Archive pour la catégorie 'le savez-vous ?'

Artips ou les dessous de l’art

 

J’aime beaucoup « ARTIPS » qui nous offre, chaque semaine, des articles expliquant les histoires qui se cachent sous des œuvres connues ou inconnues.

Moi non plus je ne suis pas féministe et c’est pourquoi j’adore la phrase de clôture de cet article.

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Aujourd’hui : « L’humiliation d’une mandarine »

Où l’on apprend comment se venger d’un père aux blagues douteuses.

Le dîner est servi au domicile de la famille Bourgeois ! Comme à tous les repas, chaque membre de la famille est invité à se montrer amusant : l’un chante une chanson, l’autre fait une récitation…
En bout de table, le père s’empare d’une mandarine et commence à y dessiner les contours d’une silhouette.

 

Il détache ensuite la peau orangée à l’aide d’une lame de rasoir. Cela donne un petit personnage, qui lorsque qu’on le retourne, possède une petite membrane blanche entre les jambes, tel un sexe masculin.

En s’adressant à sa fille Louise, le père déclare : « Toi, tu n’en as pas, tu n’es qu’une fille ! ».

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Cet épisode est vécu comme une véritable humiliation par la petite Louise Bourgeois. Tout au long de sa carrière, celle qui deviendra une sculptrice de renom se souviendra de la mauvaise plaisanterie de son père. 

Jusqu’à concevoir en 1974 une œuvre en latex impressionnante, intitulée justement La Destruction du Père.
Incapable durant son enfance de répondre à celui qui la terrorisait, Louise Bourgeois se venge un demi-siècle plus tard.

 

Elle imagine en effet une scène presque cannibale, qui lui permet d’exorciser les démons du passé. 

De manière très abstraite, elle place symboliquement son père à la place d’un gigot dominical. Elle invite ainsi le spectateur à le dévorer avec elle.

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L’art de Louise Bourgeois est donc une thérapie, un moyen de surmonter ses traumatismes les plus intimes.

C’est aussi une manière de revendiquer pleinement son identité féminine. Et lorsqu’on lui demande si elle est féministe, celle-ci affirme « Je suis une femme, je n’ai donc pas besoin d’être féministe »…

 

Publié dans:le savez-vous ?, talent |on 23 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

L’histoire du bonsaï

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Beaucoup d’éléments culturels japonais sont en fait des déclinaisons et des évolutions d’éléments chinois. Il en va de même pour le bonsaï, car même si son nom vient du pays du Soleil-Levant, son art trouve ses origines dans la Chine d’il y a 1300 ans. Depuis, l’art s’est développé en Asie puis aux quatre coins du monde et permettant à ses pratiquants de cultiver et de styliser des centaines d’arbres différents.

La suite ici :  http://soogeek.com/fr/art-botanique-bonsai/?utm_source=soocurious&utm_medium=invite&utm_campaign=invite

Publié dans:le savez-vous ? |on 15 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Aux frontières du réel

 

 

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On connaît tous des cas de deuil où surgit l’impression de « présence » du défunt. Pour beaucoup, consulter un médium est un moyen de nouer un contact intelligible avec le disparu. Les exemples 
sont si nombreux qu’un journaliste a cherché à en savoir plus. Son livre* bouscule de nombreuses certitudes. 

 

Paris Match. Avec votre “Test”, vous nous entraînez aux frontières du réel. Quelle est la genèse de cette aventure ?
Stéphane Allix. La mort de mon frère, en 2001, dans un accident de voiture en Afghanistan, a bouleversé ma famille et imposé le sujet de la mort au cœur de notre existence. Depuis, je n’ai cessé de me poser des questions et j’ai complètement réorienté mon travail de journaliste : du reportage sur la guerre, le trafic de drogue, le terrorisme, j’ai basculé vers les phénomènes inexpliqués.

Pour entrer en contact avec votre frère ?
Pour comprendre. Pour moi, avant sa mort, les sujets qualifiés de « surnaturels » n’étaient pas sérieux. Puis j’ai découvert des témoignages troublants, des livres, et surtout des travaux de chercheurs sur les expériences de mort imminente (EMI), notamment. En enquêtant, j’ai commencé à mesurer ce que nous prenons pour une certitude scientifique “il n’y a rien après la mort”, ne repose sur aucune preuve.

La suite ici : http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Une-enquete-qui-bouleverse-les-certitudes-Vie-apres-la-mort-890751

 

Publié dans:le savez-vous ?, mystique sagesse |on 7 janvier, 2016 |1 Commentaire »

les cadeaux de l’automne

 

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Châtaignes et marrons, des cadeaux de l’automne

Posté dans :

Remèdes

- Par Gary Laski - le 24 novembre 2015

L’automne est la saison mélancolique par excellence. Le froid et l’humidité s’installent, et l’envie de dormir se fait plus pressante. Mais elle peut être aussi une belle saison qui se prête aux promenades en forêt, à la cueillette des marrons. Ou des châtaignes…


Il y a souvent confusion. La crème de marrons, par exemple, est à la châtaigne ! Pourtant, nous appelons de la même manière les fruits du châtaignier et du marronnier : des marrons.

Le plus étrange, c’est que sans leur enveloppe – leur bogue –, il serait presque impossible de les distinguer. Alors qu’ils ne sont même pas de la même espèce !

La raison de cette confusion est que le vrai marron, le fruit du marronnier donc, n’a pas un goût aussi séduisant que la châtaigne, et qu’il ne peut être consommé aussi facilement. Et en retour, la châtaigne a un nom moins vendeur que le marron…

Pourtant, tous deux sont bons pour notre santé et méritent d’être glanés. La châtaigne pour ses vertus nutritives, et le marron pour ses excellentes propriétés médicinales.

La suite ici : http://www.plantes-et-sante.fr/remedes/chataignes-et-marrons-des-cadeaux-de-l-automne

et en cadeau : Des remèdes maison

Vous revenez de votre balade dans les bois, avec un bambin tout content de son panier de marrons. Tant qu’à faire, pourquoi ne pas en profiter et se concocter quelques remèdes ?

Vous pouvez vous fabriquer une alcoolature : faites-les macérer tant qu’ils sont frais (dans les 10 jours qui suivent la cueillette), râpés entiers avec leur peau, dans leur poids d’alcool à 90°. 10 gouttes avant le déjeuner et le dîner, pendant les jours de la semaine, constituent unremède efficace contre les hémorroïdes et les varices.

Mais surtout, comme nous le conseille Pierre Lieutaghi, ethnobotaniste et écrivain français, vous pourrez vous en faire une crème qui vous soulagera aussi bien les jambes que le reste. Il suffit pour cela de mélanger votre préparation à de la lanoline, à raison d’un quart d’alcoolature pour trois quarts de crème.

Cette authentique crème de marrons sera efficace contre les hémorroïdes et les varices, elle sera aussi tout à fait appréciable contre les œdèmes, le gonflement de l’arthrite, les contusions, les entorses, la névralgie, et dans un souci plus esthétique, pour diminuer la cellulite !

Et si vous retrouviez confort et vitalité cet automne ?

La forêt des 29

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Les Bishnoïs sont une communauté d’environ 700.000 membres vivant dans une région de l’Inde.

Très croyants, ils respectent le monde animal car tous les animaux qui le composent sont des créatures de D-ieu.

Ils sont bien sur végétariens.

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Ce livre, « la forêt des 29 »  parle de l’histoire des Bishnoïs, écrit par une femme, Irène Frain, née dans le Morbihan en 1950.

Très proche du milieu rural et de son dénuement, elle a écrit de nombreux livres parlant de la Bretagne mais aussi de l’Asie.

La suite ici :

http://www.irenefrain.com/laforetdes29.php

Publié dans:le savez-vous ? |on 18 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

coutumes venues d’ailleurs

 

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Quand les japonais réparent quelque chose de cassé, ils agrandissent la fêlure qu’ils bouchent avec de l’or estimant qu’un objet abîmé ayant une histoire est encore bien plus beau ainsi.

Publié dans:le savez-vous ? |on 17 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

Petite histoire de la pilule

 

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Le mot pilule a d’innombrables synonymes. Et d’abord le plus ancien, qui est peut-être « trochisque », mot d’origine grecque qui marque la forme sphérique : Oribase, au VIsiècle, en signale plusieurs sortes. Au Moyen-âge, on en absorbe d’apéritifs, d’altérants, de purgatifs, de confortants, mais les plus célèbres sont trochisques de vipères, sortes de concentrés de thériaque en boulettes qu’on faisait sécher à l’air et que Venise exportait dans l’Europe entière. Le fameux Mésué ayant décrit les trochisques comme des « pilules sublingues » qu’on doit faire fondre dans la bouche, nous en pourrons conclure qu’à son époque, et aussi postérieurement, cette forme pharmaceutique correspond aux « pâtes » du XX° siècle. A partir du XVIII° siècle, il n’y a plus guère que les charlatans pour « cacher, comme dit l’Encyclopédie, sous ce voile, la violence et l’acrimonie de leurs préparations infernales ».

Les véritables  ancêtres de nos pilules seraient plutôt les catapotia, -encore un mot grec, et qui désigne de façon précise ce qu’on avale d’un coup. Pilula est au contraire un mot latin, dérivé de pila, petite balle. Mais les Grecs employaient encore le mot trachema (de trakeïn, manger) dont nous avons fait dragée, et les Romains disaient aussirotulae, placentulae, orbes, orbiculi, pastilli. Comme Mésué, comme tous les Arabes, Rhazès recommande de dessécher les sucs d’herbes, d’en former des robs, ou un magdaléon (pâte pétrie de bonne conservation), qu’on divisera au fur et à mesure des besoins en pilules, en prenant soin d’enrober dans du plantain celles qui auraient trop mauvais goût. En effet, la véritable raison d’être des pilules, à des époques où on ne savait guère les doser, c’était de faciliter l’absorption de médicaments désagréables au goût. Autrefois comme aujourd’hui, le malade l’envoyait promptement dans son estomac ainsi qu’en témoigne cette sentence cueillie dans l’album de Boming, apothicaire allemand du XVII° siècle : « Les injures sont comme les pilules : on doit les avaler, non les mâcher ».

La suite ici : http://www.shp-asso.org/index.php?PAGE=expositionpilule

Publié dans:le savez-vous ? |on 17 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

A la recherche des vérités perdues

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Avant les premières fouilles archéologiques en 1842, en Irak, nous ne connaissions pas l’existence des Sumériens. A cette époque nous avions découvert quelques objets archéologiques Assyriens et Babyloniens, uniquement dans les premières strates du sol. Après avoir creusé beaucoup plus, à une vingtaine de mètres de la surface, les premiers artefacts de la civilisation Sumériennes firent surface, mettant en évidence leur incroyable niveau technologique.

https://fargin.wordpress.com/2011/12/16/emuna-elis-origine-des-dieux/

Curiosités historiques et littéraires – les épices

 

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Épices aromatiques pour stimuler
l’estomac et… rétribuer les juges !

(D’après « Curiosités historiques et littéraires », paru en 1897)

Selon Legrand d’Aussy, nos ancêtres avaient une véritable passion pour les assaisonnements forts, ce goût participant d’un principe d’hygiène : accoutumés à des nourritures très substantielles, qu’ils consommaient d’ailleurs avec l’appétit que donne l’habitude des grands exercices physiques, ils croyaient que leur estomac avait besoin d’être aidé dans ses fonctions par des stimulants. En outre, les épices pouvaient tenir lieu de rétribution des juges.

D’après ces idées, non seulement ils firent entrer beaucoup d’aromates dans leur nourriture, mais ils imaginèrent même d’employer le sucre pour les confire ou les envelopper, et de les manger ainsi, soit au dessert comme digestif, soit dans la journée comme corroborants. « Après les viandes, on sert chez les riches, pour faire la digestion, de l’anis, du fenouil et de la coriandre confits au sucre », rapportent les Triomphes de la noble Dame. Il y eut des dragées faites avec de la coriandre et du genièvre, qu’on appelait dragées de Saint-Roch, parce qu’on les croyait propres à préserver du mauvais air et de la peste. Quant au peuple, à qui ses facultés ne permettaient pas ces superfluités très coûteuses, vu le prix très élevé du sucre et des épices fines apportées d’Orient, il mangeait les épices indigènes sans aucune préparation.

la suite ci-dessous :

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article3518

Publié dans:le savez-vous ? |on 21 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Qu’est ce qu’une fibule ?

 

 

 

C’est un accessoire utilitaire servant à agrafer deux pans de vêtement, mais aussi un véritable élément de parure.

Les premières fibules dateraient de la fin de l’Age du Bronze et leur usage courant disparaît au Moyen-Age.

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 Fibule étrusque dite en forme de sangsue, ornée de fleurs, en or, 6e s. av. J.-C., Musée du Louvre

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Fibule en forme de scorpion, 2e s. av.J.-C., vue du dessus, Musée du Louvre

Utilisées par les Étrusques, au VII siècle avant J.C., les fibules étaient surtout destinées à attacher des vêtements, mais certaines ont pu jouer un simple rôle de broche décorative.

C’était  une amélioration par rapport au nœud ou à la simple aiguille moins fiable et qui se perdait plus facilement.

Alors que la « tête » de la fibule était souvent décorée, son corps comportait parfois des décorations pouvant être associées à un rang social, une profession ou encore distinguer les femmes mariées des célibataires, des hommes, des guerriers ou des chefs.

Mais les fibules pouvaient aussi jouer un rôle de talisman pour conjurer le mauvais sort et pour ce faire, étaient déposées dans des sanctuaires ou sur des autels, en offrande.

Les fouilles archéologiques entreprises ont permis d’en retrouver en métal (argent, or, bronze, fer) en ivoire et certaines étaient même incrustées de pierres précieuses ou très finement ciselées .

 Elle permettent encore aujourd’hui de dater les strates que les archéologues fouillent

En savoir plus sur http://www.intellego.fr/soutien-scolaire–/aide-scolaire-arts-appliques/une-fibule-qu-est-ce-que-c-est-/44504#R6A8mEQZmYxY9pSI.99

Publié dans:le savez-vous ? |on 9 octobre, 2015 |Pas de commentaires »
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