Archive pour la catégorie 'les évènement qui font l’histoire'

Une affaire d’accent

 

Robert-Estienne

 

 Robert Estienne

Accents sur la lettre e
et abandon de l’écriture gothique

Avant le règne de François Ier, qui débuta en 1515, on ne trouve aucun eaccentué dans les manuscrits ni dans les livres imprimés, et cependant les différentes valeurs de l’e étaient déjà tellement distinctes, que, pour certains noms terminés en é, on écrivait ai. Si la distinction entre le u et le v, de même que celle entre le i et le j, est bien établie dès le XVIIe siècle, l’e accentué s’imposa en revanche plus tardivement, notre langue n’accouchant de l’accent circonflexe qu’au début du XVIIIe siècle. Et en 1814, la lettre e hérita par ailleurs temporairement d’un accent dit moyen sous l’impulsion de la célèbre imprimerie Didot.

La suite ici :   http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article13208

Histoire de l’Arménie

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L’histoire de l’Arménie se déploie sur plusieurs millénaires, depuis la Préhistoire. Les Arméniens, après s’y être fixés, développèrent une civilisation originale bien que située au carrefour de grands empires –perseséleucidepartheromainsassanidebyzantinarabeturc seldjoukidemongolturc ottoman,séféviderusse – qui vont se disputer son territoire.

 Face aux invasions, les Arméniens ont toujours fait preuve dans leur histoire d’une volonté farouche de conserver leur identité nationale. Même si leur culture a été influencée par leurs voisins dans de nombreux domaines (musiquecuisinelittératurearchitecture, etc.), les Arméniens ont puisé dans une version nationale du christianisme enracinée dans leur langue la force de surmonter les pires épreuves, surtout au début du xxe siècle avec le génocide arménien.

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La culture arménienne se perpétue en République d’Arménie mais aussi un peu partout dans le monde dans la diaspora arménienne.

Source wikipédia

La vidéo de ce beau pays se trouve ici : http://www.aypoupen.com/1686/artsakh-a-great-video-documentary-all-about-the-armenian-state/

Ce jour où ta conscience te gifle et t’empêche de dormir !

 

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Lily Nouille

Si aujourd’hui l’esclavage est une page sombre de notre histoire qui me laisse sans voix, je me suis souvent demandée, perplexe et sidérée, comment l’Homme Blanc a pu exploiter l’Homme Noir durant des siècles et des siècles et à travers le monde en toute liberté sans se poser la moindre question sur cette « tradition », sans même se douter que ce qu’il était en train de faire était injuste et immoral… Comment a-t-il pu être persuadé être la race supérieure et croire dur comme fer que l’Homme Noir était moins doué de sensations, de sentiments, d’intelligence et qu’il était sur Terre pour servir l’Homme Blanc… Comment celui-ci a-t-il pu s’octroyer le droit de vie et de mort sur le Noir et lui infliger autant de souffrance et d’humiliation ? Comment a-t-il pu penser une seule seconde que la différence de race était un critère suffisant pour justifier cet asservissement ?

« Si la cruauté humaine s’est tant exercée contre l’homme, c’est trop souvent qu’elle s’était fait la main sur les animaux ». – Marguerite Yourcenar -

Un jour, après avoir appris que l’humain n’avait aucune nécessité physiologique à manger les animaux, j’ai alors trouvé dans mon assiette une partie de ma réponse : Je ne mangeais pas de la viande, non, je mangeais le corps sans vie d’un « esclave » meurtri et tué pour assouvir, non pas un besoin vital, mais un plaisir égoïste… Elle est là, la gifle !

Et si les raisons pour lesquelles l’exploitation des Noirs a existé et perduré étaient les mêmes pour lesquelles l’exploitation des animaux existe et perdure ?

La suite ici : http://hippiehappymam.wix.com/lilynouille#!Ce-jour-où-ta-conscience-te-gifle-et-tempêche-de-dormir-/c1a1n/773EC6BA-8FD0-4EA3-AE73-4E4C2487B53E

Bassin de Latone, Château de Versailles

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Il est là, juste devant le château de Versailles. Impossible de le manquer !
C’est le vaste bassin de Latone, récemment restauré.

Recouverte de grenouilles, la fontaine nous raconte une histoire particulièrement chère au roi Louis XIV…

Non, le Roi-Soleil n’éprouve pas une passion secrète pour les batraciens. Il s’agit plutôt d’une représentation du mythe antique de Latone, qui donne son nom au bassin.
Latone est l’amante du dieu Jupiter dont elle a deux enfants, Diane et Apollon. L’épouse légitime du dieu, folle de rage, condamne la malheureuse à l’exil.

Au cours de sa fuite, Latone s’arrête avec ses deux bébés près d’un étang pour se désaltérer. Comme les paysans du coin l’en empêchent, Latone désespérée implore son divin amant de la venger. Et Jupiter transforme aussitôt les paysans… en grenouilles !

C’est précisément ce moment que représente le bassin de Latone : les vilains paysans sont tous à des stades variés entre l’homme et la grenouille.
Avec leurs visages déformés et leurs mains se transformant en pattes palmées, ils offrent un spectacle bien intrigant.

Pourquoi Louis XIV a-t-il choisi cet étrange sujet ? Pour certains historiens, il s’agirait d’une évocation d’un épisode traumatisant de l’enfance du roi, la Fronde.
Pendant cet évènement, les nobles se sont rebellés contre le pouvoir royal, contraignant la mère de Louis XIV à fuir avec son fils. Tout comme la malheureuse Latone !

La fontaine montre donc aux nobles la punition qui les attend s’ils s’opposent au roi.

Ainsi, avec ce bassin judicieusement placé, le message est bien visible de tout le monde !

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Juifs malgré eux : les Chuetas

 

 

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Les « Chuetas » de Majorque ou les Juifs Malgré eux
Juif.org | 7 Mars 2011

Majorque ! Pour beaucoup ce nom évoque l’exotisme à la porte, les vacances et le tourisme de masse. Les agences de voyage en vantent le charme et la beauté. Pour les amateurs d’histoire, il évoque le séjour de quelques personnalités historiques célèbres tels le musicien Frédéric Chopin et la romancière qui signait  » George Sand « .

Pourtant, parmi les centaines de milliers de touristes qui s’y pressent chaque année, bien peu savent que l’île de Majorque est le théâtre d’une anomalie historique unique au monde: la persistance jusqu’à nos jours d’une communauté de descendants de juifs convertis de force au catholicisme en 1435: les Chuetas. Ce sont des  » juifs malgré eux « .

A l’inverse des Marranes du Portugal, qu’évoquait un de nos récents numéros, ils n’ont gardé aucune tradition abâtardie du judaïsme de leurs pères si ce n’est qu’ils pratiquaient jusqu’à il y a peu d’étranges coutumes qu’eux-mêmes étaient incapables d’expliquer et qui se transmettaient de génération en génération sans explication aucune. On peut donc parler à leur endroit de  » crypto-juifs  » (juifs cachés). Juifs, les Chuetas ont cessé de l’être depuis 1691, date des derniers autodafés (actes de foi: cérémonies religieuses solennelles au terme desquelles les condamnés étaient  » relaxés au bras séculier  » pour être brûlés vifs). Aujourd’hui les descendants des  » Chuetas  » sont de bons catholiques, ou, pour la majorité des jeunes, indifférents à toute forme de religion, et pourtant on continue dans l’île à les appeler  » les Juifs « ,  » nous avons même eu un maire juif  » disait un chauffeur de taxi ! L’existence des  » Chuetas  » jusqu’à nos jours semble justifier la thèse célèbre de J.P. Sartre selon laquelle, est juif celui que les autres considèrent comme tel. Cette thèse, un peu courte, convient en tout cas aux Chuetas: il ne sont restés juifs que parce que les autres l’ont voulu ainsi.

Condamnés à l’ignominie pour l’éternité, eux et leurs descendants

Le mot  » Chuetas  » est une injure. En vieux Majorcan cela signifie  » porc « . C’est le nom donné aux descendants des 15 condamnés du dernier autodafé de 1691. Pour le malheur de leurs descendants, le hasard voulut que le Sambenito, vêtement d’infamie que tout condamné portait lors de la cérémonie de l’autodafé, que ces quinze malheureux avaient porté lors de cette procession, fut accroché avec leur nom dans le cloître d’une des églises de la ville: Santo Domingo. Quinze patronymes furent ainsi désignés à la vindicte publique qui atteignit tous ceux qui avaient le malheur de porter ces noms maudits jusqu’à il y a un peut plus de vingt ans ! Il s’agit des familles: Aguilo, Arbona, Bonin, Cortès, Forteza, Fuster, Marti, Miro, Pino, Pomaro, Segura, Tarengi, Valenti, Vallemora et Walls. Bien que les Sambenitos aient été détruits en 1813, jusque vers 1970, tous les Majorcans qui portaient un des ces quinze noms étaient appelés  » Chuetas  » et subissaient un dure discrimination. Un jésuite avait aussi contribué à cette transmission de la haine de génération en génération, il s’agissait du père Garau, un des inquisiteurs des autodafés de 1691, qui avait donné une relation tendancieuse de ce qu’il appelait  » la grande conspiration  » dans un livre qui porte le titre provocateur de la  » fe triumfante  » (la foi triomphante). Ce livre fut pendant plusieurs générations le best-seller de Majorque et connut plusieurs rééditions qui contribuèrent à perpétuer de génération en génération l’anti-chuetisme. Il existe donc à Majorque un antisémitisme très particulier qui ne s’exerce pas contre les Juifs venus de l’extérieur et authentiquement juifs – comme les Juifs ashkénazes qui s’établirent dans l’île ces dernières décennies – mais uniquement à l’encontre des descendants de quinze familles de crypto-juifs qui au 17ème siècle tentèrent vainement de revenir au judaïsme, descendants qui aujourd’hui ne sont plus juifs en rien et qui ne veulent pas l’être ! A l’heure actuelle, il y aurait à Majorque environ 300 familles de  » Chuetas  » et il fallut attendre l’expansion touristique des années 60-70 pour que prenne fin l’anti-chuestisme. Ce sentiment avait été un moyen de contrôle social lié à la fameuse  » pureté de sang  » dont se targuaient les nobles espagnols. Cet ostracisme qui durant des siècles frappa les  » Chuetas  » considérés dans l’île comme de véritables parias, relégués dans une sorte de ghetto,  » la Call  » de Palma, condamnés à l’endogamie (mariage entre cousins) et soumis à mille vexations, a permis à cette étonnante communauté de subsister jusqu’à nos jours.

La branche morte du Judaïsme

Bien que bons catholiques, les  » Chuetas  » n’avaient pas le droit d’étudier dans les séminaires et donc de devenir prêtres et quand enfin cette interdiction fut levée, ces prêtres au sang impur dont les ancêtres  » avaient tué le Christ  » étaient interdits de prédication dans la cathédrale de Palma et dans d’autres églises de la ville ! En 1936, un rabbin érudit américain, Baruch Braunstein, entreprit des recherches sur les Juifs de Majorque et découvrit dans les archives de l’Inquisition à Madrid le double des listes de tous les Juifs de Majorque inquiétés par l’Inquisition. Ce livre fut traduit plus tard en espagnol et en catalan et publié à Majorque où il fit l’effet d’une bombe: 120 autres noms étaient ajoutés à la liste des quinze  » Chuetas « : notamment ceux des familles majorquines qui durant des siècles avaient pris grand soin de camoufler leurs origines juives en faisant disparaître jusqu’au archives de l’Inquisition qui auraient porté atteinte à la  » pureté de leur sang « . Il n’y avait dès lors pour ainsi dire plus aucune famille de l’île qui pouvait se prétendre  » pure  » de tout sang juif ! La publication de ce livre en 1965 porta un coup décisif à l’anti-chuetisme dont l’inanité apparut alors au grand jour. Sous l’influence du tourisme de masse, les esprits avaient changé; une ère nouvelle de tolérance et de pluralisme s’ouvrait …

Aujourd’hui l’aventure des Chuetas s’achève. N’étant plus frappés d’ostracisme, les derniers descendants des condamnés de 1691 s’unissent par mariage avec des non-Chuetas notamment et s’assimilent rapidement dans la société majorquine moderne selon ce que fut depuis 1691 le voeu de leurs ancêtres. La plupart d’entre eux sont totalement indifférents par rapport à leurs origines. Les derniers Chuetas sont trop éloignés du judaïsme pour penser y revenir et, même s’ils vibrent à l’épopée de l’Israël moderne dont ils se sentent proches et qui leur a redonné une légitime fierté, nul ne songe sérieusement à revenir en Israël. Il n’existe à cette règle jusqu’ici qu’une seule exception:  » Nous sommes la branche morte du judaïsme  » nous disait l’un d’entre eux. L’anti-chuetisme étant mort, les Chuetas n’ont plus d’avenir: ils n’existaient que par cette haine anachronique ! Avant que ne s’achève définitivement l’épopée des Chuetas et qu’elle ne soit recouverte par la poussière de l’histoire, nous avons tenu à rencontrer les derniers représentants de cette communauté. C’est le résultat de cette enquête effectuée à Majorque que nous publions dans ce numéro qui fait suite ainsi à celui consacré aux Marranes du Portugal. Nous tenons à particulièrement à remercier ici tous les amis majorcans, Chuetas ou non, qui ont rendu possible cette enquête, notamment: José Mendez Gonzalez et son épouse Margarita, Antonio Cadaves Marti et tous les autres qui nous ont si aimablement ouvert toutes grandes les portes de leur foyer pour partager avec les étrangers que nous étions les derniers secrets des Chuetas.

Une visite à Majorque juive

Polleça, Inca, Benisalem, Soller, sont de coquets petits villages typiquement majorcans. Quelques familles de Chuetas y résident. Mais la majorité d’entre eux vit à Palma, la capitale, et plus particulièrement dans la  » Call « : l’ancien ghetto de Palma. On y accède à partir de la  » plaza d’Espagne « , centre de la ville et rendez-vous de tous les Majorcans. Une statue du Roi Jaime 1er qui conquit l’île au XIVème siècle s’y dresse. Depuis la  » plaza d’Espagne « , des ruelles étroites sillonnées par des calèches transportant des touristes au travers du vieux Palma donnent accès à la  » Call  » et débouchent sur une place typique des villes d’Espagne entourée d’arcades: la plaza Mayor que bordent des cafés aux terrasses desquels les touristes sont attablés. C’est dans l’angle Nord-Ouest de cette place que se dressait autrefois le sinistre palais de l’Inquisition qui fut détruit et rasé par la foule majorquine en 1813 quand le vent de la liberté apporté par les Français de Napoléon balaya l’île. On y brûla alors les archives du Saint-Office et tout ce qui pouvait rappeler la barbare institution. Aujourd’hui, seule une rue adossée à cet angle évoque le souvenir de cet orgueilleux palais:  » la rue de l’Inquisition « . C’est en dessous de la place actuelle que se trouvaient les sinistres cachots où tant de malheureux subirent les horreurs de la torture et vécurent leurs dernières heures avant l’ultime supplice. De la plaza Mayor on gagne l’église Santa Eulalia que les Majorcans appellent  » l’église des Chuetas  » et qui est encore fréquentée jusqu’à ce jour par leurs descendants. Là, leurs ancêtres au XVème siècle abjurèrent en masse le judaïsme et furent baptisés. L’église Santa Eulalia donne directement accès à la  » Calle de la Plateria  » (la rue de l’Argenterie) que les Majorcans appellent aussi  » rue des Juifs « . Les ancêtres des Chuetas y pratiquaient déjà le métier d’orfèvre dont les juifs avaient le monopole et que leurs descendants exercent encore. Sur le plan socio-économique les Chuetas ont continué à pratiquer les métiers traditionnels des juifs. Au Moyen Age, les Juifs avaient développé à Majorque une célèbre école de cartographie dont le plus célèbre représentant était Isaac Cresques, dont les cartes rendirent possibles les voyages de Christophe Colomb.

Lire la suite sur : http://www.sefarad.org/publication/lm/029/majorque.html

Source : Jean-Marc Thorbois pour Sefarad.org

Entre traditions nippones et occidentales

 

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 retracez l’évolution du mariage japonais du IXe siècle à nos jours

 

Le mariage japonais et ses différentes cérémonies sont intéressants, car il ouvre une fenêtre sur le rapport des Japonais avec la religion. Un mélange des genres repris dans l’adage japonais “On naît shinto, on se marie chrétien et on meurt bouddhiste”. Les cérémonies s’occidentalisent de plus en plus, mais les rites shinto gardent une place importante dans la culture japonaise. L’histoire du mariage quant à elle s’ancre dans l’époque Heian où il était avant tout question de penser au futur de ses héritiers.

La suite ici : http://soogeek.com/fr/mariage-japonais-histoire/

Peuples nomades d’Asie centrale

 

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Après un premier voyage qui l’a amené à parcourir 56000 km pour rencontrer les peuples méconnus d’Asie, Kares Le Roy est reparti sur la route pour partager la vie quotidienne des nomades de l’ancienne Perse et d’Asie centrale.

 

Pendant 16 mois, il a arpenté ses terres photographiques de prédilection afin de mettre en lumière des groupes ethniques et des cultures qui tendent à disparaître. Voici quelques un des magnifiques clichés qu’il présente dans son dernier livre Ashayer (nomades, en persan).

À lire également, l’interview de Kares Le Roy.

 

http://www.routard.com/monde-en-images-voyage-photo-diaporama/cid134165-peuples-nomades-d-asie-centrale.html

 

Tribu isolée le long de la rivière Envira au Brésil

 

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Une équipe de journalistes filme cet incroyable reportage. Des images qui n’avaient encore jamais été capturées.

https://www.facebook.com/ferocefrance/videos/1539451513017506/

 

Comment vous dire cela ?

 

FEMMES BELLES

Je suis une femme, je l’ai toujours été et je n’en ressens ni honte ni gloire car c’est tout simplement ainsi que je suis née, je n’ai rien fait, ni contre ni pour cela donc, je n’ai pas à m’en excuser ni à m’en prévaloir.

Mais lorsque je me suis posée la question de savoir si j’aurais préféré être un homme,  la réponse a fusé et c’était un  « NON » sans équivoque.

Je sais aussi qu’il y a un sujet qui n’a toujours pas trouvé de solution souhaitée à savoir : égalité  entre les deux sexes et parité.

Ces questions m’étonneront toujours car je n’ai jamais éprouvé le besoin de me les poser,  partant du principe que femmes et hommes ne sont pas semblables mais complémentaires et c’est en cela que le rôle de chacun est intéressant.

J’ai été une « travailleuse » et la seule chose qui m’intéressait était, non pas de savoir si je gagnais autant que mon collègue masculin mais si ce que je recevais me permettait de faire face à mes obligations.

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J’ai toujours aimé la galanterie, le savoir-vivre, la douceur et protection qu’un  homme pouvait me manifester, autant de choses auxquelles j’aurais dû renoncer si j’avais voulu le « fifty-fifty ».

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Aujourd’hui, journée mondiale de la femme mais de quelle femme parle-t-on ? Je me pose la question.

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De belles images pour illustrer ce propos, les seules qui, à mes yeux, prouvent que la femme est belle  quand elle est vraie et se montre  telle qu’elle est.

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Yaël

L’an prochain à Jérusalem

 

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https://www.facebook.com/provokator.co.il/videos/932294236819949/

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