A écouter cette vérité qui dérange
“Il est temps de faire de toutes petites choses multipliées par des milliards de toutes petites.” – Jacques Gamblin au Parlement des écrivains
https://www.facebook.com/mylittleparis/videos/10156997849330045/

“Il est temps de faire de toutes petites choses multipliées par des milliards de toutes petites.” – Jacques Gamblin au Parlement des écrivains
https://www.facebook.com/mylittleparis/videos/10156997849330045/
Entre science et conscience
A quelle famille d’âmes appartenez-vous ?
2e – Les BÂTISSEURS du chakra SACRÉ
(ORANGE, situé au 5 cm sous le nombril)
Votre vie a-t-elle été empreinte de souffrances et de difficultés depuis votre tout jeune âge? Avez-vous l’impression d’être constamment entouré-e de personnes colériques ou difficiles à vivre? Vous a-t-on donné l’impression souvent d’être un-e moins que rien ou que la vie ne valait pas la peine d’être vécue?
Si vous avez grandi dans un climat lourd de violence et de répression, c’est que vous avez choisi de faire partie de la Famille des Bâtisseurs. Vous faites partie de ces « vieilles âmes », sages et lumineuses, qui ont trouvé le courage de venir « témoigner pacifiquement » au sein d’une famille troublée qu’il est possible de s’en sortir et de faire les choses autrement. Mais surtout, vous êtes venu-e leur enseigner que, peu importe les sévices que l’on a subis ou les tourments que l’on a vécus, notre âme, elle, demeure toujours pure et inviolable! Vous vous êtes donné comme mission de démontrer que la Lumière est toujours présente en chacun, peu importe son passé ou ses actions et qu’il suffit de croire en soi-même pour qu’elle se révèle au grand jour, dans toute sa splendeur!
Votre Contrat d’incarnation :
Vous êtes venu-e sur Terre pour OUVRIR LA VOIE, ROMPRE AVEC LE PASSÉ et CONSTRUIRE LE NOUVEAU MONDE.
Votre défi de vie actuel consiste à :
Oser vous affirmer, prendre votre place et à jouer un rôle prépondérant dans des changements d’ordre familiaux, sociaux, territoriaux et/ou planétaires.
C’est pour développer votre courage, votre détermination et votre esprit de leadership que votre âme a délibérément décidé de naître au sein d’une famille terrestre ayant des antécédents transgénérationnels plutôt lourds et où, dès l’enfance, vous avez tout mis en œuvre afin de tenter de neutraliser les dérèglements de cette lignée familiale, afin de les aider à rompre avec le passé et reconstruire sur de nouvelles fondations.
Et même si vous avez parfois l’impression de ne pas avoir réussi. Vous SAVEZ que votre vie vous prouve le contraire : vous êtes encore là, debout, bien droit, ayant traversé toutes les tempêtes et démontrant ainsi que la puissance qui vous habite est plus grande ce tout. Et plus vous avez foi en vous-même, plus vous êtes convaincu de mériter le meilleur, plus la vie vous soutient en ce sens!
Votre plus grande force est d’être connecté-e à la Terre. Vous avez de la facilité à vous enraciner, vous jouissez d’un dynamisme à toute épreuve et d’une force vitale hors du commun. En outre, même si vous éprouvez parfois des réticences à vous incarner véritablement, vous êtes doté d’une capacité formidable à matérialiser l’abondance et à attirer à vous les situations parfaites pour expérimenter chaque jour de plus en plus votre prédisposition à « l’entrepreneurship ».
Les qualités et vertus que vous avez tout intérêt à reconnaître en vous et à développer au quotidien :
La confiance en soi, la force, le courage, le leadership, l’endurance, la persévérance, la stabilité, le dynamisme et l’habileté à matérialiser ses buts… en vous impliquant concrètement dans votre milieu de vie en tant que pacificateur, réconciliateur ou, plus simplement procréateur (c’est-à-dire en contribuant de votre mieux à la mise au monde d’un couple, d’un enfant, d’un projet, etc.).
Le côté pile et le côté face : BOURREAU versus BÂTISSEUR…
Si vous n’osez pas exprimer ouvertement votre colère, il y a de fortes chances que vous ne parveniez pas non plus à faire une place au BOURREAU en vous-même. Par conséquent, vous vous empêchez de bénéficier des vertus de la Famille d’âmes des BATISSEURS et, donc, il est possible que vous éprouviez quelques difficultés à répondre à vos besoins essentiels, à croire en votre potentiel intérieur et à concrétiser les projets dont vous rêvez.
Si, au contraire, vous êtes un bon BÂTISSEUR, vous savez vous servir de votre charisme naturel de leader, vous appuyant sur votre force de caractère pour contribuer à bâtir un monde meilleur. Toutefois, vous êtes aussi vulnérable à la frustration et à la colère et, quand tout ne va pas comme vous le souhaiteriez, vous vous exposez à devenir un BOURREAU, vous servant du contrôle ou, au besoin, de votre force physique pour obliger les autres à vous donner de l’énergie. C’est d’ailleurs pourquoi le champ énergétique du BOURREAU et du BÂTISSEUR revêt la même forme géométrique, soit le TRIANGLE.
Ce qui vous permet de vous recentrer, de vous harmoniser :
Que vous soyez « trop » BOURREAU ou « pas assez » BÂTISSEUR, les moyens disponibles pour vous permettre de vous rééquilibrer sont les mêmes :
En vous reconnectant à votre Famille d’âmes via votre chakra gouverneur, le 2e – SACRÉ, vous vous permettez d’installer et/ou de réactiver en vous toutes les QUALITÉS ET VERTUS caractéristiques des membres de cette famille des plus dynamiques !
Les couleurs ROUGE et ORANGÉ peuvent elles aussi contribuer rééquilibrer ou revitaliser votre énergie globale, vous avez donc tout intérêt à vous entourer d’objets et porter des vêtements de ces couleurs, tandis que l’élément « TERRE » vous apporte une vibration de soutien et de support dans la reconnaissance de QUI vous êtes réellement. C’est d’ailleurs pourquoi la forme de leur cocon de Lumière est celle d’un TRIANGLE équilatéral, illustrant la force tirée de la TERRE, de l’ENRACINEMENT et de l’INCARNATION.
Le patriarche de la famille des BÂTISSEURS est l’Archange URIEL. Comme il est relié à la dimension PHYSIQUE de votre Être, il est pertinent de l’invoquer pour tous vos problèmes d’INCARNATION ou d’ENRACINEMENT, de même que tous vos soucis d’ordre matériel ou financiers. Il vous invite à prendre soin de vous, prendre votre place, prendre les bons moyens pour arriver à vos fins et faire tout ce qu’il faut pour maintenir à flot votre niveau d’énergie vitale.
Dimension PHYSIQUE = INSTINCT DE SURVIE :
Le CORPS PHYSIQUE étant gouverné par l’INSTINCT de survie, il va de soi que vous soyez obligé de consacrer au moins 40 % de votre temps quotidien pour répondre à vos besoins essentiels et existentiels : santé, alimentation, sommeil, hygiène, sécurité matérielle, valorisation personnelle et professionnelle, etc.
Toutefois, c’est par la certitude d’être bien équilibré-e sur le plan de l’INCARNATION et de l’ENRACINEMENT que vous pouvez mesurer la stabilité de cette dimension sur le plan énergétique et vibratoire.
Les soins de santé qui vous sont les plus bénéfiques sont :
Au point de vue de l’alimentation : les PROTÉINES (animales : viandes, œufs, poisson; végétales : tofu, seitan, légumineuses) et les LÉGUMES RACINES (tous ceux qui poussent sous la terre, donc qui aident à vous enraciner : les pommes de terre, les carottes, les navets, les betteraves, etc.)
Sur le plan thérapeutique : Les outils les plus aptes à vous redonner de l’énergie lorsqu’elle est en baisse sont bien entendu des exercices d’ENRACINEMENT, tels l’exercice physique, les activités sportives, les arts martiaux et le yoga, bref, tout ce qui met votre CORPS en mouvement; mais aussi tout ce qui implique la participation du corps physique : le MASSAGE, l’OSTÉOPATHIE, la KINÉSIOLOGIE, etc.
En musicothérapie : les INSTRUMENTS À PERCUSSION, le son « O » ou « OM » (le OM n’est pas qu’un mantra spirituel, c’est un puissant son vibratoire qui enracine l’énergie vitale et éveille l’énergie sexuelle sacrée, la « Kundalini », en alignant spécifiquement les deux premiers chakras).
Les dons spirituels qui ne demandent qu’à être éveillés en vous :
Les BÂTISSEURS sont associés à la dimension PHYSIQUE de l’Être. Ils peuvent ainsi aisément intervenir sur le plan matériel pour : attirer l’abondance et la richesse (MATÉRIALISATION), concrétiser leurs objectifs, leurs rêves et leurs projets (MANIFESTATION), déplacer des objets par leur simple volonté (TÉLÉKINÉSIE), et même, agir sur la matière et sur leur propre corps qu’ils peuvent, ultimement, déplacer dans l’espace et le temps (TÉLÉPORTATION).
En fait, les BÂTISSEURS font d’excellents ALCHIMISTES, car ils ont la facilité de commander aux Forces de la Nature et de l’Univers. Rappelons-nous que ce sont ceux qui, selon leur contrat d’incarnation, « OUVRENT LA VOIE, ROMPENT avec le passé et CONSTRUISENT le Nouveau Monde ».
Ils sont, en somme, les GARDIENS DE LA TERRE.
http://messagesdelanature.ek.la/a-quelle-famille-d-ames-appartenez-vous-p867364
Un boulanger explique comment le BLÉ et le GLUTEN sont devenus TOXIQUES pour l’être humain !
À partager sans modération !
Plus de conseils sur l’alimentation saine sur : www.MangerVivant.fr
Rejoignez-nous sur la page Facebook Manger vivant pour recevoir d’autres vidéos !
https://www.facebook.com/mangervivant.fr/videos/719027688196876/
Châtaignes et marrons, des cadeaux de l’automne
Posté dans :
- Par Gary Laski - le 24 novembre 2015
L’automne est la saison mélancolique par excellence. Le froid et l’humidité s’installent, et l’envie de dormir se fait plus pressante. Mais elle peut être aussi une belle saison qui se prête aux promenades en forêt, à la cueillette des marrons. Ou des châtaignes…
Il y a souvent confusion. La crème de marrons, par exemple, est à la châtaigne ! Pourtant, nous appelons de la même manière les fruits du châtaignier et du marronnier : des marrons.
Le plus étrange, c’est que sans leur enveloppe – leur bogue –, il serait presque impossible de les distinguer. Alors qu’ils ne sont même pas de la même espèce !
La raison de cette confusion est que le vrai marron, le fruit du marronnier donc, n’a pas un goût aussi séduisant que la châtaigne, et qu’il ne peut être consommé aussi facilement. Et en retour, la châtaigne a un nom moins vendeur que le marron…
Pourtant, tous deux sont bons pour notre santé et méritent d’être glanés. La châtaigne pour ses vertus nutritives, et le marron pour ses excellentes propriétés médicinales.
La suite ici : http://www.plantes-et-sante.fr/remedes/chataignes-et-marrons-des-cadeaux-de-l-automne
Vous revenez de votre balade dans les bois, avec un bambin tout content de son panier de marrons. Tant qu’à faire, pourquoi ne pas en profiter et se concocter quelques remèdes ?
Vous pouvez vous fabriquer une alcoolature : faites-les macérer tant qu’ils sont frais (dans les 10 jours qui suivent la cueillette), râpés entiers avec leur peau, dans leur poids d’alcool à 90°. 10 gouttes avant le déjeuner et le dîner, pendant les jours de la semaine, constituent unremède efficace contre les hémorroïdes et les varices.
Mais surtout, comme nous le conseille Pierre Lieutaghi, ethnobotaniste et écrivain français, vous pourrez vous en faire une crème qui vous soulagera aussi bien les jambes que le reste. Il suffit pour cela de mélanger votre préparation à de la lanoline, à raison d’un quart d’alcoolature pour trois quarts de crème.
Cette authentique crème de marrons sera efficace contre les hémorroïdes et les varices, elle sera aussi tout à fait appréciable contre les œdèmes, le gonflement de l’arthrite, les contusions, les entorses, la névralgie, et dans un souci plus esthétique, pour diminuer la cellulite !
Et si vous retrouviez confort et vitalité cet automne ?
Témoins d’une période historique ou supports d’allégories religieuses, les plantes sont très présentes dans les récits fondateurs du christianisme. Dans un livre récent, Florence et Marie-José Thinard mènent l’enquête sur leur symbolique.
Nous connaissons tous la légende des Rois mages apportant des présents à la naissance de Jésus. C’est un thème récurrent de Noël qui nous rappelle que les plantes telles que l’encens et la myrrhe ont dans la tradition religieuse une valeur aussi grande que l’or.
Précieuses et symboliques, les plantes le sont donc depuis des millénaires. Et c’est justement le sujet d’un très beau livre, récemment paru, intitulé « Dans les jardins de la Bible » (de Florence et Marie-José Thinard, Éd. Plume de Carotte, 2014).
Au fil des pages, vous découvrirez les significations originelles des plantes, mais vous vous déferez aussi de certaines idées reçues, comme celle des pommes du jardin d’Eden qui n’en sont pas, ou plutôt qui le sont devenues lorsque la Bible a été traduite en latin, par Saint-Jérôme, au IVe siècle.
Surtout, le mérite de cet ouvrage est de vous inviter au voyage, à l’exploration des merveilles végétales de l’Antiquité, avec en plus, un petit parfum de rêve que seules les plantes orientales peuvent vous offrir.
Certes, des plantes de la Bible, nous n’avons pas tout oublié. Le vin, par exemple, dont on trouve plus de 350 références dans le Livre saint. Cultivé depuis la plus haute Antiquité en Mésopotamie et en Égypte, il était dès le temps des Hébreux adouci par de la résine et du miel, mais aussi rehaussé par des épices.
S’il « réjouit Dieu et les hommes », il est aussi dangereux, perfide, « arrogant ». Noé, qui plante la vigne dès la fin du Déluge, en a fait les frais ! Humilié d’être surpris ivre et nu, il jeta une malédiction sur son fils, qui se propagea sur toute sa descendance… c’est-à-dire l’ensemble de l’humanité. On n’oubliera pas non plus que Jésus en a fait son sang et a ainsi aboli les sacrifices sanglants.
Le blé et l’orge ne sont pas non plus en reste, puisqu’ils sont en creux dans l’expression« séparer le bon grain de l’ivraie ». En fait, l’ivraie est une plante très semblable au blé, et qu’on ne peut distinguer de lui qu’une fois arrivée à maturité. Or elle est très souvent infectée par un champignon, accumulant dans ses grains un puissant alcaloïde neurotoxique, la témuline, qui donne des nausées, des délires et peut même conduire au trépas…
Accessoirement, le terme hébreu pour ivraie, zizoneh, a donné en français celui de zizanie, qui, à l’image d’une mauvaise herbe comme l’ivraie, se répand en secret et porte en elle un poison…
Vous ne serez pas non plus étonné de retrouver l’olivier, planté en masse lors de la sédentarisation en Terre Sainte. Le roi Salomon aurait envoyé au roi Hiram de Tyr, pour payer la construction du Temple, 440 000 litres d’huile d’olive, ce qui représente la production de 240 000 oliviers. Et encore, ce chiffre ne représente qu’un excédent de production !
Souvenons-nous aussi que l’huile d’olive jouait alors un rôle fondamental, puisqu’elle permettait de s’éclairer. Ce dont témoigne Hanukkah, fête juive commémorant le « miracle de la fiole d’huile », et dont est issue la tradition des cadeaux de Noël.
Enfin, vous serez heureux d’apprendre que, loin d’être un pommier, l’arbre du jardin d’Eden était certainement un figuier, dont les fruits ont encore une connotation érotique, en italien par exemple.
L’idée selon laquelle la pomme serait le fruit qui mène à la connaissance du bien et du mal vient quant à elle de la traduction de la Bible, puisque malus en latin signifie pomme, mais aussi funeste, mauvais. Représenter le fruit défendu par une pomme allait donc de soi !
Quant aux Hébreux, ils n’avaient rien contre les pommes, comme l’illustre le Cantique des Cantiques, dans lequel, douce et belle, elle invite à une passion que l’on interprétera à son gré, charnellement ou spirituellement.
J’ai, comme vous le constatez, personnellement trouvé dans ce livre bien des sujets passionnants, dont je serai ravi de vous reparler à l’occasion.
D’abord, la manne que Dieu fait tomber du ciel pour nourrir les Hébreux durant leur errance de quarante ans dans le désert serait du tamaris. Elle viendrait tout simplement du terme hébreu pour dire « quoi ? », traduisant la surprise des errants devant cette chose qu’ils n’avaient encore jamais vue.
On sera aussi ravi d’apprendre l’importance du cyprès. Cet arbre a une réputation sinistre dans la tradition gréco-latine, qui l’associe au dieu des morts, comme en témoigne encore sa présence dans les cimetières et dans le célèbre tableau de Böcklin (« L’Île des morts », 1886). Or il se trouve que ce serait, selon la Bible, à partir de cet arbre que Noé aurait bâti son arche, ce qui renverse notre perspective à son propos.
On retrouvera également l’amande, présente jusque dans les fameuses recettes des treize desserts provençaux. Mais aussi la ronce sanguine, qui serait le Buisson Ardent, le cèdre, qui servit à la construction du Temple de Jérusalem, et encore bien d’autres arbres et plantes : cannelle, lentille, myrte, nard, roseau, térébinthe…
Ce livre est donc aussi instructif que soigneusement documenté. Mais ce qui m’a séduit, ce sont les références soignées à l’étymologie – qui sait que le mot herbe viendrait de l’hébreu esev ?– et surtout les illustrations, magnifiques. Vous pourrez ainsi admirer des aquarelles, de très belles photographies et des peintures allant de l’Egypte ancienne au XIXe siècle.
En conclusion de l’ouvrage, vous trouverez un herbier remarquable fabriqué en collaboration avec l’université de Montpellier, que vous pourrez compléter de vos propres glanages.
Aussi, à l’approche des fêtes de Noël, et s’il vous reste encore un petit cadeau à mettre sous le sapin, je ne saurais trop vous recommander ce livre.
En vous souhaitant le plus fleuri et le plus joyeux des Noëls !
Y a pas que les feuilles mortes qui se ramassent à la pelle, il semblerait que les bonnes idées aussi.
Par les temps qui courent et alors que le monde semble partir à la dérive, il y a des hommes qui, à leur façon, cogitent, retroussent leurs manches et agissent, démontrant à ceux quine savent que se lamenter
-qu’il y a une solution à tout,
-que les choses ne sont pas aussi désespérées qu’on le croit et
-qu’il suffit d’un peu d’imagination et beaucoup d’huile de bras pour redresser la barre,
-vivre en harmonie avec la nature et les animaux et
-préparer la génération montante à la respecter et lui faire honneur.
http://www.terrevivante.org/1442-le-poulailler-du-centre-terre-vivante.htm
En visitant ce site, vous constaterez que ce qui est proposé est de joindre l’utile à l’agréable le tout dans la joie et la bonne humeur.
Ce genre d’idée et bien d’autres encore, à la portée de tous, existent partout, il suffit de les faire connaitre pour donner à d’autres l’envie d’en faire autant surtout que notre époque est propice à ce genre de communication grâce aux réseaux sociaux qui, utilisés intelligemment, sont des passeurs d’idées et d’espoir.
Trouvé sur FB
Les vegans riches en matière grise
Alors que se tient ce week-end à Paris, la 15e édition de la Veggie Pride, le mouvement végétarien prend de l’ampleur tant dans ses adeptes que dans ses concepts.
Il y a deux semaines, il était en tête des articles les plus lus du New York Times. «Vegans Go Glam». Les vegans deviennent glamours. Cela fait un moment déjà qu’aux Etats-Unis, Bill Clinton, Beyoncé ou Chrissie Hynde ont pu faire leur outing végétarien sans peur du ridicule. C’est loin d’être le cas en France, où aura lieu la Veggie Pride samedi et dimanche. Les végétariens y sont encore pris dans la nasse de clichés divers : hippies tristes et pâlots ou extrémistes nazillons. Sans parler des authentiques vegans, qui ont poussé jusqu’à son terme la logique végétarienne en refusant de consommer tout ce qui est issu de l’exploitation animale (œufs, lait, cuir). Pourtant, ici aussi, les représentations changent à grands pas.
Les Anglo-Saxons avaient depuis longtemps leurs penseurs du végétarisme, dont le plus fameux est Peter Singer. Son livre la Libération animale, paru en 1975, est traduit en une quinzaine de langues. «En France, rares sont ceux qui s’exprimaient jadis contre l’élevage et l’abattage industriels, en dehors des associations de protection animale, commente la philosophe Corine Pelluchon, professeure à l’université de Besançon et blogueuse de Libé (1). C’est en train de changer, et les voix qui s’élèvent aujourd’hui sont très diverses.» Des «réformistes», comme la sociologue Jocelyne Porcher, une ancienne éleveuse qui milite contre l’élevage intensif, aux «abolitionnistes», comme la philosophe Florence Burgat, qui remettent en cause toute utilisation de l’animal par l’homme. Très récemment, le bouddhiste Matthieu Ricard, les journalistes Franz-Olivier Giesbert et Aymeric Caron, la polémiste Marcela Iacub ont popularisé les notions de bien-être animal – des soutiens populaires d’ailleurs plus ou moins appréciés des vegans purs jus.
Les végétariens ont leur revue (les Cahiers antispécistes), leur festival (Estivales de la question animale), leur association phare, L214 (7 000 adhérents), qui promeut «un mode de vie qui n’exploite pas du tout les animaux», explique Brigitte Gothière, sa porte-parole : «284 000 personnes ont liké notre page Facebook. On a dépassé Greenpeace !»
Si végétarisme et bien-être animal manquaient un peu de visibilité ces dernières années, on ne peut pas dire en revanche qu’ils manquent de concepts. Les végétariens «éthiques» sont, a priori, des animalistes qui combattent le spécisme – la hiérarchisation des êtres vivants en espèces, l’espèce humaine étant au-dessus de toutes les autres – et le carnisme – cette idéologie des mangeurs de viande, qu’on ne voit plus tant elle nous paraît naturelle mais qui régit tous nos rapports à la nature.
Même à la Veggie Pride, on ne se contente pas de promouvoir un régime alimentaire sain et de se déguiser en légume, comme c’est parfois le cas dans les pays anglo-saxons. «Etre végétarien, ce n’est pas seulement un choix personnel, c’est une question de société : l’éthique animal est un sujet politique», explique Clémence Laot, l’une des organisatrices du festival. Cette année, la Pride est donc placée sous le signe de la «convergence des luttes entre féminisme, animalisme et racisme». Comparer femmes, Noirs et animaux et trouver un objectif commun à leur combat ? De quoi faire bondir les militants féministes et antiracistes classiques. «Pourtant, explique Pelluchon, ces luttes ont en commun de refuser les discriminations qui conduisent à légitimer la violence en se fondant sur l’espèce, le genre, l’ethnie. Toutes s’opposent à la domination, qui est toujours domination sur les plus faibles ou les sans-voix.»
Les antiracistes ont montré que la couleur de peau n’avait rien de «naturelle» ni de biologique mais qu’elle n’était qu’une affaire de représentations. A leur image, les antispécistes veulent démontrer que les espèces ne sont que le moyen d’asseoir la domination de l’homme sur le reste des êtres vivants. «Cette idée est mal acceptée à gauche, car l’animal a toujours été un repoussoir dans la lutte pour les droits des femmes ou des Noirs : ils ont voulu se distinguer des animaux pour démontrer qu’ils étaient les égaux de l’homme blanc», estime Renan Larue, professeur de littérature à l’université de Californie à Santa Barbara, lui-même vegan et auteur du livre le Végétarisme et ses ennemis (PUF, 2015).
«Même au sein du mouvement, cette idée de convergence des luttes ne fait pas consensus, reconnaît Laot. Mais elle permet de réfléchir aux liens entre les espèces.» De remettre en cause les catégories classiques, et la première d’entre elles : l’opposition entre l’homme et l’animal. La question est au cœur de l’antispécisme, concept clé du mouvement vegan. Une salutaire remise en cause de l’anthropocentrisme mais qui, dans sa version radicale (et ultraminoritaire), amène à nier toute distinction entre homme et animal. Une vision à laquelle s’oppose la philosophe Elisabeth de Fontenay, qui, depuis longtemps, récuse l’anthropocentrisme et l’arrogance humaine. Mais sans renoncer à l’existence d’une singularité humaine, celle, notamment, de produire du droit et de l’histoire. «Il ne s’agit pas de donner les mêmes droits à tout le monde, tempère Larue. On ne va pas donner le droit d’avorter aux hommes qui n’en auraient pas l’utilité, ni le droit de vote aux cochons qui n’en feraient rien. En revanche, l’antispécisme pose une question essentielle : les différences entre un être humain et un animal justifient-elles un tel écart de traitement ?»
Les comparaisons coups-de-poing de certains végétariens font régulièrement polémique. Comme le parallèle parfois dressé entre le «système concentrationnaire» de l’élevage intensif et les camps de concentration. «Le végétarien éthique est un intégriste moral prêt à tout», écrit Dominique Lestel dans son livre Apologie du carnivore (Fayard, 2011). L’éthologue pointe le paradoxe de l’antispécisme : refuser de manger de la viande, c’est rejeter l’animalité de l’homme. En donnant à celui-ci un devoir moral que les autres animaux n’ont pas, les végétariens mettent à nouveau l’humain au-dessus de toutes les autres espèces.
Malgré tout, «ce que nous faisons des animaux en dit long sur nous», estime la philosophe Pelluchon : «L’élevage industriel n’est pas seulement atroce pour les animaux. Il est également atroce de savoir que des humains peuvent castrer à vif des porcelets ou broyer des poussins mâles.»
Ce questionnement ne date pas des années 70. Depuis l’Antiquité, le végétarisme a été une «tendance minoritaire mais persistante», assure Larue, qui a écrit une histoire engagée de la pensée vegan (parue cette année). Pythagore, figure du végétarisme, s’opposait aux stoïciens sur le sujet. «A l’époque déjà, deux visions du monde s’opposaient. Car si les stoïciens étaient antivégétariens, ce n’est pas par amour de la viande : eux-mêmes avaient une alimentation très frugale. Mais ils refusaient la vision pythagoricienne qui affirme que l’univers n’a pas été créé pour la seule fin de l’homme. C’est le même débat qui, de nos jours, oppose le vegan à son oncle, le soir de Noël.»
Impact de l’élevage sur le réchauffement climatique, volonté de manger plus sainement, les conditions sont elles, cette fois, réunies pour un essor historique du végétarisme ? «La crise environnementale nous oblige à penser le monde que nous partageons avec les autres espèces. La prise en considération du sort des animaux est aussi liée à la conscience des dégâts du capitalisme, qui demande à baisser sans cesse les coûts de revient, transforme les non-humains en marchandises et dégrade les humains», poursuit Pelluchon, qui enseigne la philosophie de l’animalité depuis 2008. Il y a bien des raisons d’être végétariens, et l’éthique n’est peut-être pas la première. Mais à défaut de carne, les végétariens ne manquent pas de nourritures spirituelles.
(1) LibeRation de philo.
(2) Respectivement auteurs de Plaidoyer pour les animaux (Allary éditions, 2014), l’Animal est une personne (Fayard, 2014), No Steak (Fayard, 2014) et Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard, 2011).
Source : Libération
Par : Sonya Faure
Une «Veggie Pride» en 2013 à Genève. Photo Alain Grosclaude. AFP
Lydie*
Vous souhaitez acheter des produits cosmétiques et ménagers non testés sur les animaux mais vous vous y perdez parmi tous les labels existants. Pour clarifier la situation, nous avons creusé le sujet, analysé et sollicité chaque label depuis plus d’un an afin de vous proposer une liste véritablement FIABLE.
Cet article vous explique notre démarche complète sous forme de questions-réponses.
Depuis le 11 mars 2013, l’Europe a interdit les tests sur les animaux pour les produits cosmétiques (autant pour le produit fini que pour les ingrédients) mais également la vente et l’importation, dans l’Union européenne (EU), de produits cosmétiques testés sur animaux. Si nous nous arrêtions là, tout serait simple. Sauf que les entreprises peuvent biaiser cette législation en faisant tester certains ingrédients sur les animaux dans le cadre du programme d’évaluation des produits chimiques pour l’industrie (programme appelé REACH). Cliquez ici si vous souhaitez creuser le sujet.
Il est vrai que la Chine a engagé tout récemment une démarche positive pour diminuer les tests sur les animaux. Malheureusement, les produits cosmétiques importés de l’étranger ne sont pas concernés et sont, à l’heure actuelle, toujours testés. Cela signifie que toute marque proposant des produits en Chine accepte sciemment que ses produits soient testés par des laboratoires chinois. Cliquez ici si vous souhaitez creuser le sujet.
Les labels fiables sont ceux qui d’une part interdisent tout test sur les animaux, et d’autre part interdisent la vente en Chine, seul pays à imposer des tests sur les cosmétiques importés.
Pour discerner le vrai du faux, nous nous sommes rapprochés de chaque label afin de connaître les exigences de leur cahier des charges. Certains labels connus et de prime abord fiables ont malheureusement omis cet aspect important concernant la Chine. Aussi, il nous a paru impossible de les intégrer à notre liste et les avons bien entendu informés de cette incohérence.
C’est ainsi que nous avons retenu uniquement les labels suivants :
Par conséquent, aussi étonnant que cela puisse paraître, tous les labels qui suivent ne sont pas retenus car les marques qu’ils labellisent peuvent être vendues en Chine :
Enfin, nous précisons, par souci de transparence totale, que nous refusons d’inscrire sur notre liste des marques qui affirment être éthiques sans adhérer à un label que nous avons retenu.
Vous avez des questions ou des suggestions ?
Ecrivez à cosmetique [at] animalter.com
Deux pointures immenses et différentes qui oeuvrent pour la protection de la nature
http://radioeveil.com/pierre-rabhi-paul-watson-le-pirate-et-le-paysan/
AHIMSA, DROITS DES ANIMAUX, LIBÉRATION ANIMALE, NON-VIOLENCE, VÉGÉTALISME,VÉGÉTARISME
Gary L. Francione, avocat et professeur, a déclaré que la base de ses idées à propos des droits des animaux venait de l’ahimsa, ajoutant qu’il était très intéressé par le jaïnisme.
Arne Naess, reconnu pour son écologie profonde, a exprimé lui aussi sa sympathie pour la jaïnisme. Dans son écosophie, Naess s’identifie avec toutes les formes de vie alors que pour Francione il existe une égalité de droits pour tous les êtres vivants.
Pas de hiérarchie, tous ont une valeur intrinsèque, indépendamment des fins et des perceptions humaines.
Le jaïnisme dit en substance la même chose. Guère étonnant que beaucoup de militants pour les droits des animaux se sentent proches de cette tradition spirituelle, étant eux-mêmes sans le savoir des sortes de jaïns.
L’étude du jaïnisme peut apporter un équilibre bien nécessaire dans une démarche militante « qui ne peut se nourrir exclusivement de l’énergie de la révolte », comme le souligne Daniel Caradec, un végétalien militant pour les animaux.
Le jaïnisme est pratiqué de nos jours par près de 10 millions d’adeptes en Inde mais aussi en Amérique du Nord et en Europe. Certains de ses concepts ont des correspondances dans l’hindouisme et le bouddhisme, chez plusieurs philosophes de la Grèce antique ainsi que dans des sectes gnostiques comme les Cathares ou les Manichéens.
Comme si toutes les traditions spirituelles avaient un fond commun de vérité, des principes qui se rejoignent sur l’essentiel.
Le premier et l’ultime de ces principes est l’ahimsa ou non-violence en sanskrit. A la fois radical et idéaliste, ce voeu pour le respect des êtres vivants doit s’incarner dans tous nos actes.
Plus facile à dire qu’à faire dans notre univers de cruautés, d’holocaustes et de matérialisme. L’ahimsa n’a jamais été une voie facile. Loin derrière nous dans le temps, les jains se sont posés les mêmes questions éthiques en tant que végétariens et défenseurs des animaux, dans un environnement souvent hostile.
La souffrance de ce monde est immense et de cette souffrance vient une grande compassion. Les humains comme les animaux marchent dans le même labyrinthe, tournent sur la même roue, emprisonnés dans la matière.
Pour le philosophe végétarien Plotinus qui vécut de 204 à 270 : «Tous les êtres sont des centres unis sur un même point central ».
Dans cette vision d’unité toutes les vies se doivent respect et une mutuelle assistance, liées entre elles par le fil du vivant, comme les équivalents de notre propre soi.
Nous devrions nous sentir concernés non seulement pour les membres de notre famille proche ou ceux de notre propre espèce, mais pour l’écosphère en entier.
Faire du mal aux animaux, ou à la planète selon l’écologiste Naess, revient en quelque sorte à se couper un doigt.
Quand Francione dit que la « révolution qu’il souhaite est celle du coeur», il exprime le même concept véhiculé par toutes les traditions spirituelles pour qui « la voie c’est le coeur.»
La suite ici :
http://liberationanimale.com/…/liberation-animale-et-jaini…/