Archive pour la catégorie 'émotion'

Etre différent des autres, et pourtant ………

syndrome

Jono Lancaster est né avec une maladie génétique rare appelée syndrome de Treacher Collins. Ce syndrome qui empêche le crâne, les joues, et les mâchoires de se développer correctement et provoque des problèmes d’ouïe, de vue, et  respiratoire touche environ un enfant sur 50 000.

En raison de son apparence physique, Jono a dû faire  face à de nombreuses situations difficiles au début de sa vie.

A peine âgé de 36 heures, il a été abandonné par ses parents. Situation dévastatrice en soi.  En outre, son enfance n’est faite que d’intimidation,  de rejet et de sentiment de colère et d’isolement. Mais en dépit de ses défis majeurs, Jono est maintenant une source d’inspiration et d’espoir pour beaucoup d’enfants et de leurs familles.

Jono sait  que D-ieu l’a envoyé dans ce monde pour accomplir une tâche merveilleuse.

Un intervenant  sur YouTube dit: «Je sais que les gens ont une tendance à juger ce qui ne fait pas appel à leurs normes. Cependant, cet homme est vraiment une source d’inspiration, C’est un héros.

Si, après avoir visionné la vidéo, l’histoire de Jono vous a inspiré, s’ il vous plaît,  partager la avec vos amis sur Facebook Merci.

http://treachercollins.littlethings.com/jono-lancaster-story-hope/?utm_source=LTas&utm_medium=Facebook&utm_campaign=babies

Publié dans:émotion |on 10 mars, 2015 |3 Commentaires »

Une vie pas comme la nôtre, celle de Salamata

 

24 heures dans la vie de Salamata

En novembre 2013, un jeune bénévole partait réaliser un film de nos actions dans la région.

Il rencontrait Mme Salamata Diallo, à l’époque en attente de don (vidéo à revoir sur cette page).

Un an plus tard, nous avons reçu des nouvelles de Salamata et de sa famille.

1Salamata_Video

Nous avons tenté de résumer, de manière aussi représentative que possible, 24 heures de la vie de cette mère de famille sénégalaise.


2Salamata_prepareRepas

5h du matin, Salamata se réveille.

Elle prépare le premier repas de la journée à base de petit couscous de mil mélangé à du lait caillé ou du sucre et appelé Latchéricossam.

Elle réveille son mari et le reste de la famille pour prendre ensemble ce repas.


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Vers 7h, Salamata va nourrir les animaux et achète parfois des poissons aux vendeurs ambulants.

C’est toujours sa belle fille qui écaille les poissons et les fait sécher sur l’étale devant la maison, selon la méthode traditionnelle.


4 salamata

A 8h, Salamata et sa belle-fille se chargent de remplir 4 bidons de 20 litres d’eau chacun à l’une des trois bornes fontaines du village.

Puis, elles partent rejoindre les autres membres de la famille aux champs.


5Salamata_vaisselle

A midi, Salamata revient dans sa maison, se rafraichit et prépare le mafé, un plat familial à base de riz, de légumes et de pâte d’arachide.


6Salamata

Après déjeuner, elle va prier, s’occupe des animaux puis se concentre sur sa broderie.

Elle profite souvent de ce moment pour causer avec sa famille, ses enfants, ses voisins sous un arbre à palabre.


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En fin d’après-midi, elle va chercher du bois mort pour la cuisson du dîner. Elle prépare aussi souvent du Bissap (une grenadine à base d’Hibiscus).


6Salamata

Après le repas du soir, Salamata vérifie que les bêtes sont bien parquées, que le mil est bien moulé et étale les nattes de nuit de tous dans la cour de la maison.

 http://www.elevagessansfrontieres.org/24h-de-vie-de-salamata.html

 

ET NOUS NOUS PLAIGNONS !

 

Publié dans:émotion, Les héros oubliés |on 25 février, 2015 |Pas de commentaires »

des visages inoubliables

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Elle parcourt le monde pour photographier la beauté au féminin dans toute sa diversité. Magnifique !

http://positivr.fr/atlas-de-la-beaute/

Publié dans:émotion |on 21 février, 2015 |Pas de commentaires »

Pour ne jamais oublier

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http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/auschwitz/peut-on-laisser-auschwitz-disparaitre.html#xtor=EPR-32-[auschwitz]-20150202-[Une]

A tous ceux qui ont la gentillesse de me lire

 

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Cela fait un moment que cela me travaille : l’envie de me désintéresser de la politique, du terrorisme, de la haine des juifs, et c’est la raison pour laquelle, après voir bien réfléchi, j’ai décidé de ne plus polluer mes blogs et mes murs facebook d’articles nous démontrant, s’il en est encore besoin, la laideur de notre monde, la lâcheté des citoyens, l’enfumage des politiciens, les mensonges de tous.

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Désormais, je passerai sur mes différents supports, des choses touchantes, amusantes, intéressantes, insolites, des choses qui font réfléchir, qui émeuvent, qui démontrent qu’en dépit de tout,  le monde (ou ce qu’il en reste) est beau, que des hommes de tous horizons ont su capter, à l’aide de leur appareil photo ou de leurs pinceaux, ou tout simplement grâce à leur imagination et leur talent,  les moments magiques  qui font de l’univers un espace merveilleux où s’ébattent encore animaux et plantes dans une merveilleuse harmonie de couleurs.

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J’ai besoin de pureté et de beauté pour continuer à vivre

Publié dans:émotion |on 22 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

souvenons-nous pour eux

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Publié dans:émotion |on 19 janvier, 2015 |1 Commentaire »

ברוכים הבאים הביתה – Bienvenue à Lynda et aux autres

trouvé sur facebook il y a une heure :
Lynda Bismuth

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On sonne à ma porte, j’ouvre c’est la voisine, bonne année me dit-elle affectueusement, on se lance dans les banalités de circonstances…et puis, elle se positionne comme pour me faire une déclaration solennelle : « Lynda ma chérie  » me lance t-elle… « Toute la co-propriété te demande d’enlever », et du doigt me montre ma mezouza… Je la regarde glacée, et entend d’un son feutré tout ce qu’elle me dit : « tu comprends Lynda tu ne veux pas mettre les gens en danger…  » Et puis je n’entends plus rien…Je me vois soudainement le poing lever comme Charb crayon à la main pour revendiquer ma liberté d’être dans ce que je suis… Et ce que je pense…Et puis je redescends à la réalité, et j’entends : « tu le feras n’est-ce pas ?  » « Oui bien sur « dis- je, n’en pensant pas un mot ! Mais quand j’ai fermé la porte, j’ai pris la pleine conscience combien mes patriarches avaient travaillé dur pour que j’ai un foyer le jour ou l’on me dirait cache toi tu es juive ! Mes amis je vous annonce solennellement que j’ai pris la décision de partir en Israel. Que D ieu m’accompagne dans ce nouveau voyage.

https://www.facebook.com/lynda.bismuth?fref=ts

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Maintenant, je vais vous raconter une histoire :

Lorsque je suis arrivée en Israël, voici plus de 30 ans, j‘avais fait la connaissance d’une juive française  et quand je lui ai demandé ce qui l’avait fait venir en Israël, elle m’a raconté son histoire :

Enfant pendant la guerre, elle porte l’étoile jaune lorsque cela devient obligatoire mais continue à aller à l’école.

Depuis le début de sa scolarité, elle a une très bonne amie catholique qui durant toute la guerre restera son amie, continuera à l’inviter chez elle, sera vue dans la rue à ses  côtés, autant de situations qui prouvent combien l’amitié qu’elle lui porte est sincère.

 

Un jour, l’obligation de porter l’étoile  est levée et c’est toute heureuse qu’Hélène arrive à l’école débarrassée de ce signe qui  la désignait comme une pestiférée et qui la mettait à chaque instant en danger de mort.

-« tiens ! tu n’as pas ton étoile aujourd’hui lui demande son amie ?

-« non, pourquoi me demandes tu cela ?

-« je ne sais pas mais j’aimais mieux avant

-« pourquoi ?

-« parce que on savait au moins qui on avait devant soi alors que maintenant …..

 

Hélène a raconté cela à ses parents et là, ils ont compris !

 

Ils ont compris que la seule place qui était la leur, c’est ce pays pour lequel, tout au long de l’histoire, des hommes sont morts et que c’est leur sacrifice  qui rendait caduc la fameuse prière « l’an prochain à Jérusalem »  prière dite chaque année depuis des siècles, à la Paque Juive mais qui pendant tous ces siècles était un rêve et non une réalité.

 

Ils ont fait leurs valises pour rejoindre le seul pays dans lequel on ne les traiterait jamais de « sale juif » et pays dans lequel ils arboreraient avec fierté le « magen david », symbole de leur appartenance  à ce peuple si décrié mais si fier d’être ce qu’il est.

Yaël Avraham

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Publié dans:émotion |on 10 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

Charlie Hebdo

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Hier on a voulu assassiner la liberté d’expression.

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Le monde s’est élevé contre cette barbarie 

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Les dessinateurs du monde entier ont pris la relève pour prouver que :

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nous « sommes tous Charlie »

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que nous sommes toujours debout

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que nous résistons de toutes nos forces

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L’humour n’est pas mort au contraire, il sort renforcé, et en hommage à ceux qui en était l’exemple, ces quelques dessins sont une façon de saluer nos amis  disparus. 

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Publié dans:coup de gueule, émotion |on 8 janvier, 2015 |9 Commentaires »

Charlie hebdo

Charlie 1

On a voulu assassiner la liberté d’expression mais les auteurs de ces meurtres n’ont pas réussi.

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Le monde entier se révolte contre ces actes infâmes et en hommage à ceux qui ont disparus, tous ceux qui ont du talent ont prouvé que nous sommes tous là, que nous sommes tous   »Charlie » et que personne ne peut nous mettre à genoux.

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Publié dans:coup de gueule, émotion |on 8 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

le mendiant et son chien

 

 

 

Trouvé sur facebook :Le Jardin d’Athéna

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Le Jardin d’Athéna

Tous les jours, ce pauvre homme mendiait, toujours au même endroit… Et malgré tout, il gardait le sourire et restait poli y compris devant les gens moins généreux.

Cet homme avait un chien. Un chien aussi gentil que lui qui n’aboyait que rarement et ne montrait jamais les dents. J’entendais les médisants dire que cet homme était fou d’avoir un chien auprès de lui alors qu’il parvenait à peine à se nourrir lui-même.

Un jour, je marchais dans la rue où ce SDF et son chien se trouvaient comme à leur habitude, je les trouvais là en train de se réchauffer l’un contre l’autre. Il faisait un temps glacial et les voir ainsi m’a donné l’effet d’un coup de poignard.

Loin d’être riche, j’ai tout de même décidé de faire quelque chose…

Le lendemain, j’ai dit à mon patron que je prenais ma demi-journée. Muni d’une couverture et d’une grande boîte remplie de nourriture pour l’homme et son chien, j’ai décidé d’acheter deux cafés et je me suis approché de l’homme :

« peut-on parler quelques instants ? », lui ai-je demandé.

C’est avec plaisir qu’il acquiesça même s’il restait suspicieux : « pourquoi me parlez-vous ? »

Donc je lui ai dit : « tous les jours, je vais au travail. Chaque jour, je vois des gens qui ont l’air si tristes. Tous, sauf vous. Vous avez toujours l’air souriant. Vous avez toujours l’air heureux malgré vos conditions de vie et chaque jour, vous me réchauffez le coeur. Je me dis que même si je passe une mauvaise journée, ou que je ne suis pas aussi heureux que je voudrais l’être, il y a cet homme qui vit dans la rue et qui a l’air beaucoup plus épanoui que moi même s’il n’a rien. »

 A ce moment-là, il m’arrêta et me dit : « J’ai quelque chose, quelque chose qui n’a pas de prix : ce petit gars dans mes bras (le chien). »

Je lui ai demandé où est-ce qu’il l’avait trouvé. Il m’a donc répondu : « un jour, je me demandais à quoi bon être en vie si c’est juste pour mendier et survivre. J’avais personne à qui penser et personne ne m’aurait regretté si j’étais mort.

C’était il y a deux ans, j’étais sur ce pont, prêt à me suicider… Et là, ce petit gars est arrivé, m’a aboyé dessus et a mordu mes vêtements m’empêchant ainsi de sauter dans le vide. Alors je lui ai donné le dernier cookie que j’avais dans la poche. Il était tellement heureux que j’en ai pleuré et j’ai décidé de ne plus sauter. Depuis ce moment, il est tout ce que j’ai et est comme mon enfant. Parfois, il va se promener et revient avec quelque chose à manger pour nous deux : un bout de gâteau, une moitié de sandwich… Il veut toujours dormir avec moi. »

Je lui ai demandé s’il avait déjà trouvé une place dans un centre d’accueil ou une maison pour vivre, ce à quoi il m’a répondu une chose qui m’a bouleversé : « Il y a huit mois, j’aurais pu avoir une place où dormir, quelque chose à manger et un endroit chaud pour me reposer. Le problème : les chiens n’étaient pas acceptés. J’ai donc refusé. Ce petit gars est tout ce qui me reste. Je préfère mourir plutôt que de l’abandonner. Quand je me suis rendu compte que je n’avais plus rien, il m’a appris l’amour, m’a donné une raison de vivre et je le remercierai jamais assez pour ça.

Quand les passants me donnent de l’argent, j’achète toujours de la nourriture pour lui. Je ne m’achète à manger que lorsque je suis sûr qu’il ne manque de rien. Parfois, j’entends les gens qui disent que je suis bête d’avoir un chien, à ces gens-là, je réponds : peut-être que ce n’est qu’un animal mais il m’a donné beaucoup plus d’amour que tous les êtres humains que j’ai rencontrés et il ne me fera jamais de mal. »

Quand il a dit ça, je lui ai donné la couverture et la fameuse boîte de nourriture. Il m’a remercié comme personne ne l’a jamais fait. Tout simplement parce que grâce à moi, Bobby (le chien) allait bien manger et n’aurait plus jamais froid

A ce moment, je ne sais toujours pas pourquoi, je lui ai donné un morceau de papier avec mon adresse dessus, je l’ai attaché au collier du chien en disant « tu n’as plus à te faire de soucis, s’il devait t’arriver malheur, je prendrais soin de Bobby et il ne sera plus jamais seul. »

Il a pleuré.

Ce jour-là, j’ai vu l’homme le plus heureux au monde. Et je vous souhaite la même aventure.

 

Publié dans:animaux, émotion |on 28 novembre, 2014 |4 Commentaires »
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