Archive pour la catégorie 'le savez-vous ?'

Comment se concentrer ?

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Pour ceux et celles qui, comme moi, ont du mal à faire le vide dans leur esprit et à se concentrer, un petit article qui ne pourra que nous aider :

  

http://nospensees.com/6-manieres-de-liberer-esprit-de-dormir/

 

 

Publié dans:le savez-vous ?, mystique sagesse |on 4 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Qu’est-ce que la peinture numérique ?

Peinture numérique

abstraction

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La peinture numérique est une forme d’art numérique apparue dans les années 1990 dans laquelle les techniques traditionnelles de la peinture, telles que l’aquarelle, les huiles, l’impasto, sont appliquées à l’aide d’outils numériques grâce à un ordinateur, une tablette graphique, un stylet et un logiciel.

astéroïde

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La peinture numérique diffère des autres formes d’art numérique, en particulier art généré par ordinateur, parce qu’elle n’implique pas que l’ordinateur s’appuie sur un modèle.

L’artiste emploie des techniques de peinture pour créer la peinture numérique directement sur l’ordinateur.

déchirure

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Comme en peinture traditionnelle, il existe divers mouvements de peinture numérique

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L’artiste présenté ici se nomme : F. Dugourd Caput :https://www.facebook.com/f.dugourdcaput?fref=ts

Publié dans:le savez-vous ?, talent |on 4 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Comment se réveillait-on avant l’invention du réveil ?

 

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Comment faisaient les dormeurs à l’horloge biologique mal réglée pour commencer leur journée de travail en même temps que les poules ? Comment les esclaves et les servants se levaient-ils avant leurs maîtres, qu’ils avaient en charge de réveiller ? Comment les sonneurs de cloches s’éveillaient-ils à l’aurore pour passer le relais aux villageois ?

Selon la légende, c’est Platon qui invente le tout premier réveil. 400 ans avant notre ère, le philosophe grec imagine une horloge hydraulique qui fait sonner des flûtes toutes les heures pour ne pas s’endormir lors de ses longues nuits de travail. L’embryon de réveil-matin décrit dans ses notes ne passe pourtant pas les portes de sa demeure. Personne d’autre que lui n’en profitera.

Pour le commun des mortels, c’est le coq qui, jusqu’à très récemment dans nos campagnes, était seul garant du réveil journalier. L’animal-réveil est fêté partout autour du monde comme le symbole du passage de l’ombre à la lumière. Il est présent dès l’antiquité grecque, qui y va de sa petite légende : Alectryon faisait le guet devant la chambre des amants Aphrodite et Arès, qu’il devait prévenir de l’arrivée du dieu du soleil, Hélios, un ami du mari trompé. Forcément, Alectryon s’assoupit, Hélios découvre les deux amants et crie à l’adultère. Fou de rage, Arès punit son guetteur en le changeant en coq, condamné à annoncer l’arriver du jour tous les matins. Le premier réveil-matin est né !

De tous temps, dans les campagnes, le lever s’est donc fait au chant du coq et des animaux qui vivent dans les maisons. Réveillés naturellement par la lumière du jour, les vaches et cochons bougent et crient dans leurs enclos, empêchant toute la maisonnée de faire la grasse matinée.

Qui pour guetter le guetteur ?
Dans les villes et les cités, c’est un guetteur qui se charge de réveiller la communauté. Il annonce les heures des prières au clairon, puis à la cloche à partir du Ve siècle. Jusqu’au Xesiècle environ, la vie sociale se cale en effet sur le temps religieux, l’heure ne régit en rien le travail. Mais petit à petit, le guetteur mélange temps laïc et sacré pour sonner les grands rendez-vous de la journée : réveil et prière du matin, ouverture des portes de la ville, jours de marché et extinction des feux le soir, pour éviter les incendies qui pouvaient ravager des villes entières. Tous les 4 kilomètres, des tours ou des petits clochers (détruits depuis) relaient le son des cloches. Dans un monde beaucoup plus silencieux qu’aujourd’hui, sans vrombissement de moteur, sonnerie de téléphones ni musique sur les oreilles, le son des cloches résonne assez fort pour réveiller tout le monde.

Mais comment le guetteur réussissait-il à se lever à l’aube pour réveiller ses congénères ? C’est le grand problème de Frère Jacques qui n’arrive pas à se lever pour sonner les Matines, la première prière du matin… Depuis l’Antiquité, les hommes se relaient pour veiller sur la cité lors de tours de garde, tout simplement. Et lorsque l’horlogerie mécanique se répand dans les villes à partir de la fin du XIIIe siècle, les guetteurs sont les premiers à être équipés d’horloges à sonnerie. Ils peuvent enfin s’octroyer de vraies nuits de sommeil.

Mais le réveil, objet de luxe, est encore loin d’être populaire. Seules les classes les plus hautes de la société peuvent y accéder. Au XVIIIe siècle, une technique moins onéreuse est inventée : la bougie graduée à clochette. Les graduations indiquent combien de temps met la bougie pour se consumer. On plante un clou à l’endroit où la bougie indique une, deux, trois heures, selon ses besoins. Quand la cire fond et atteint la graduation voulue, le clou tombe et tire sur une chaînette qui fait sonner une petite cloche. Ce réveil sera plus répandu mais encore loin d’être dans toutes les chambres à coucher, la bougie restant un produit assez onéreux.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article12995

Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime

 

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La Quintessence de notre Conscience

24 septembre ·

Il existe bien une relation entre les Émotions et les Maladies.
« Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! »
Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

L’origine d’une douleur peut être tout simplement mécanique, mais si vous ne trouvez pas d’explications contextuelles, alors essayez d’entrer en contact avec ce qui se joue au plus profond de vous.
Le corps n’est pas juste un instrument, c’est en quelque sorte « le temple de l’âme » ou « le film de votre vie ».
Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Par exemple :

¤ Le GLAUCOME
est souvent relié à quelque chose que l’on ne veut plus voir… Qu’est-ce que je ne veut plus voir et
qui me fait souffrir,
me fait vivre de la colère, de la frustration ou du chagrin?

¤ L’HERNIE DISCALE
est le plus souvent reliée à un sentiment de dévalorisation soit parce qu’on ne sent pas à la hauteur.., nos projets ou idées ne sont pas reconnus …, un conflit intérieur, trop de responsabilité…
…..
Les émotions génèrent des symptômes physiques.
La maladie ou « Le mal a dit  » c’est tout simplement votre douleur qui essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie. Reconnaissez et acceptez ces émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez vos ressentis.

oOo ♡ oOo

Je vous conseille:

. Le livre de Claudia Rainville « Métamédecine La guérison à votre portée.  »

. Le livre de Jacques Martel « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies.  »

Sites :
http://afrca.ca/la-maladie-le-mal-a-dit-relation-entre-les-emotions-et-les-maladies/

http://radioeveil.com/la-maladie-le-mal-a-dit/

https://corpsetcoeur.wordpress.com/2014/08/25/la-maladie-le-mal-a-dit-la-relation-entre-les-emotions-et-les-maladies/

Publié dans:le savez-vous ? |on 26 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Freud n’a pas fini de nous étonner

 

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Selon Freud, les actes manqués ont un sens. Ils peuvent être, selon le cas,

1)      Un petit passage à l’acte

2)      Un signe révélant un symptôme  ou un désir inconscient

Quelques cas d’actes manqués :

  • casser par inadvertance un cadeau d’anniversaire ;
  • envoyer une lettre ou un sms à un mauvais destinataire ;
  • s’adresser à une femme en disant « Monsieur » ou à un homme en disant « Madame » ;
  • oublier, suite à une visite chez une personne, un parapluie, une écharpe.

L’acte manqué semble un petit passage à l’acte. Le sujet le perçoit comme dû à une distraction, une difficulté cognitive, etc.

Ou encore :

  • Dans un groupe, faire durer une conversation avec une personne afin (inconsciemment) de ne pas avoir à discuter avec une autre personne présente.
  • Rater l’avion afin de repousser le moment des adieux.
  • Tomber en panne d’essence par oubli de se présenter à une station service lorsque l’on devait dîner chez ses beaux-parents (inconscient satisfait, cependant consciemment le concerné ne désirait pas tomber en panne…).

Publié dans:le savez-vous ? |on 29 août, 2015 |Pas de commentaires »

Dame nature parle mais on le l’écoute pas toujours.

 

 

Il y a ici et là des petites histoires qui donne à Dame Nature toute son importance et il est amusant de constater que ce sont les esprits simples qui savent dialoguer avec Elle

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Au mois de mai 1889, le commandant de l’école du 11ème régiment de ligne à Bouillon rencontre le brigadier forestier.

Ils se mettent à discuter de tout et de rien quand, tout à coup, le brigadier annonce, d’un ton docte : il pleuvra surement avant la fin du jour.

Etonné de cette nouvelle, le commandant lui demande d’où lui vient cette prédiction et l’homme raconte alors qu’un jour, un petit pâtre qui gardait des vaches, lui avait expliqué que l’alisier qui se trouvait à la lisière de la forêt avait ses feuilles toutes blanches alors que le matin elles étaient vertes.

Phénomène naturel puisque les feuilles de l’alisier sont blanches en dessous et qu’elles se retournent en cas de pluie à venir.

Combien de messages de ce genre la nature livre-t-elle et dont on ne tient pas compte car on ne sait  pas l’écouter ?

 

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article3245

Publié dans:le savez-vous ?, nature |on 10 août, 2015 |Pas de commentaires »

l’histoire du calendrier

 

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Depuis les temps les plus reculés, l’humanité a eu besoin de points de repères rassurants lui permettant d’élaborer différents systèmes de division du temps selon les points connus à l’époque :

Le jour et la nuit – les phases de la lune – les variations climatiques (chaleur, froid, pluie….) – le mouvement des étoiles.

Les premiers calendriers « lunaire » ont été retrouvés chez les Babyloniens, les Chinois, les peuples de la Grèce et pour finir chez les Gaulois.

Puis arriva l’année solaire basée sur les phénomènes climatiques revenant régulièrement et elle devint très vite l’élément principal du calendrier, les mois eux, restaient lunaires mais étant donné que des décalages importants s’accumulaient au fil des ans, il fallait procéder à des rectifications pour que ce système fonctionne convenablement.

Ce sont les Egyptiens de la Haute antiquité qui les premiers adoptèrent l’année solaire de 365 jours.

En l’an 45 avant Jésus-Christ Jules César décida d’ajouter un jour supplémentaire tous les 4 ans ce qui donna le calendrier Julien qui servit de base à notre calendrier actuel.

En Inde, les années ordinaires sont formées de 12 mois et tous les trois ans on ajoute un treizième mois. Les semaines, elles, ont sept jours.

Les Chinois, les Japonais et les Siamois connurent d’abord l’année lunaire à laquelle, eux aussi, ajoutaient de temps en temps un treizième mois pour égaler l’année solaire.

La nouvelle lune était fêtée et dans sa résidence, l’empereur possédait un palais entouré de douze salles consacrées aux douze lunaisons ordinaires et dans lesquelles on offrait un sacrifice. La cérémonie avait lieu entre les portes qui font communiquer la salle attribuée à l’ancienne lunaison et la suivante.

Le premier mois de l’année chinoise se situe dans le signe des poissons, le second dans celui du sagittaire.

Chez les Toltèques, les Aztèques et les Incas on connaissait le calendrier lunaire,  bien avant l’ère chrétienne, l’usage du gnomon (aiguille de cadran solaire des plus simples : un bâton planté dans le sol)  ainsi que les révolutions de Mars et de Vénus.

Comme tous les autres peuples, mais souvent bien avant eux, ils créèrent le calendrier solaire  et même, en 249 avant Jésus-Christ, les prêtres qui étaient également astronomes ajoutèrent tous les quatre ans, un jour supplémentaire, l’année commençant chez eux au solstice d’hiver.

Les différents pays de la Grèce eurent eux aussi différents calendriers d’abord luni-solaire dont le plus connu est le calendrier athénien, le premier jour de chaque mois débute au crépuscule et correspondait à l’apparition du croissant, comme chez les juifs.

Les grecs ne se servaient pas de la semaine, ils divisaient leurs mois en trois décades de 10 jours chacune mais ils comprirent aussi l’utilité d’ajouter un treizième mois pour rétablir l’équilibre entre système lunaire et solaire mais comme ceci n’était pas parfait, c’est le célèbre astronome Méton qui imagina, en 432 avant Jésus-Christ, un calcul savant permettant des années solaires de  365 jours 5/19. Et quand il proposa sa découverte aux jeux olympiques, les Athéniens furent si enthousiasmés qu’ils firent inscrire la formule sur la place publique en lettres d’or, de là, la dénomination de « nombre d’or » attribué au numéro d’ordre que porte chaque année dans ce cycle de 19 ans.

A Athènes, l’année commença d’abord au solstice d’hiver, puis au solstice d’été car on ne distinguait à l’époque que deux saisons : la chaude et la froide et plus tard seulement, il y en eu quatre fixées d’après l’apparition de certaines étoiles.

Ces calendriers subsistèrent jusqu’à la conquête romaine et ils disparurent petit à petit faisant place au calendrier romain.

Le mot « almanach » nous vient des arabes à qui nous devons aussi les chiffres dits arabes et qui remplaceront les chiffres romains.

Avant l’islamisation, les habitants de l’Arabie se servaient d’une année de 12 mois.

Lors des pélerinages de la Mecque qui existait déjà et qui devait s’accomplir en automne, on constata un retard ce qui obligea les instances de l’époque à adopter  l’intercalation d’un mois, empruntée aux juifs de Médine et de le faire savoir au peuple.

Cette mesure étant imparfaite, en l’espace de 220 ans (412-632) la date du pèlerinage était passée de l’automne au printemps.

Mahomet qui, trois mois avant sa mort fit le pélerinage au mois d’avril, interdit l’intercalation du 13ème mois, les musulmans revinrent donc à l’année lunaire pure et simple.

Les musulmans font commencer chaque mois, le soir, à l’apparition du croissant comme le faisaient les hébreux, et les grecs.

S’il est évident que de nos jours, l’année civile telle que nous la connaissons a été adoptée par l’ensemble des pays du monde, il n’en reste pas moins vrai  que dans beaucoup d’entre eux, le calendrier lunaire est encore utilisé pour répondre aux exigences des diverses religions qui s’y réfèrent.

Publié dans:le savez-vous ? |on 9 août, 2015 |Pas de commentaires »

L’esprit et le cœur comment ça marche ?

 

 

Quand l’homme est amené à analyser une situation qu’il vit, pour essayer de s’y retrouver, souvent, il commet l’erreur de confondre « esprit et cœur »

Or il s’agit de deux choses différentes et souvent contradictoires qu’il faut savoir doser pour en retirer toute la substance.

Comment comprendre les mécanismes différents de deux éléments qui pourtant  doivent fonctionner ensemble pour parvenir à un résultat positif.

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L’esprit, par nature et par nécessité, est distant et détaché.

 Pour appréhender un concept, il doit assumer une distance objective, se départir de toute implication ou affinité avec son sujet et adopter un désintérêt réservé, voire même cynique, envers l’entité étudiée.

C’est seulement ainsi que son analyse et sa compréhension peuvent être exactes et complètes.

Le cœur, d’un autre côté, est impliqué, attaché et totalement subjectif. Le cœur est en relation avec l’objet de son affection, crée avec lui des liens et surmonte les barrières entre soi et autrui.

Pourtant, un attachement véritable et durable nait seulement de la compréhension.

 Les sentiments qui ne sont fondés sur rien de plus que l’impulsion ou l’attraction instantanée sont finalement aussi superficiels qu’ils sont passionnés et aussi transitoires qu’ils sont intenses.

Ce sont les émotions qui sont conçues dans la matrice de l’esprit qui possèdent profondeur et continuité. C’est l’amour qui est fondé sur la compréhension et l’appréciation de l’être aimé qui peut transcender les fluctuations des sentiments, les déceptions, la léthargie et les nombreux autres écueils du temps et du changement.

Ainsi, l’esprit, en apparence froid et distant, est en réalité la source et l’essence de toute relation importante. Le détachement associé à l’examen rationnel est bien au cœur de notre aptitude émotionnelle de nous lier avec autrui.

http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/3023898/jewish/Sept-degrs-de-consolation.htm

 

Publié dans:le savez-vous ? |on 6 août, 2015 |Pas de commentaires »

HISTOIRE DU MIROIR

 

 

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Jugé utile par les grecs et maléfique par l’église médiévale, le miroir à toujours beaucoup fait parler de lui

Au départ il s’agit d’un disque de bronze muni d’un manche ; pour Socrate, il conduit à se mieux connaitre et pour Sénèque il aide à mettre ses actes en harmonie avec soi-même.

 

Le problème c’est que les hommes ont travesti les messages et au lieu de se voir ils se sont admirés tel Narcisse qui se regarde dans l’eau et mourra de désespoir.

 

Au moyen-âge, c’est le miroir de verre qui fait son apparition, objet de luxe sculpté et orné d’or ou d’argent. Pour l’église qui recommande de se regarder pronant l’introspection, fonction morale salutaire il est aussi perçu comme un piège au pouvoir mystificateur et l’inquisition sévira comme le prouve l’histoire de l’infortunée Béatrice de Plannisoles qui en 1321 est accusée d’hérésie d’adultère et de sorcellerie car parmi les choses « très suspectes » qu’elle détient, on trouve un miroir, outil indispensable aux sorcières, ce qui n’empêchera pas pourtant les plus grands princes dont Catherine de Médicis d’avoir recours à la divination par le biais du miroir afin de prendre des décisions politiques.

 

L’apogée du miroir est à son comble au XVIIème siècle lorsque les artisans verriers mettent au point de nouveaux procédés conduisant à la fabrication d’une matière aussi claire que le cristal de roche qui rend le miroir très brillant. Les meilleurs ouvrier se trouvent alors en Lorraine, Allemagne et Italie, dans l’Ile de Murano et c’est entre 1690 et 1720 qu’en France une nouvelle technique fait son apparition permettant d’obtenir des miroirs de qualité semblable à ceux de Venise et de plus grandes dimensions comme le prouve la galerie des glaces à Versailles. 

 

Là encore, l’église et  les moralistes vont intervenir censurant le regard sur soi et les traités d’éducation de la jeune fille de l’époque recommande la pudeur, le bain habillé les yeux levés au ciel au moment de se vêtir et dans les pensionnats, les miroirs sont prohibés. Il n’y a pas si longtemps, lors d’un décès on recouvrait les miroirs de peur que l’âme du défunt y reste captive et si par malheur il était brisé, cela apportait sept  ans de malheur.

 

Dans la bible le miroir a une connotation positive ; c’est ainsi que l’on apprend que lors de l’exode, les femmes emportèrent avec elle des miroirs dans lesquels elles se mirèrent avec leur mari provoquant ainsi le désir qui va les rendre mère. Le coran lui semble n’y attacher aucune valeur particulière et aucun verset n’en parle que se soit pour le conseiller ou l’interdire.

 

Et vous Mesdames, quelle image le vôtre vous renvoie-t-il ?

Publié dans:le savez-vous ? |on 3 août, 2015 |Pas de commentaires »

Histoire des bols tibétains

 

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De renommée mondiale, Les bols chantants tibétains ont plus de 3.000 ans.

Ils sont utilisés par les moines tibétains comme instruments de musique cérémonielle religieuse, les offrandes rituelles et pour la guérison et l’harmonisation des chakras.

Mais ils servent aussi d’ustensiles de cuisine dans les foyers tibétains et népalais et de ce fait, ils peuvent être revendus.

Par ailleurs, ils servaient aussi à la purification des métaux et des pièces d’habitations  de leurs énergies négatives.

Les bols sont aussi utilisés pour « nettoyer » les pièces de leur énergie négative, tel les encens empêchent la prolifération des virus, les bols de par leur magnétisme nettoient l’environnement d’une pièce pour une meilleure circulation de l’énergie.
Dans les premiers temps des bols, ils étaient placés dans la pièce principale, prêt de l’entrée, comme pour protéger des ondes négatives.

Les thérapeutes du son à travers le monde ont reconnu les prouesses de guérison du chant des bols de l’Himalaya. Ils intègrent le pouvoir de guérison mystique avec le raisonnement scientifique dans le processus de guérison.

 Pour en savoir plus, suivre le lien ci-dessous

http://www.bol-chantant.fr/content/11-histoire-des-bols

Publié dans:le savez-vous ? |on 2 août, 2015 |Pas de commentaires »
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