

Amour et Haine étaient amis,du moins le disait-on, 

Bras dessus, bras dessous à courir les  jupons, 

A compter fleurette à toutes celles qui passaient, 

Murmurer des « je t’aime » comme s’il en pleuvait. 

  

  

Amour était sensible, Haine était faite d’airain, 

Amour était beau, Haine l’était beaucoup moins 

Et cette différence, loin de les éloigner 

Leur permettait de vivre en toute impunité. 

  

Amour était frivole, Haine était le contraire 

Amour aimait aimer, haine ne savait  le faire 

Et comme on peut  dire qu’ils se complétaient 

Alors pourquoi un jour,se sont-ils séparés ? 

  

C’est une longue histoire difficile à conter 

Car tous les sentiments y sont mélanger, 

Sincérité,doutes, soupcons méfiance, 

Pardons, soupirs, aveux, défiance, 

  

Bien sur qu’Amour l’ avait trompée 

Alors qu’a la Haine il avait promis 

respect, confiance et fidélité 

Mais Haine savait qu’il était ainsi. 

  

Du haut de ses blessures haine le toisait, 

Amour avait beau dire, rien  n’y faisait, 

Haine était rancunière elle  n’oublierait jamais 

Ce coup porté au coeur par  celui qu’elle aimait. 

  

C’est pourquoi depuis, vous ne verrez plus 

Amour et Haine agir en même temps 

Le premier commence à faire sa cour 

La seconde surveille du haut de sa tour 

  

  

Et attend le moment de cracher son fiel 

Dont elle possède des réserves sans fin 

Tuant ainsi et de manière experte 

Ceux qui hélas aiment plutôt mal que bien. 

  

Yaël 

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

  

Publié dans:poemes |on 18 juin, 2010 |Pas de commentaires »

ETRE ET AVOIR

decomaya2.jpg

 

ETRE ET AVOIR

Loin des vieux livres de grammaire, 

écoutez comment un beau soir, 

Ma  mère m’enseigna les mystères 

Du verbe être et du verbe avoir. 

  

Parmi mes meilleurs auxiliaires, 

Il est deux verbes originaux. 

Avoir et ֺêtre étaient  deux frères 

Que j’ai connus dès le berceau. 

  

Bien qu’opposés de caractère, 

On pouvait les croire jumeaux, 

Tant leur histoire est singulière. 

Mais ces deux frères étaient rivaux 

  

Ce qu’Avoir aurait voulu être 

 Etre voulait toujours l’avoir. 

 A ne vouloir ni dieu ni maitre, 

Le verbe ֺêtre s’est fait avoir. 

  

Son frère Avoir était en banque 

Et faisait un grand numéro, 

Alors qu’Etre toujours en manque. 

Souffrait beaucoup dans son ego. 

  

Pendant qu’Etre apprenait à lire 

Et faisait ses humanités, 

De son côté sans rien lui dire 

Avoir apprenait àcompter. 

  

Et il amassait des fortunes 

En avoirs, en liquidités, 

Pendant qu’être, un peu dans la lune 

S’était laissé déposséder 

  

Avoir était ostentatoire 

Lorsqu’il se montrait généreux 

ֺEtre en revanche, et c’est notoire, 

Est bien souvent présomptueux. 

  

Avoir voyage en classe Affaires. 

Il met tous ses titres àl’abri. 

Alors qu’être est plus débonnaire, 

Il ne gardera rien pour lui. 

  

Sa richesse est tout intérieure, 

Ce sont les choses de l’esprit. 

Le verb ֺêtre est tout en pudeur, 

Et sa noblesse est à ce prix. 

  

Un jour à force de chimères 

Pour parvenir à un accord, 

Entre verbes ça peut se faire, 

Ils conjuguèrent leurs efforts. 

  

Et pour ne pas perdre la face 

Au milieu des mots rassemblés, 

Ils se sont répartis les tâches 

Pour enfin se réconcilier. 

  

Le verbe avoir a besoin dֺêtre 

Parce qu’être, c’est exister. 

Le verbe ֺêtre a besoin d’avoirs 

Pour enrichir ses bons côtés 

  

Et de palabres interminables 

En arguties alambiquées, 

Nos deux frères inséparables 

Ont pu être et avoir été 

  

JE NE SAIS PAS QUI A ECRIT CETTE PETITE MERVEILLE

Publié dans:poemes |on 17 juin, 2010 |2 Commentaires »

pourquoi maman ?

maman80.jpgPourquoi Maman ? 

  

Dans ta tenue bien propre je te revois, 

Lèvres pincées, regard dirigé vers moi, 

Et j’attends la claque qui va tomber, 

Pour une faute commise, laquelle ? je ne sais pas. 

  

Pourquoi maman ne m’as tu pas parlé ? 

  

Pour fuir ce monde dans lequel je suis née, 

Des rêves à la pelle je me suis inventés, 

Rêves tous plus beaux les uns que les autres, 

Mais qui me tenaient loin de la réalité. 

  

Pourquoi maman ne m’as tu pas expliqué ? 

  

Lorsque plus tard j’ai fait mes premiers pas, 

Dans la vie d’adulte que je ne connaissais pas, 

Toutes les erreurs possible je les ai commises, 

N’ayant aucune idée des choses permises. 

  

Pourquoi Maman n’étais tu pas à mes côtés ? 

  

J’ai eu moi aussi deux beaux enfants, 

Deux fils a qui je voulais tout donner, 

Tout ce que je n’avais pas eu, 

Tout ce qui me manquait. 

  

Pourquoi Maman n’ai-je pas réussi ? 

  

C’est peut-être pour cela qu’alors j’ai compris, 

Qu’être mère est une très lourde charge, 

Qu’on mêne rarement à bien quel que soit notre âge, 

Et que ce savoir n’est jamais acquis. 

  

Depuis longtemps déjà tu es partie, 

Et comme nous n’avons jamais pu nous parler, 

Toutes ces choses je ne te les ai pas dites, 

Et aujourd’hui je voudrais te crier: 

  

Je t’aime Maman.! 

  

  

Publié dans:poemes |on 30 mai, 2010 |Pas de commentaires »

ELLE S APPELAIT SARAH

aaajoliecarte1.jpgLorsque je suis arrivée en Israël en Mars 1981, Je suis allée trois mois dans le kibbutz « nir-am » (sillon du peuple) situé près d’Ashkélon. Mes premiers pas dans ce pays qui allait devenir le mien, au milieu de gens venus de tous horizons, sont un souvenir très doux. Avec le peu d’anglais que je possédais, j’ai fait la connaissance de familles, avec lesquelles je papotais de tout mais surtout de rien, étant donné la pauvreté de mon vocabulaire.

Et puis j’ai rencontré Sarah, jeune femme nouvellement mariée qui sembait chercher auprès de moi, le dépaysement et un peu de sel à mettre dans sa vie qui lui semblait un peu trop fade.

Ne pouvant m’exprimer dans aucune langue comme je le souhaitais, je lui ai écrit ce poême et j’espère qu’elle a trouvé quelqu’un pour le lui traduire

 
ELLE S APPELAIT SARAH

Sur mon chemin j’ai rencontré,
Des fous, des rois et des malheureux,
Peu sont les seconds, légion sont les premiers,
Quant aux troisièmes, ils sont très nombreux.

J’ai vu aussi, il faut le dire
Des gens qui ont su garder
Fraicheur, pureté, tout ce qui fait sourire
Et dont beaucoup d’autres se sont amusé.

C’est vers ces derniers que mes pas m’ont guidée,
Avec les yeux du coeur je les ai regardés,
Auprès d’eux, j’ai eu envie de rester,
Pourtant un jour je les ai quittés.

Pourquoi me direz-vous puisque vous étiez bien ?
Parce que j’ai compris que ces deux qualités
Sont un bijou précieux qu’il faut promener
Pour que tout un chacun s’en délecte à sa faim.

Mais un joyau voyons à chacun on le cache !
Si vous avez fortune que personne ne le sache !
Car un jour on viendra vous prendre votre bien
Alors que ferez-vous si vous n’avez plus rien ?

Moi n’avoir plus rien mais vous plaisantez !
J’ai la joie au coeur, de nouvelles amitiés,
Ce joyau, seuls les sincères peuvent le deviner
L’avez-vous vu, vous qui me parlez ?

Ma fortune est invisible à beaucoup de gens,
Et surtout à ceux qui n’ont pas le temps
De faire un sourire à ceux qui en ont besoin,
D’écouter les pleurs ou de tendre la main.

Par contre elle étincelle aux yeux de tous ceux,
Qui au moins une fois ont été malheureux,
Qui peuvent comprendre que c’est avec le coeur
Que l’on réussit tout, même le bonheur.

Et à toi qui m’a inspiré ce poême,
Je te dis simplement « Je t’aime »
Parce que dans tes yeux et sourire confondus,
Je retrouve la pureté que je n’ai pas perdue
Les années qui nous séparent sont celles que j’ai parcourues,
Bien souvent seule, épouvantée et perdue,
Et si je peux un instant marcher à tes côtés,
De buter sur les pierres je voudrais t’éviter.

Souvent j’ai demandé au ciel de m’éclairer
Sur le rôle que je dois dans cette vie jouer
Et quand je me retourne sur le chemin passé
Je n’ai rien su faire d’autre, que de vouloir aimer
Jeannine Avranche -1981

 

 

 

 

 

 

Publié dans:poemes |on 19 avril, 2010 |Pas de commentaires »
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