Archive pour la catégorie 'émotion'

Nosso lar

 

 

Qui n’a pas vu ce film n’a rien vu.Il faut profiter de sa parution car souvent les bons films disparaissent de la toile.

 

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Nosso Lar

Publié par Ailedeau le 9 décembre 2015 à 23:52 dans Films

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nosso_Lar

Dans les années 1930, le médecin André Luiz décède des suites d’une grave maladie. Il se retrouve alors seul, dans un corps spirituel, au milieu d’un angoissant désert. Souffrant de faim, de soif et de fatigue, il tente de subsister dans ce monde hostile, peuplé de créatures agressives. Arrivé à un état d’épuisement extrême, priant pour son salut, il est secouru par un homme providentiel nommé Clarencio.

André est transporté dans une oasis fortifiée, dont les occupants semblent vivre en harmonie.

Cette colonie spirituelle s’appelle Nosso Lar et contraste avec le milieu infernal environnant, baptisé le Seuil.

Le médecin reçoit soins et réconfort, ainsi que des explications concernant les causes de ses malheurs. Au fil des jours, le nouvel arrivant regagne des forces et s’instruit auprès de Lisias, un résident du lieu.

Ce guide apporte un enseignement sur les lois naturelles qui régissent le plan spirituel, l’histoire et l’organisation de Nosso Lar, le système économique, l’alimentation, l’irrigation, et la hiérarchie de la communauté.

Le but de cette implantation est précisément la récupération et la régénération des personnes perdues dans le Seuil.

et voila le lien

http://eveil.tv/nosso-lar-notre-demeure/

http://l-unite.ning.com/group/films/forum/topic/show?id=6449619:Topic:226061&xgs=1&xg_source=msg_share_topic

Publié dans:émotion, mystique sagesse |on 10 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

DEUIL NATIONAL

 

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Christophe Roth

 Caen · 

 

DEUIL NATIONAL

La guerre est sur notre sol. 
Pour avoir la paix, nous aurions dû préparer la guerre. 
On ne l’a pas fait, on a la guerre.

Nous savons que d’autres attentats sont en préparation, il y a urgence pour armer notre démocratie sinon il n’y aura plus de démocratie.

Tous les discours sont superflus depuis longtemps, il faut des actions fermes et concrètes, maintenant.

Loin de moi la volonté d’agiter les peurs et de céder à un quelconque catastrophisme mais je me souviens du récent interview du juge Trevidic. Ce dernier ne doit pas passer inaperçu car il est tout à fait exceptionnel, réel et amène à la prise de conscience nationale.

Ce magistrat, réputé, qui a dirigé des enquêtes fort périlleuses, a décidé, alors qu’il quitte ses fonctions de juge antiterroriste pour revenir vers le droit commun, de tirer plus qu’une sonnette d’alarme.

Il s’agit d’un véritable coup de canon destiné à nous alerter sur les risques vitaux encourus par la France et sa population.

Au delà du franc parler et de la brutalité des propos, de la révélation d’une réalité devenue incontrôlable, le procédé qui consiste à avertir haut et fort la population par presse interposée s’apparente à une sorte d’appel « au feu!  » lourd de significations.

En effet, c’est d’abord l’imminence d’une catastrophe annoncée, d’un bouleversement de grande ampleur auquel ce juge veut nous prévenir pour tenter de nous prémunir.

C’est aussi un cri de désespoir face à la préparation de  » massacres de masse préparés par Daech en France » auxquels, finalement, la Justice, c’est à dire la loi, la police, l’Etat ne peuvent finalement plus rien….

Malgré toute la bonne volonté du monde, l’abnégation de tous ceux qui luttent contre la barbarie, le pire serait donc à venir.

C’est donc aussi de la part de ce courageux magistrat un cri destiné à nos gouvernants, une exhortation à l’action, une supplique d’intervention pour éviter le drame.

Mais quel dénuement pour en arriver à une telle intervention publique, quelle reconnaissance implicite de son impuissance dans la lutte contre ce qui nous menace.

Le pouvoir, tellement intrépide à montrer sa force en bombardant des positions ennemies à l’extérieur du territoire, n’a pas encore compris qu’il faut absolument déployer un véritable arsenal juridique et des moyens pour lutter à l’intérieur de nos frontières disparues…Quel cruel paradoxe.
S’il était trop tard, le juge n’aurait rien dit.

Nous devons tous être unis, en soutenant nos forces de l’ordre qui assurent la paix publique. 
Nos prières, nos pensées, nos recueillements accompagnent les familles et les proches des victimes et des blessés.
La dignité, l’unité nationale, le courage, la force doivent guider notre action face aux actes de guerre que notre nation vit !

Publié dans:coup de gueule, émotion |on 14 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

Ne les oublions pas !

 

Ne les oublions pas.
Ils sont l’avenir du monde,

Seront-ils capables d’accomplir ce que nous n’avons pas fait ?
De réparer ce que nous avons abimé ?
D’aimer ce que nous avons dédaigné ?

1) Vietnam

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2) Pologne

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3) Bangladesh

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4) Equateur

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5) Soudan Sud

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Publié dans:émotion, terre des hommes |on 3 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

Lettre de Gabriel Garcia Marquez à ses amis

 

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Magnifique lettre que Gabriel Garcia Marquez avait écrit pour ses Amis…

 » Si pour un instant D-ieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m’offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais.

Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais.

Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu’elles valent, mais pour ce qu’elles représentent.

Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu’en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière.

Je marcherais quand les autres s’arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient.

Si D-ieu me faisait cadeau d’un morceau de vie, je m’habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme.

Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu’ils cessent d’être amoureux parce qu’ils vieillissent, sans savoir qu’ils vieillissent quand ils cessent d’être amoureux !

A l’enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul.

Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l’oubli.

J’ai appris tant de choses de vous les hommes… J’ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d’y arriver.

J’ai appris que lorsqu’un nouveau-né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours.

J’ai appris qu’un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever.

J’ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c’est que malheureusement je serais en train de mourir.

Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses.

Si je savais que c’est peut être aujourd’hui la dernière fois que je te vois dormir, je t’embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme.

Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais « je t’aime » sans stupidement penser que tu le sais déjà.

Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c’est si c’est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t’aime, que jamais je ne t’oublierais.
Le lendemain n’est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux.

C’est peut être aujourd’hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n’attends pas, ne perds pas de temps, fais le aujourd’hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n’avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir.

Garde ceux que tu aimes prés de toi, dis leur à l’oreille combien tu as besoin d’eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire ‘je regrette’ ‘pardonne-moi’ ‘s’il te plait’ ‘merci’ et tous les mots d’amour que tu connais.

Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes.

Demande la force et la sagesse pour les exprimer.

Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi.
Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd’hui. Et si tu ne le fais pas cela n’a pas d’importance. Le moment sera passé.

Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse. »

 

Extrait de L’Ame agit de l’Uni-Vers sur FB

J’avais peur……………

 

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- J’avais peur de la vérité jusqu’à ce que…
je découvre la laideur des mensonges.

- J’avais peur d’être seul jusqu’à ce que…
j’ai appris à m’aimer moi-même et à prendre soin de moi.

- J’avais peur de ce que les autres penseraient de moi jusqu’à ce que…
je me rende compte qu’ils auront toujours une opinion de moi de toute façon.

- J’avais peur qu’on me repousse jusqu’à ce que…
j’ai compris que je dois croire en moi-même.

- J’avais peur du ridicule jusqu’à ce que…
j’ai appris à rire de moi-même.

- J’avais peur de vieillir jusqu’à ce que…
j’ai compris que je gagne en sagesse chaque jour et que la jeunesse, c’est d’abord dans la tête et dans le coeur.

- J’avais peur du passé jusqu’à ce que…
je comprenne et décide qu’il ne pouvait plus me blesser si je le voulais vraiment.

 
Publié dans:émotion, lettre ouverte |on 3 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

l’invention de l’amour

 

 

 

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« Invention of Love » raconte l’histoire d’amour tragique entre un inventeur de génie et une jeune femme très jolie. À travers la frénésie créative de cet homme, suivez le déchirement amoureux de ces deux jeunes gens. SooCurious partage avec vous ce court-métrage aussi esthétique qu’émouvant.

http://soocurious.com/fr/amour-perdu-inventeur/

Les machines peuvent reproduire ou copier la nature, mais elles  ne sont jamais capables de remplacer ce qu’elles copient.

Rappelez vous de cela quand vous êtes devant votre ordinateur, votre portable, votre tablette ou même votre télévision.

 

Publié dans:émotion |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

C’est arrivé le 11 septembre 2001

 

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Pour honorer ceux qui ont perdu la vie en Septembre  2001.

Nous ne devons jamais oublier.

2974 morts : 2.603 dans les tours dont  351 pompiers et 60 policiers

                         125 au Pentagone

                          246 dans les avions

 

 

https://www.facebook.com/sherrysbc/videos/10207742145937954/

 

Publié dans:émotion, les évènement qui font l'histoire |on 11 septembre, 2015 |2 Commentaires »

Dans le dédale de Varanasi

 

 trouvé sur FB

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Bonjour à tous.

Voici un cliché réalisé dans le dédale de ruelles de Varanasi (Bénares).

J’espère que vous prendrez le temps de lire ce récit et le partagerez autant que faire se peut. Cette image me tient particulièrement à coeur, bien qu’elle soit sombre et assez dure à regarder.

Il y’a ici une sorte de message que je voudrais passer,en ces temps ou le débat fait rage, quant à montrer, ou pas, certaines choses en image. Mais c’est surtout l’histoire de cet homme qu’il faut retenir, et je m’en vais vous la conter par ces quelques lignes..

RÉCIT DE VOYAGE :

Cet homme, que nous appellerons Raju, je l’ai vu, pendant près de trois semaines, posé,ou plutôt échoué là, à cet endroit même, allongé sur sa paillasse, crachant et toussant sans cesse, dans l’indifférence la plus totale des quelques touristes passants dans ce quartier.

Tous les matins, je m’arrêtais dans une échoppe à quelques mètres de lui pour boire un tchaï et acheter mes provisions d’eau pour la journée. Il me saluait et je le saluais en retour avec les quelques bribes d’Hindi que je baragouinais.

J’avais remarqué dans son regard, cette détresse si pesante mais aussi, cette dignité, propre aux gens qui ont vécu d’une vie pleine et qui s’approchent lentement de leur dernier soupir.

Je lui donnais l’aumône, comme les gens du quartier, qui lui apportaient chaque jour, un peu d’eau et de nourriture.

Un matin, alors que je tirais le portrait d’une voisine et de son fils, le vendeur de l’échoppe me dit que Raju aussi voudrait son portrait. J’y avais pensé, bien entendu mais je n’avais pas osé, de peur de le blesser,d’une part et d’autre part, car ce sont des êtres humains que nous prenons en photo et pas des animaux, que nous ne sommes pas au zoo, lorsque nous sommes en reportage, à photographier la misère du monde pour notre propre plaisir.

Simplement montrer aux gens qui n’ont pas la chance de pouvoir se rendre compte par eux mêmes, et qui peut être ne se doutent pas que cela arrive aussi en bas de chez eux, partout dans le monde.

Grace à Sunny mon ami et traducteur sur place, j’ai pu me faire conter son histoire.

« Raju vit dans cette rue depuis plus de deux ans, il n’a plus aucun contact avec sa famille. Pourtant, il a bien deux enfants qui ont fondé chacun une famille, un fils commercial, et une fille médecin.

Ceux-ci vivent en dehors de Varanasi et ont donc une vie de famille correcte grâce à l’amour et l’éducation que Raju leur a offert des années auparavant.

Sa femme, partie trop tôt en raison d’une maladie infectieuse, il s’est retrouvé seul, malade, et a donc pris le Chemin de Varanasi afin d’y finir ses jours et d’achever le cycle des réincarnations, en étant inhumé au bord du Gange. »

Ce fut donc le coeur chargé d’émotions, et les larmes aux yeux, que j’ai immortalisé Raju, sur sa paillasse, redressé pour l’occasion.

Après avoir partagé un tchaï avec mon ami Sunny et Raju évidemment, j’ai pris la direction du Labo Photo ou je développais mes tirages, et ai donc imprimé et plastifié une série de 3 portraits.

Quel bonheur ce fut lorsque le lendemain midi, accompagné d’un sac de fruits et de tabac, j’ai pu lui offrir ces images… Cette fois, c’est Raju qui avait les larmes aux yeux, et c’était contagieux..

J’ai attendu un long moment avant de publier cette image car je ne trouvais pas encore les mots pour vous conter cette rencontre, et c’est le coeur empli de compassion et de nostalgie que je le fais aujourd’hui.

J’espère que Raju va bien, que l’hiver ne sera pas trop rude pour lui, mais qui sait, peut être ne verra t’il pas l’hiver….

C’est pour des moments comme celui-ci que je suis devenu Photographe  et je ne regrette strictement rien, je veux juste vous montrer qu’il y a aussi de la beauté dans la misère et c’est ce que j’ai voulu communiquer par ce cliché.

Bien à vous, d’ici ou d’ailleurs.

Maxime Nourry Photographe

Publié dans:émotion |on 11 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’histoire du tablier de Grand’Mère

 

 

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Le principal usage du tablier de Grand’Mère était de protéger la ROBE en dessous, mais en plus de cela, il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau; il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.

Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer  et parfois, les oeufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.

Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d’abri à des enfants timides; et quand le temps était frais, Grand’Mère s’en emmitouflait les bras.

Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet agité au-dessus du feu de bois.

C’est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine. Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux. En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l’arbre.

Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c’était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire disparaître la poussière.

À l’heure de servir le repas, Grand’Mère allait sur le perron agiter son tablier et les hommes au champ savaient aussitôt qu’ils devaient passer à table.

Grand’Mère l’utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu’elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite-fille la pose là pour décongeler.

Il faudra de bien longues années avant que quelqu’un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses

Francine ANDREOLETTI, L’Echo d’Oranie

Publié dans:émotion |on 26 août, 2015 |Pas de commentaires »

court métrage, le baobab

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Un magnifique court métrage qui démontre que notre monde est habité par des gens stupides et sans cœur mais, qu’on le veuille ou non, la nature reprendra toujours le dessus car elle n’a pas besoin de nous, c’est nous qui avons besoin d’elle

http://soocurious.com/fr/court-metrage-cruaute-homme/

Publié dans:émotion, nature |on 19 août, 2015 |Pas de commentaires »
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