Archive pour la catégorie 'les évènement qui font l’histoire'

L’origine des saints dont nos prénoms dépendent

00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000071931823

Puisque chacun de nous a un prénom qui le différencie de son voisin, il est normal de connaître l’origine de celui qui nous a été donné à la naissance.

A chacun donc de se reporter au calendrier pour savoir l’histoire de celui ou celle dont nous portons le patronyme.

Mais qu’est ce qu’un saint ?

 

Ce mot désigne une personne dont la vie exemplaire a été jugée digne d’un culte public universel.

Chez les chrétiens, cet homme, ou cette femme, est déclarée saint(e) à titre posthume au cours d’une grande cérémonie solennelle appelée « canonisation ». Le pape, chef de l’église catholique romaine, prononce alors publiquement cette décision, aboutissement d’un procès spécifique.

Historique : le premier Saint

La première personne à avoir été canonisée fût un dénommé Dismas, plus connu sous le nom de « bon larron » qui, crucifié au même moment que Jésus Christ, reconnût publiquement ce dernier comme étant le fils de Dieu.

En effet, ce jour-là 3 personnes (dont Dismas & Jésus) furent cruellement attachées à des croix de bois, comme l’étaient à l’époque les malfaiteurs par les Romains. (en guise d’exemple au public et sans doute pour que les malfrats condamnés à ce supplice ressentent une souffrance physique équivalente à la souffrance physique ou morale qu’ils avaient pu infliger à leurs victimes par le passé).

La dite troisième personne crucifiée injuria Jésus en lui reprochant le fait de ne pas les sauver tous les trois, lui qui se disait être le fils de Dieu. Dismas le reprit pour ce manque de respect vis à vis de Jésus et cette absence de crainte de Dieu, affirmant que tous deux méritaient une mise à mort alors que Jésus n’avait rien fait de mal.

Dismas confessa alors sa foi en exprimant sa confiance à Jésus : « Souviens-toi de moi dans ton royaume… » et le Christ lui répondit « En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu y entreras avec moi… ».

Ainsi, Dismas fût la première personne à être canonisée… par le Christ lui-même.

http://saintsdujour.free.fr/

La légende de Saint Christophe

 

000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000Saint-Christophe

Christophe (La légende de saint)

(D’après « Le Magasin pittoresque », paru en 1834)

Avant d’être chrétien, saint Christophe se nommait Offerus. C’était une espèce de géant. Il avait un gros corps, de gros membres, et une grande figure où respirait la bonté. Quand il fut à l’âge de raison, il se mit à voyager en disant qu’il voulait servir le plus grand roi du monde.

On l’envoya à la cour d’un roi puissant qui fut bien réjoui d’avoir un serviteur aussi fort. Mais un jour, le roi entendant un chanteur prononcer le nom du Diable, fit aussitôt le signe de la croix, avec terreur.

« Pourquoi cela ? demanda Christophe.
— Parce que je crains le Diable, répondit le roi.
— Si tu le crains, tu n’es donc pas si puissant que lui ? Alors je veux servir le Diable. »

Et Offerus quitta la cour. Après avoir longtemps marché, il vit venir à lui une grande troupe de cavaliers ; leur chef était noir et lui dit :
« Offerus, que cherches-tu ?
— Je cherche le Diable pour le servir.
— Je suis le Diable, suis-moi. »

Offerus suivit le Diable. Mais un jour, la troupe rencontra une croix sur le chemin, et le Diable ordonna de retourner en arrière :
« Pourquoi cela ? dit Offerus.
— Parce que je crains l’image du Christ.
— Si tu crains l’image du Christ, tu es donc moins fort que le Christ ? Alors je veux servir le Christ. »

Et Offerus continua seul sa route. Il rencontra un bon ermite et lui demanda :
« Où est le Christ ?
— Partout, répondit l’ermite.
— Je ne comprends pas cela, dit Offerus ; mais si vous dites vrai, quels services peut lui rendre un serviteur robuste et alerte ?
— On sert Jésus-Christ par les prières, les jeûnes et les veilles, ajouta l’ermite.
— Je ne peux ni prier, ni jeûner, ni veiller, réplique Offerus ; enseignez-moi donc une autre manière de le servir ? »

L’ermite le conduisit au bord d’un torrent furieux qui descendait des montagnes et il dit :
« Les pauvres gens qui ont voulu traverser cette eau se sont tous noyés. Reste ici, et porte ceux qui se présenteront à l’autre bord sur tes fortes épaules ; si tu fais cela pour l’amour du Christ, il te reconnaîtra pour son serviteur.
— Je veux bien le faire pour l’amour du Christ, répondit Offerus. »

Il se bâtit donc une petite cabane sur le rivage, et il transportait nuit et jour tous les voyageurs d’un côté à l’autre du torrent. Une nuit, comme il s’était endormi de fatigue, il entendit la voix d’un enfant qui l’appela trois fois par son nom : il se leva, prit l’enfant sur ses épaules et entra dans le torrent. Tout à coup les flots s’enflèrent et devinrent furieux, et l’enfant pesa sur lui comme un lourd fardeau ; Offerus déracina un grand arbre et rassembla ses forces mais les flots grossissaient toujours, et l’enfant devenait de plus en plus pesant. Offerus, craignant de noyer l’enfant, lui dit en levant la tête : « Enfant, pourquoi te fais-tu si lourd, il me semble que je porte le monde. »

L’enfant répondit : « Non seulement tu portes le monde, mais celui qui a fait le monde. Je suis le Christ, ton Dieu et ton maître, celui que tu dois servir. Je te baptise au nom de mon père, en mon propre nom, et celui du Saint-Esprit. Désormais, tu t’appelleras Christophe » (c’est-à-dire porte-Christ).

Depuis ce jour, Christophe parcourut la terre pour enseigner la parole du Christ ; et il fut, selon l’opinion la plus connue, martyrisé en Lycie, durant la persécution de Dèce, vers 251. La bonté de saint Christophe a été l’origine de plusieurs proverbes. On disait entre autres choses :

« Qui te mane vident nocturno tempore rident. »
Ceux qui verront saint Christophe le matin riront le soir.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article1950

Histoire du français –

 

00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000langue2_raban

Aux origines de notre langue

 

 « On ne connaît d’où est un homme qu’après qu’il a parlé. L’usage et le besoin font apprendre à chacun la langue de son pays ; mais qu’est-ce qui fait que cette langue est celle de son pays et non pas d’un autre ? » Cette question de Rousseau est plus que jamais d’actualité puisque certains se demandent si le français ne va pas finir par rejoindre son ancêtre latin dans la famille des langues mortes.

Remontons le cours du temps pour observer la lente et irréversible évolution de notre bon vieux français, cette poussière dans la tour de Babel.

 

Grrr…

« On n’a jamais vu naître une langue ». Pour le grand linguiste Ferdinand de Saussure, impossible donc de dater la naissance du français. Mais on peut en chercher les origines en remontant à la « révolution du paléolithique supérieur » qui, il y a 40 000 ans, aurait vu l’apparition d’un langage articulé digne de ce nom.

Il suffit d’observer l’anatomie de nos ancêtres et leur capacité, à cette époque, à tisser des relations afin d’échanger des outils et créer des œuvres d’art (grottes ornées) pour ne plus douter de leur capacité à papoter. Des langues se seraient ainsi peu à peu formées jusqu’à ce que l’une d’elles prenne plus d’importance : c’est la théorie de l’indo-européen, toujours discutée de nos jours.

Au XVIIIe s., l’anglais William Jones, découvrant des similitudes entre le sanskrit, le grec et le latin, en avait conclu l’existence d’une langue-mère apparue au néolithique en Inde, à moins que cela ne soit du côté de la mer Noire… Seuls quelques rares dialectes, comme l’euskara basque, auraient su lui résister.

La plupart des communautés occupant notre région avant l’arrivée des Romains parlaient donc une langue gauloise issue de la branche celte de l’indo-européen que, faute de supports écrits, nous ne connaissons guère. Tout cela parce que les druides étaient trop jaloux de leur savoir pour le partager en inventant une écriture !

De l’origine des langues

« Il est donc à croire que les besoins dictèrent les premiers gestes, et que les passions arrachèrent les premières voix. [...] On prétend que les hommes inventèrent la parole pour exprimer leurs besoins, cette opinion me parait insoutenable. L’effet naturel des premiers besoins fut d’écarter les hommes et non de les rapprocher. Il le fallait ainsi pour que l’espèce vint à s’étendre, et que la terre se peupla promptement, sans quoi le genre humain se fut entassé dans un coin du monde, et tout le reste fut demeuré désert. De cela seul il suit avec évidence que l’origine des langues n’est point due aux premiers besoins des hommes, il serait absurde que de la cause qui les écarte vint le moyen qui les unit. D’ou peut donc venir cette origine ? Des besoins moraux, les passions. Toutes les passions rapprochent les hommes que la nécessité de chercher à vivre force à se fuir. Ce n’est ni la faim ni la soif, mais l’amour, la haine, la pitié, la colère, qui leur ont arraché les premières voix. Les fruits ne se dérobent point à nos mains, on peut s’en nourrir sans parler, on poursuit en silence la proie dont on veut se repaître : mais pour émouvoir un jeune cœur, pour repousser un agresseur injuste, la nature dicte des accents, des cris, des plaintes. Voila les plus anciens mots inventés, et voila pourquoi les premières langues furent chantantes et passionnées avant d’être simples et méthodiques. » (Jean-Jacques Rousseau, De l’Origine des langues, 1781)

 

Rosa, rosa, rosam…

Aux alentours de 52 av. J.-C., César et son latin s’imposent dans une grande partie de l’Europe. Né au VIIIe s. d’un dialecte du Latium, cette langue devient vite celle des élites colonisées tandis que dans les couches plus populaires, un « mauvais latin » est diffusé par les légionnaires. Eux ne désignent pas le cheval par le terme noble d’equus, mais l’appellent cabalus ; celui-ci, pour les premiers pourra être magnus (grand) et pour les autres grandis.

Au fil des années, mots et structures se laissent influencer par les parlers locaux pour former une sorte de latin local rustique qu’on a finalement appelé le roman.

Les termes se voient souvent rétrécis, à l’exemple de hospitalem qui devient notre hôtelmais dont la racine est toujours présente dans le plus « noble » hospitalité. Les s placés en fin de syllabe payent aussi le prix de cette évolution : on ne dira plus bestia maisbête, l’accent circonflexe marquant la place de la lettre latine désormais fantôme.

Le latin savant n’en disparaît pas pour autant puisque, comme nous le verrons au fil des siècles des initiatives ont permis l’ajout dans notre vocabulaire de nombreux mots, permettant des cohabitations parfois étonnantes entre forme pure et forme « bâtarde » : auriez-vous fait le lien entre ligature et lierauriculaire et oreillepaon et se pavaner ?

Quintilien et les mots étrangers du Latin

« […] les mots, comme je l’ai dit, sont ou latins ou étrangers. Or, par mots étrangers, j’entends ceux qui nous sont venus de presque toutes les nations, comme il nous en est venu beaucoup d’hommes et beaucoup d’institutions. Je passe sous silence les Toscans, les Sabins et même les Prénestins ; car quoique Lucilius reproche à Vettius de se servir de leur langage, de même que Pollion a cru remarquer dans Tite-Live quelque chose qui sent le terroir de Padoue, je puis considérer comme Romains tous les peuples de l’Italie. Plusieurs mots gaulois ont prévalu, tels que rheda [chariot] et petorritum[chariot suspendu], qu’on trouve l’un dans Cicéron, l’autre dans Horace. Les Carthaginois revendiquent mappa [serviette], usité dans le cirque ; et j’ai entendu dire que gurdus, dont le peuple se sert pour désigner un niais, a une origine espagnole. Au surplus, dans ma division, j’ai particulièrement en vue la langue grecque, parce que c’est d’elle que la nôtre s’est formée en grande partie, et que même nous nous servons au besoin de mots purement grecs, comme aussi quelquefois les Grecs nous font des emprunts » [Quintilien, Institution oratoire, I, 95 ap. J.-C.).

Des Barbares à tous les coins de phrases

Mais alors qu’il se croyait bien installé en Gaule, le latin vit arriver de tous les côtés des individus étranges qui baragouinaient des langues incompréhensibles : les Barbares ! Plus que le mode de vie ou l’aspect, c’est en effet la langue qui, aux yeux des Grecs puis des Romains, différenciait les peuples. Le Barbare n’est-il pas à l’origine celui qui n’est capable que de s’exprimer par des borborygmes ridicules, genre « brbr », d’où son nom ?

À partir du IIIe s., le temps n’est plus à la moquerie : les envahisseurs germaniques(Francs, Wisigoths, Burgondes…) sont en train de déferler sur l’Empire. Malheur au latin ! Mais alors qu’il semble voué à la disparition, il résiste au point de sortir vainqueur de ces idiomes envahisseurs qu’il va diluer dans une nouvelle langue, le roman.

L’affaire ne se fait pas sans mal puisque l’ennemi résiste en influençant la prononciation (le h aspiré, d’origine franque) et en phagocytant le vocabulaire avec des centaines de mots, pour la plupart d’ailleurs déjà présents avant les invasions. La place des termes en est parfois toute chamboulée, les Francs n’aimant rien tant que de placer les adjectifs devant les noms. Et voici comment cohabitent aujourd’hui Châteauneuf et Neufchâteau,Longeville et Villelongue

Charlemagne, le « Monsieur Propre » de la langue

 

C’est à l’Église que l’on doit la persistance du latin dans le nouveau royaume des Francs où se multiplient les monastères. Dans les ateliers de copistes monastiques, on continue à reproduire inlassablement les grands textes bibliques ou de culture gréco-latine. Mais qu’ont encore en commun ces écrits et la langue parlée par le peuple ? Pratiquement rien !

Constatant que la rustica romana linguade la rue ne permet plus de comprendre les messes, en 813 le concile de Tours en vient même à demander à ses prêtres de traduire leurs prêches pour que les fidèles les comprennent.

Sur ordre de Charlemagne, qui parle un dialecte germanique mais révère le latin, le savant Alcuin s’enferme dans l’abbaye Saint-Martin de Tours pour rendre enfin accessible au plus grand nombre le texte de la Vulgate (traduction de la Bible). Recherche du latin pur, rédaction de glossaires, travail sur la graphie, politique de diffusion…

À l’exemple de son élève Raban Maur, dit le « Précepteur de la Germanie », toute une armée de savants se met au travail pour réaliser le rêve de l’empereur : trouver une langue commune qui permette à tous les chrétiens d’Europe de communiquer.

Outil principal de cette période de renouveau culturel que fut la Renaissance carolingienne, cette quête devient une telle priorité que les poètes comparent les victoires guerrières de Charlemagne à sa quête des coquilles au sein des livres :
« Héros très courageux, il jette à terre, par ses guerres, les sauvages
Le roi Charles ne le cède à personne par l’éclat du cœur
Sans souffrir que les ronces de l’erreur s’immiscent parmi les livres,
sublime par son zèle, en tout il corrige bien »
 (cité dans Monumenta Germaniae Historica, 1881).

Avec « l’empereur à la barbe fleurie », c’est le début de la mainmise des autorités sur la langue, quitte à aller à contre-sens de l’évolution normale. Faut-il remercier ses acolytes linguistes d’avoir réintroduit des termes latins inconnus dans la langue courante ? Et c’est ainsi que le « frère » se trouva enrichi de l’adjectif « fraternel », fort peu populaire 

 

 

http://www.herodote.net/Histoire_du_francais-synthese-2087.php

Le petit Tibet d’Alexandra David Néel

 

00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000001147531

 

 

J’ai aimé découvrir cette femme dont je n’avais jamais entendu parler :Alexandra david Néel

Une femme extraordinaire à la personnalité et la vie hors du commun.

J’espère que vous prendrez autant de plaisir que moi  et que vous savourerez  la façon dont elle nous est présentée ici.

J’aurais aimé la connaître.

https://www.youtube.com/watch?v=O12aiyL80M4

Les dernières poupées de France

 

000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000Poupees-Petitcollin

Petitcollin : les dernières poupées de France
à Étain, dans la Meuse

A Étain, dans la Meuse, l’usine de poupées Petitcollin a des allures de survivante. Haut de gamme et originalité lui permettent d’être la dernière fabrique de poupées en France et de résister au raz-de-marée de jouets made in China.

Les poupées traditionnelles des années 50 et 60 sont toujours fabriquées selon les méthodes de l’époque. Aujourd’hui, ce sont 30 000 poupées qui sortent de l’atelier meusien ; machines et moules ancestraux toujours en action. Assise devant une petite table en bois, Linda habille le baigneur série limitée des Poilus, destiné au musée. « Je joue à la poupée », lance-t-elle tout sourire, rayonnante dans une usine pourtant sombre et vieillotte. « J’adore mon métier. » Elle fait partie des cinq salariés à plein-temps qui tournent sur tous les postes. On est loin de la ruche des années 60 et ses mille ouvrières.

Assemblage, pose des cheveux, des yeux, décors au pistolet, habillage. Création et fabrication des vêtements sont soignées. Chaque année, 20 000 poupées habillées, 50 000 pièces assemblées, des collections tenues secrètes avec stylistes extérieurs et deux couturières à domicile. « Mais ça ne suffit pas », admet Yvan Lacroix, directeur du site. « D’où notre sous-traitance en Tunisie pour les pièces les plus simples. Certains modèles sont aussi compliqués à assembler que de la lingerie fine. »

La suite ici : http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article13121

Il s’appelait Désiré

0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000tout-ce-qui-s-en-va-revient-10913818

Il s’appelait DÉSIRÉ , c’était un pauvre fermier écossais. 
Un jour, alors qu’il tentait de gagner la vie de sa famille, 
il entendit un appel au secours provenant d’un marécage proche. 
Il laissa tomber ses outils, 
y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu’à la taille 
dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer. 
Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et 
cruelle. 
Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme. 
Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta 
comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé. 

- Je veux vous récompenser, dit le noble. 
Vous avez sauvé la vie de mon fils! 
- Je ne peux accepter de paiement pour ce que j’ai fait répondit le 
fermier écossais. 
Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane. 

- C’est votre fils? demanda le noble. 
- Oui, répondit fièrement le fermier. 
- Alors, je vous propose un marché. 
-Permettez-moi d’offrir à votre fils la même éducation qu’à mon fils. 
Si le fils ressemble au père, je suis sûr 
qu’il sera un homme duquel tous deux seront fiers. 
Et le fermier accepta. 
Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles 
et à la grande finale, il fut diplômé de l’Ecole de Médecine de l’Hôpital Sainte-Marie de Londres.Porteur d’une grande aspiration, il continua jusqu’à être connu du monde 
entier. 

Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline. 

Des années plus tard, le fils du même noble 
qui avait été sauvé du marécage était atteint d’une pneumonie. 
Qui lui sauva la vie, cette fois ?… La pénicilline. 

Comment s’appelait le noble ? 
Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill. 

 

Quelqu’un a dit un jour :  » Tout ce qui s’en va, revient…  » Travaille comme si tu n’avais pas besoin d’argent. Aime comme si tu n’avais jamais été blessé. Danse comme si personne ne te regardait. Chante comme si personne ne t’écoutait. Vis comme si le Ciel était sur la Terre. Si les bisous étaient de l’eau , je te donnerais la mer Si les câlins étaient des feuilles, je te donnerais un arbre Si la vie était une planète, je te donnerais une galaxie Si l’amitié était la vie , je te donnerais la mienne

Les choses ont-elles une valeur au Moyen Âge ?

 

00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000arton3281-6b3d3

 

 

par Laurent Feller , le 25 janvier


Comment établir une valeur quand la monnaie manque ? Laurent Feller montre que, durant le haut Moyen Âge, les échanges étaient structurés par la valeur sociale des personnes et les liens de clientélisme ou de dépendance que ces échanges créaient ou maintenaient entre elles. La valeur apparaît comme indissociable de l’ordre social.

Les choses ont-elles une valeur au Moyen Âge ? Cette question un peu provocatrice a pour but d’indiquer la perplexité dans laquelle se trouvent les historiens de l’économie médiévale, et plus spécialement ceux du haut Moyen Âge, puisque l’on parlera essentiellement ici de la période 800-1200, face à la question de la valeur des choses. Il est difficile en effet aux médiévistes de quantifier et d’utiliser les nombres pour décrire échange, production, ou consommation à la fois parce que les chiffres sont peu nombreux et parce que, derrière ceux qui sont inscrits, peuvent se trouver d’autres réalités que celle de la valeur. Cette question est en fait souvent évacuée : elle implique en effet de se concentrer sur les rapports que les choses entretiennent entre elles alors que la tendance est de s’interroger sur le rapport que les hommes entretiennent entre eux à travers les choses. La question de la valeur et de sa mesure doit, pour être comprise, donner lieu à des combinatoires associant des faits mesurables et observables (les quantités) à des faits observables mais non mesurables (les buts poursuivis par les agents).

La suite ici :  http://www.laviedesidees.fr/Les-choses-ont-elles-une-valeur-au-Moyen-Age.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

Il y a seulement soixante dis ans……

 

Trouvé sur fb.

00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000ob_56da7e_02a8d0db-f896-4d9b-b7d8-c929cae5ce06
J’ALLAIS PLEURER EN LISANT CE DISCOURS DU 1er MINISTRE D’ISRAËL BENJAMIN NETANYAHU, MAIS A LA FIN J DIS GLOIRE A DIEU.

LISONS ENSEMBLE

Monsieur Nethanyahu a dit :
Il y a seulement 70 ans ! les Juifs étaient menés à l’abattoir comme des moutons.
> Il y a seulement 60 ans !
> Pas de pays. Pas d’armée.

Sept pays arabes déclarèrent la guerre au petit Etat juif, seulement quelques heures après sa création !
> Nous étions alors 650 000 Juifs contre le reste du monde arabe !

Pas de Tsahal (armée de défense d’Israël).

Pas de puissante Armée de l’Air, seulement des gens courageux avec nulle part où aller.
> Liban, Syrie, Irak, Jordanie, Egypte, Libye, Arabie Saoudite
> attaquèrent tous en même temps.
> Le pays que l’ONU nous a « donné » était un désert à 65%.
> Le pays est sorti de nulle part !

> Il y a 35 ans ! Nous avons combattu les trois armées les plus
> puissantes du Moyen-Orient, et nous les avons balayées en six jours.

Nous nous sommes battus contre différentes coalitions de pays arabes, qui avaient des armées modernes et de nombreuses armes soviétiques, et nous les avons toujours battues !

Aujourd’hui nous avons :
> Un pays,
> Une armée,
> Une puissante Armée de l’Air,
> Une économie à la pointe de la technologie, qui exporte des millions de dollars.
> Intel – Microsoft – IBM y développe des produits, chez nous.
> Nos docteurs remportent des récompenses pour leurs recherches dans le domaine médical.

> Nous faisons fleurir le désert, et vendons des oranges ,des fleurs et des légumes au monde entier.
> Israël a envoyé ses propres satellites dans l’espace !
> Trois satellites en même temps !
> Nous sommes fiers d’être au même rang que :
> Les États-Unis, qui ont 250 millions d’habitants,
> La Russie , qui a 200 millions d’habitants,
> La Chine , qui a 1.3 milliards d’habitants ;
> Les Européens – France, Grande-Bretagne, Allemagne – qui ont 350 millions d’habitants.

> Les seuls pays au monde à envoyer des objets dans l’espace !
> Israël fait aujourd’hui partie de la famille des puissances nucléaires,
> Avec les États-Unis, la Russie , la Chine , l’Inde, la France , et la
> Grande-Bretagne.

> ( Nous ne l’avons jamais admis officiellement, mais tout le monde le sait )
> Et dire qu’il y a seulement 60 ans,
> Nous étions menés, honteux, sans espoir, au massacre !
> Nous nous sommes extirpés des ruines fumantes de l’Europe,
> Nous avons remporté nos guerres ici avec moins que rien
> Nous avons construit notre petit « empire » à partir de rien.

Qui est le Hamas pour me faire peur ?
> Pour me terrifier ?
> Vous me faites rire !
> Pessah’ a été célébré ;
> N’oublions pas de quoi il s’agit.
> Nous avons survécu à Pharaon,
> Nous avons survécu aux Grecs,
> Nous avons survécu aux Romains,
> Nous avons survécu à l’Inquisition en Espagne,
> Nous avons aux pogroms en Russie,
> Nous avons survécu à Hitler,
> Nous avons survécu aux Allemands,
> Nous avons survécu à l’Holocauste,
> Nous avons survécu face aux armées de sept pays arabes,
> Nous avons survécu à Saddam.
> Nous survivrons aux ennemis présents également

Pensez à n’importe quelle époque de l’histoire humaine !

Pensez-y, pour nous, le peuple juif,
> La situation n’a jamais été meilleure !
> Alors regardons le monde en face,

Rappelons-nous :
> Toutes les nations ou les cultures
> Qui un jour ont voulu nous détruire,
> N’existent plus aujourd’hui – alors que nous vivons toujours !
> L’Égypte?
> Les Grecs ?
> Alexandre de Macédoine ?
> Les Romains ? (Quelqu’un parle-t-il encore latin de nos jours ?)
> Le troisième Reich ?
> Et regardez-nous,
> La nation de la Bible ,
> Les esclaves d’Égypte,
> Nous sommes toujours là,

Et nous parlons la même langue !
> Ici, et maintenant !
> Les Arabes ne le savent pas encore,
> Mais ils vont apprendre qu’il y a un Dieu.
> Tant que nous gardons notre identité, nous sommes éternels.

Alors excusez-nous de ne pas nous inquiéter,
> De ne pas pleurer,
> De ne pas avoir peur.
> Les choses vont bien ici.
> Elles pourraient certainement aller mieux,

Cependant :
> Ne croyez pas les médias,
> Ils ne vous disent pas
> Que les fêtes continuent d’avoir lieu,
> Que les gens continuent à vivre,
> Que les gens continuent à sortir,
> Que les gens continuent à voir des amis.

Oui, notre moral est bas.
> Et alors ?

C’est seulement parce que nous pleurons nos morts pendant que d’autres se réjouissent du sang versé.

> C’est la raison pour laquelle nous gagnerons, en fin de compte.

JAMAIS NE DORT NI NE SOMMEILLE LE GARDIEN D’ISRAËL !

Faites suivre cet DISCOURS à toute la communauté ,
> Et à des gens dans le monde entier.
> Ils font partie de notre force

La France pittoresque – Proudhon

 

0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000Proudhon-Courbet

Démêlés du polémiste et anarchiste
Proudhon avec un propriétaire

(D’après « La Revue hebdomadaire », paru en 1903)

 

Une anecdote assez curieuse sur Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865), lecélèbre polémiste, philosophe et précurseur de l’anarchisme, nous le donne à voir aux prises avec un propriétaire

Un jour, Proudhon conçoit l’idée de fonder à Paris une librairie populaire. Il visite plusieurs appartements et en découvre un très vaste, rue Vivienne, situé au premier étage et qui lui paraît faire tout à fait son affaire. Se mettant en rapport avec le propriétaire et débattant avec lui du prix du loyer, il l’arrête au prix de 6 000 francs par an.

Il était enchanté de son acquisition lorsque, quelques jours plus tard, rencontrant un de ses amis, il lui parle du fameux loyer. L’autre hausse les épaules et lui démontre clair comme le jour, qu’il a été dupe, que le prix est beaucoup trop élevé et que le propriétaire, comme on le dit vulgairement « l’a mis dedans. » Proudhon ne veut pas être battu : il cherche, et enfin, il trouve un expédient. Il retourne chez son propriétaire :

 

— Votre appartement est bien petit.
— Ah ! que voulez-vous, monsieur Proudhon ? Vous l’avez vu avant de signer le bail, et celui-ci est signé dans toutes les formes.
— Sans doute, mais c’est à cause de mon commerce.
— Comment, votre commerce ? Mais je vous croyais rentier.
— Hélas ! les temps sont durs, j’ai dû acheter un fonds…
— Un fonds de quoi ?
— Marchand de fromages en gros.
— Marchand de fromages ! Mais, malheureux, vous n’y songez pas : vous allez empester la maison.
— C’est possible, monsieur, mais il fallait me demander mon genre de commerce, et, comme vous le disiez tout à l’heure, notre bail est signé dans toutes les formes ; il n’y a plus à se dédire.

Le propriétaire se met à geindre, à entrer en fureur, à supplier, puis il s’apaise et propose à Proudhon une transaction :

— Pardon, monsieur Proudhon, mais quand on me condamnerait à 1 000 francs de dédit, je les payerais plutôt que de voir entrer chez moi des cargaisons de fromages.
— Eh bien, monsieur, je ne suis pas si exigeant ; je ne vous demande que 600 francs pour le dédit, et nous résilions le bail.

Ce qui fut dit fut fait. Le bail fut résilié, et le propriétaire compta 600 francs à Proudhon qui les envoya aux pauvres de Besançon. Le lendemain, les petits journaux s’emparaient de l’aventure et accusaient Proudhon d’accaparer les fromages.

 

 

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article13134

Il s’appelle Jadav Payeng et il l’a fait tout seul

0000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000

Voici l’histoire, digne de Jean Giono, de cet homme exceptionnel qui planté une forêt pour sauver son île.

Depuis l’année 1979, un homme du nom Jadav Payeng a cultivé à lui tout seul une forêt entière de plus de 550 hectares pour réduire les conséquences de l’érosion . Soit une superficie plus grande que le Central Park de New York ! Et le plus fou, c’est qu’il a fait tout cela avec ses mains comme seul outil, sans aide extérieure… et en plantant un arbre à la fois.

L’île de Majuli se trouve dans le nord de l’Inde. Il s’agit d’un banc de sable géant qui abrite plus de 150 000 habitants et qui est l’une des plus grandes îles fluviales dans le monde. Sur cette île, on trouve la forêt de Molaï, une forêt atypique, unique au monde et pour cause : Elle a seulement été  plantée par cet homme.

« Forest man » comme on l’appelle là bas,et ces arbres sont l’aventure d’une vie, le résultat de 30 années de travail intensif.

La suite ici :http://lunite.ning.com/profiles/blog/show?id=6449619:BlogPost:229215&xgs=1&xg_source=msg_share_post

123456...22

Ni OUI ni NON |
elevator |
freressuricate |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | titinou
| Rakipedia™
| toute en humour