Monsieur le Président
Il a 3.200 ans, il mesure 74 mètres de haut et possède 2 milliards de feuilles
C’est un séquoia géant appelé « le Président , habitant en Californie et….. il continue à pousser
Il a 3.200 ans, il mesure 74 mètres de haut et possède 2 milliards de feuilles
C’est un séquoia géant appelé « le Président , habitant en Californie et….. il continue à pousser
Trouvé sur facebook :Le Jardin d’Athéna
Tous les jours, ce pauvre homme mendiait, toujours au même endroit… Et malgré tout, il gardait le sourire et restait poli y compris devant les gens moins généreux.
Cet homme avait un chien. Un chien aussi gentil que lui qui n’aboyait que rarement et ne montrait jamais les dents. J’entendais les médisants dire que cet homme était fou d’avoir un chien auprès de lui alors qu’il parvenait à peine à se nourrir lui-même.
Un jour, je marchais dans la rue où ce SDF et son chien se trouvaient comme à leur habitude, je les trouvais là en train de se réchauffer l’un contre l’autre. Il faisait un temps glacial et les voir ainsi m’a donné l’effet d’un coup de poignard.
Loin d’être riche, j’ai tout de même décidé de faire quelque chose…
Le lendemain, j’ai dit à mon patron que je prenais ma demi-journée. Muni d’une couverture et d’une grande boîte remplie de nourriture pour l’homme et son chien, j’ai décidé d’acheter deux cafés et je me suis approché de l’homme :
« peut-on parler quelques instants ? », lui ai-je demandé.
C’est avec plaisir qu’il acquiesça même s’il restait suspicieux : « pourquoi me parlez-vous ? »
Donc je lui ai dit : « tous les jours, je vais au travail. Chaque jour, je vois des gens qui ont l’air si tristes. Tous, sauf vous. Vous avez toujours l’air souriant. Vous avez toujours l’air heureux malgré vos conditions de vie et chaque jour, vous me réchauffez le coeur. Je me dis que même si je passe une mauvaise journée, ou que je ne suis pas aussi heureux que je voudrais l’être, il y a cet homme qui vit dans la rue et qui a l’air beaucoup plus épanoui que moi même s’il n’a rien. »
A ce moment-là, il m’arrêta et me dit : « J’ai quelque chose, quelque chose qui n’a pas de prix : ce petit gars dans mes bras (le chien). »
Je lui ai demandé où est-ce qu’il l’avait trouvé. Il m’a donc répondu : « un jour, je me demandais à quoi bon être en vie si c’est juste pour mendier et survivre. J’avais personne à qui penser et personne ne m’aurait regretté si j’étais mort.
C’était il y a deux ans, j’étais sur ce pont, prêt à me suicider… Et là, ce petit gars est arrivé, m’a aboyé dessus et a mordu mes vêtements m’empêchant ainsi de sauter dans le vide. Alors je lui ai donné le dernier cookie que j’avais dans la poche. Il était tellement heureux que j’en ai pleuré et j’ai décidé de ne plus sauter. Depuis ce moment, il est tout ce que j’ai et est comme mon enfant. Parfois, il va se promener et revient avec quelque chose à manger pour nous deux : un bout de gâteau, une moitié de sandwich… Il veut toujours dormir avec moi. »
Je lui ai demandé s’il avait déjà trouvé une place dans un centre d’accueil ou une maison pour vivre, ce à quoi il m’a répondu une chose qui m’a bouleversé : « Il y a huit mois, j’aurais pu avoir une place où dormir, quelque chose à manger et un endroit chaud pour me reposer. Le problème : les chiens n’étaient pas acceptés. J’ai donc refusé. Ce petit gars est tout ce qui me reste. Je préfère mourir plutôt que de l’abandonner. Quand je me suis rendu compte que je n’avais plus rien, il m’a appris l’amour, m’a donné une raison de vivre et je le remercierai jamais assez pour ça.
Quand les passants me donnent de l’argent, j’achète toujours de la nourriture pour lui. Je ne m’achète à manger que lorsque je suis sûr qu’il ne manque de rien. Parfois, j’entends les gens qui disent que je suis bête d’avoir un chien, à ces gens-là, je réponds : peut-être que ce n’est qu’un animal mais il m’a donné beaucoup plus d’amour que tous les êtres humains que j’ai rencontrés et il ne me fera jamais de mal. »
Quand il a dit ça, je lui ai donné la couverture et la fameuse boîte de nourriture. Il m’a remercié comme personne ne l’a jamais fait. Tout simplement parce que grâce à moi, Bobby (le chien) allait bien manger et n’aurait plus jamais froid
A ce moment, je ne sais toujours pas pourquoi, je lui ai donné un morceau de papier avec mon adresse dessus, je l’ai attaché au collier du chien en disant « tu n’as plus à te faire de soucis, s’il devait t’arriver malheur, je prendrais soin de Bobby et il ne sera plus jamais seul. »
Il a pleuré.
Ce jour-là, j’ai vu l’homme le plus heureux au monde. Et je vous souhaite la même aventure.
Ile légendaire engloutie sous les eaux, l’Atlantide fait partie des grands mystères de l’Histoire. Vraie cité disparue ou fiction de Platon ? Si elle existe, où se cache-t-elle ? En Afrique, dans les Andes ou au milieu de l’Océan Indien?
L’Atlantide fait l’objet, depuis l’Antiquité, des spéculations les plus diverses.
Pour en savoir plus : suivre le lien ci-dessous :
http://www.linternaute.com/histoire/magazine/dossier/07/ile-atlantide/1-presentation.shtml
Aussi bizarre que cela puisse paraître, le cimetière du « Père La Chaise » reçoit près de 2.000.000 de visiteurs chaque année.
Créé en 1804, il s’est enrichi au fil des ans de l’art funéraire du plus surprenant.
Tel qu’il est agencé, il permet de très belles balades à travers les allées et les découvertes d’épitaphes souvent surprenantes vous laisseront sans voix.
Le lien ci-après est la clé pour y entrer. Bonne visite :
Pour les photographes qui aiment photographier la nature et l’environnement, le concours du Wildlife Photographer of The Year est un événement des plus importants.
Cette 50ème édition s’est tenue à Londres, au Musée d’Histoire Naturelle, en présence notamment de la Duchesse de Cambridge, Miss Kate Middleton…
Les couleurs ont un effet magique sur les immeubles d’un peu partout dans le monde.
Bleu, rouge, vert, jaune, lorsque de vieux bâtiments sont parés de leurs plus beaux atours, ils offrent aux yeux des passants, un émerveillement continu.
Tous les jours on passe surement à côté de choses extraordinaires dont on ne soupçonne pas l’existence… C’est ce que nous rappelle cette histoire d’un appartement abandonné par sa propriétaire pendant 70 ans.
Lors de la Seconde Guerre Mondiale une jeune femme, Mlle de Florian, quitte précipitamment son appartement Parisien pour fuir l’arrivée des Allemands.
Elle part s’installer dans le Sud de la France et ne reviendra jamais.
C’est seulement après son décès en 2010 à l’âge de 91 ans, que les huissiers de justice chargés de faire l’inventaire de ses biens découvrent cet appartement de 140m² situé dans le quartier de Pigalle.
Dans une forte odeur de poussière, ils vont pénétrer dans un lieu où le temps s’est arrêté.
D’anciens plafonds à caisson, une cuisine encore équipée d’une immense cuisinière à bois surmontée de sa hotte et d’un évier en pierre, tout est encore d’époque.
Mais surtout, les visiteurs de cette capsule temporelle géante vont découvrir un véritable trésor… Une toile du peintre italien Giovanni Boldini, très en vogue au début 20ème siècle (cette toile a été vendue par la suite au prix record de 2,1 millions d’euros).
Le tableau, accroché, dans le salon, représentait une très belle femme dans une robe de soirée rose, au large décolleté.
Les experts découvriront par la suite qu’il s’agissait d’un portrait de Marthe de Florian, grand-mère de la dernière occupante de l’appartement et certainement maîtresse du peintre.
En fouillant dans les documents retrouvés dans l’appartement, les experts ont établi que Marthe de Florian était ce qu’on appelait « une demi-mondaine » ou une cocotte.
Actrice de théâtre, elle était d’une beauté exceptionnelle. Elle avait d’ailleurs de nombreux admirateurs et possédait plusieurs cartes de visite de certains hommes politiques de l’époque, comme Clemenceau, Waldeck-Rousseau, Doumergue ou Deschanel.
« Elle classait les lettres d’amour de ses amants, par expéditeur, en petits paquets retenus par des rubans de couleur différente »
Comment un tel trésor a-t-il pu rester intacte toutes ces années ?
Personne ne s’était jamais posé de questions, car pendant toutes ces années, la propriétaire a toujours continué de payer les charges de l’appartement.
On ne saura donc jamais pourquoi elle n’est pas revenue…
Extraordinaire de pouvoir découvrir un tel trésor en plein Paris, dans un quartier pourtant si animé ? Cela laisse rêveur…
En cliquant sur le lien ci-dessous vous découvrirez d’ autres secrets :
http://positivr.fr/il-etait-fois-tresor-cache-au-coeur-paris-temps-sest-arrete-pres-70-ans/
Voici Utari, une femme indonésienne qui vit dans un petit village reculé et se comporte étrangement.
Chaque jour, elle passe du temps à parler à un arbre, à danser avec lui, à lui fabriquer des cadeaux.
Sous le regard réprobateur de son mari et des voisins, elle passe de plus en plus de temps avec cet arbre. Comme si elle était perdue dans un monde qu’elle seule peut voir et… son étrange comportement inquiéte…
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous connaitrez la suite de cette étrange histoire qui devrait vous faire réfléchir sur la chance que nous avons de vivre dans un pays qui nous donne tout, même si certains pensent que ce n’est pas encore assez.
Cela ressemble à un vieil arbre mais approchez vous un peu et vous verrez que……Celui-ci est recouvert de pièces de monnaie.
On l’ appelle « l’arbre à vœux » et il se trouve au Royaume uni. La coutume veut que lorsqu’on rencontre ce genre d’arbre, on s’arrête quelques instants, on introduit une pièce de monnaie dans une des fentes et on fait un vœu.
Cette tradition remonte au XVIIIè siècle et vient d’ Ecosse
Ce sont des oiseaux minuscules au vol plus que rapide et aussi capables de faire marche-arrière.
Pas toujours très sociables entre eux, leur principale alimentation est le nectar des fleurs et certains d’entre eux y ajoutent de petits insectes et le jus s’écoulant des fruits trop murs.
Ils sont assez piètres amoureux essayant de conquérir leur belle à coup de chansons mais leur voix est si faible qu’ils s’y mettent à plusieurs pour se faire entendre. Après l’accouplement, c’est le divorce immédiat et la femelle cherchera elle-même sa résidence et élèvera seule ses petits. Les nids seront un modèle d’ingéniosité dans leur genre et madame Colibri n’hésitera pas, si le besoin s’en fait sentir, d’aller « emprunter » de la mousse dans le nid de sa voisine.
Même s’ils ont très peu de prédateurs car ils se défendent à coup de bec qui font très mal, il arrive qu’ils soient la proie de certains faucons ou de serpents lorsqu’ils somnolent . Plus étonnant encore, certains se prennent les pattes dans des toiles d’araignées ou encore sont capturés par des mantes religieuses, des libellules, des grenouilles ou des poissons lors de leurs ablutions.
Pour plus de détails croustillants et pour admirer la beauté de l’oiseau les liens sont ici :
http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/colibri/184040