Archive pour la catégorie 'émotion'

l’arbre d’amour et de sagesse : Henri Gougaud

 

trouvé sur facebook.

 » Depuis presque cent ans, le vieil homme marchait. Il avait traversé l’enfance, la jeunesse, mille joies et douleurs, mille espoirs et fatigues. Des femmes, des enfants, des pays, des soleils peuplaient encore sa mémoire. Il les avait aimés. Ils étaient maintenant derrière lui, lointains, presque effacés. Aucun ne l’avait suivi jusqu’à ce bout de monde où il était parvenu. Il était seul désormais face au vaste océan.

Au bord des vagues il fit halte et se retourna. Sur le sable qui se perdait dans les brumes infinies, il vit alors l’empreinte de ses pas. Chacun était un jour de sa longue existence. Il les reconnut tous, les trébuchements, les passes difficiles, les détours et les marches heureuses, les pas pesants des jours où l’accablaient des peines. Il les compta. Pas un ne manquait. Il se souvint, sourit au chemin de sa vie.

Comme il se détournait pour entrer dans l’eau sombre qui mouillait ses sandales, il hésita soudain. Il lui avait semblé voir à côté de ses pas quelque chose d’étrange. A nouveau, il regarda. En vérité, il n’avait pas cheminé seul. D’autres traces, tout au long de sa route, allaient auprès des siennes. Il s’étonna. Il n’avait aucun souvenir d’une présence aussi proche et fidèle. Il se demanda qui l’avait accompagné. Une voix familière et pourtant sans visage lui répondit :  » C’est moi « .

Il reconnut son propre ancêtre, le premier père de la longue lignée d’hommes qui lui avaient donné la vie, celui que l’on appelait Dieu. Il se souvint qu’à l’instant de sa naissance, ce Père de tous les pères lui avait promis de ne jamais l’abandonner. Il sentit dans son coeur monter une allégresse ancienne et pourtant neuve. Il n’en avait jamais éprouvée de semblable depuis l’enfance.

Il regarda encore. Alors, de loin en loin, il vit le long ruban d’empreintes parallèles plus étroit, plus ténu. Certains jours de sa vie, la trace était unique. Il se souvint de ces jours. Comment les aurait-il oubliés ? C’étaient les plus terribles, les plus désespérés. Au souvenir de ces heures misérables entre toutes où il avait pensé qu’il n’y avait de pitié ni au ciel ni sur terre, il se senti soudain amer, mélancolique.

 » Vois ces jours de malheur, dit-il, où j’ai marché seul. Où étais-tu, Seigneur, quand je pleurais sur ton absence ? « 
 » Mon fils, mon bien-aimé, lui répondit la voix, ces traces solitaires sont celles de mes pas. Ces jours où tu croyais cheminer en aveugle, abandonné de tous, j’étais là, sur ta route.

00000000000000000000des traces de pas dans le sable

Ces jours où tu pleurais sur mon absence, je te portais. « 
(Henri Gougaud, l’arbre d’amour et de sagesse)

Publié dans:émotion, mystique sagesse |on 28 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

Antisémitisme primaire mais hélas bien présent.

 

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Caroline Tassin et moi étions « amies » sur facebook. Ce mot ne veut pas dire grand-chose si ce n’est que nous étions en relation et que nos écrits passaient sur nos murs respectifs.

Une altercation a eu lieu entre nous ce jour et après quelques échanges de mots aigres-doux, j’ai décidé de la retirer de ma liste d’amis, sans explication, pour mettre fin à une querelle inintéressante.

Bien sûr, cela n’a pas plu et j’ai reçu en mp des reproches auxquels au début j’ai répondu plus par ironie et par jeu.

La dernière phrase de cette personne est : « je te bloque sale juive »

Voila exactement la haine cachée de certains français.

J’ai honte pour cette personne de tomber aussi bas alors qu’elle ne sait pas de quoi elle parle mais en temps de guerre, elle aurait fait partie de ceux qui dénonçaient leurs voisins pour se venger en les envoyant dans les camps d’extermination.

Ces mêmes personnes existent toujours, même maintenant, et elle en est la triste preuve.

Yaël

Historique de l’histoire :

Historique de l’affaire :

 

Résumé des échanges :

Caroline Tassin passe sur son mur une vidéo sur laquelle on voit ses chiens recevoir des douceurs et comme ils sont là agglutinés autour d’elle à un moment elle crie.

Non seulement les cris me font peur mais en plus ils sont pour moi le contraire d’une bonne éducation donnée ou reçue donc mon commentaire était le suivant :

Moi : pourquoi criez vous ?

Elle : mes chiens s’en foutent de plus je ne crie pas j’élève la voix

Moi : c’est un  peu la même chose non ?

Et là ont commencé les échanges en mp :

(Depuis la vidéo et les commentaires ont été retirés de son mur)

 

Messages en mp : 

Elle : Bonjour Yael j aimerais qu a l avenir tu ne commente plus la façon d ont j éduque mes chiens tes propos sont blessants et tres mal placé !bonne journée

 

Moi : Je ne réponds rien mais je la retire de ma liste d’amis

 

Elle : c’est tres bien comme ca tu te permet de critiquer et tu vire les gens quand on te dit notre façon de penser, puis elle continue quelques instants plus tard  :

 Elle : tu as quel age? TU ES VRAIMENT MAUVAISE MAIS CA JE LE SAVAIS JE L AVAIS DEJA REMARQUER et continue encore :

Elle : tu es vraiment une pauvre femme je te plaint

 

Ensuite il n’y a plus de texte mais des envois d’autocollant de part et d’autre illustrant ce que nous ressentons (ironie)

 

Pour mettre fin à ce jeu qui devient grotesque :

 

Moi : à l’occasion reprends quelques cours d’orthographe , ton français laisse à désirer. Rassure toi, c’est mon dernier message tu ne vaux pas le coup que je te consacre plus de temps.

 

 

Elle : je te bloque sale juive puis ajoute : 

Elle : et toi prend ses cours de politesse

 

Publié dans:émotion |on 20 novembre, 2014 |2 Commentaires »

Il s’appelle Dobri Dobrev

 

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Les vrais héros existent. Ils ne font pas parler d’eux, ils agissent sans se faire remarquer et quand par hasard une personne arrive à les repérer et à les fixer sur la toile, on s’aperçoit alors combien on a tort de toujours se plaindre et combien nous sommes petits par rapport à eux

Il a 99 ans et il mendie pour les autres car ses 80 euros de pension par mois lui suffisent pour vivre.

Il s’appelle Dobri Dobrev, n’oubliez jamais ce nom

http://www.demotivateur.fr/article-buzz/vous-voyez-ce-vieillard-qui-mendie-quand-vous-verrez-ce-qu-il-fait-en-r-alit-vous-ne-l-oublierez-jamais-et-c-est-pour-cela-qu-il-est-fabuleux–1226

Publié dans:émotion, Les héros oubliés |on 12 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

Il y a encore de belles histoires d’amour.

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Quand Helen Auer, 94 ans, a rendu son dernier souffle, son marie, Joe s’est penché sur son corps pour lui dire au revoir d’un baiser.

Il y a encore de belles histoires d'amour. dans émotion

L’homme de 100 ans a chuchoté,

Helen, appelle-moi quand tu seras arrivée.

Quelques heures plus tard, Joe décéda.

 

http://bridoz.com/couple-heureux-vie-mort/

Publié dans:émotion |on 25 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Combien de lieux comme celui-ci ne découvrirons nous peut-être jamais.

 

 

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Il était une fois… un trésor caché au coeur de Paris où le

temps s’est arrêté près de 70 ans.

Tous les jours on passe surement à côté de choses extraordinaires dont on ne soupçonne pas l’existence… C’est ce que nous rappelle cette histoire d’un appartement abandonné par sa propriétaire pendant 70 ans.

Lors de la Seconde Guerre Mondiale une jeune femme, Mlle de Florian, quitte précipitamment son appartement Parisien pour fuir l’arrivée des Allemands.

Elle part s’installer dans le Sud de la France et ne reviendra jamais.

C’est seulement après son décès en 2010 à l’âge de 91 ans, que les huissiers de justice chargés de faire l’inventaire de ses biens découvrent cet appartement de 140m² situé dans le quartier de Pigalle.

Dans une forte odeur de poussière, ils vont pénétrer dans un lieu où le temps s’est arrêté.

D’anciens plafonds à caisson, une cuisine encore équipée d’une immense cuisinière à bois surmontée de sa hotte et d’un évier en pierre, tout est encore d’époque.

 

 

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Mais surtout, les visiteurs de cette capsule temporelle géante vont découvrir un véritable trésor… Une toile du peintre italien Giovanni Boldini, très en vogue au début 20ème siècle (cette toile a été vendue par la suite au prix record de 2,1 millions d’euros).

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Le tableau, accroché, dans le salon, représentait une très belle femme dans une robe de soirée rose, au large décolleté.

Les experts découvriront par la suite qu’il s’agissait d’un portrait de Marthe de Florian, grand-mère de la dernière occupante de l’appartement et certainement maîtresse du peintre.

En fouillant dans les documents retrouvés dans l’appartement, les experts ont établi que Marthe de Florian était ce qu’on appelait « une demi-mondaine » ou une cocotte.

Actrice de théâtre, elle était d’une beauté exceptionnelle. Elle avait d’ailleurs de nombreux admirateurs et possédait plusieurs cartes de visite de certains hommes politiques de l’époque, comme Clemenceau, Waldeck-Rousseau, Doumergue ou Deschanel.

« Elle classait les lettres d’amour de ses amants, par expéditeur, en petits paquets retenus par des rubans de couleur différente »

Comment un tel trésor a-t-il pu rester intacte toutes ces années ?

Personne ne s’était jamais posé de questions, car pendant toutes ces années, la propriétaire a toujours continué de payer les charges de l’appartement.

On ne saura donc jamais pourquoi elle n’est pas revenue…

Extraordinaire de pouvoir découvrir un tel trésor en plein Paris, dans un quartier pourtant si animé ? Cela laisse rêveur…

En cliquant sur le lien ci-dessous vous découvrirez d’ autres  secrets :

http://positivr.fr/il-etait-fois-tresor-cache-au-coeur-paris-temps-sest-arrete-pres-70-ans/

Publié dans:émotion, insolite |on 21 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Mon père, l’oiseau et moi

 

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Nous avons tous été dans cette situation, nous sommes occupés, préoccupés par notre travail, notre  vie, etc  et nous perdons patience avec ceux qui  pourtant ont  une énorme importance  dans nos vies : nos parents.

Cette vidéo nous  prouve combien nos pères savent changer nos humeurs et nous enseigner que nous devons toujours être patients avec eux.

http://cutepuppylove.me/2014/10/13/a-touching-story-of-an-old-father-son-and-a-sparrow/

Publié dans:émotion |on 13 octobre, 2014 |Pas de commentaires »
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