Archive pour mai, 2016

chaque jour une citation trouvée dans le « Talmud »

 

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Pendant des siècles, les  leader rabbiniques avaient résisté à  écrire le Talmud  car cela permettait de maintenir des relations étroites entre les enseignants et les élèves mais cette perte énorme de tant d’enseignants fit craindre que la loi orale ne soit  oubliée si elle n’était pas écrite.

https://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Judaism/talmud_&_mishna.html

Ne juge pas ton prochain avant de te trouver à sa place.

Publié dans:mystique sagesse |on 23 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Conte : Les trois portes

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Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent.

Pour parfaire son apprentissage de la vie, il l’envoya auprès d’un vieux sage.

« Éclaire-moi sur le sentier de la vie », demanda le Prince.

« Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable »

répondit le Sage.

Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras trois portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire plus.

Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair.

Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. »

Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le chemin de la vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :

« CHANGE LE MONDE. »

« C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas. »

Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du coeur.

Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent.

Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande:

« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas ».

« C’est bien, dit le vieil homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. » Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire :

« CHANGE LES AUTRES ».

« C’était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration. »

Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts.

Ce fut là son deuxième combat.

Bien des années passèrent. Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le vieux sage qui lui demanda:

« Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que le révélateur ou l’occasion. C’est en moi que prennent racine toutes ces choses. »

« Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu’ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la vie t’enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. » Et le vieil homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots :

« CHANGE-TOI TOI-MEME ».

« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, » se dit-il.

Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.

Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :

Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser. »

« C’est bien, » dit le Sage.

« Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais? Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. »

« C’est justement ton prochain apprentissage, dit le vieux Sage.

Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. » Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait :

« ACCEPTE-TOI TOI-MÊME. »

Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu’il avait franchi la porte la première fois, dans l’autre sens. « Quand on combat on devient aveugle, se dit-il. »

Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons.

Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

« J’ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c’est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. » « C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte. »

À peine arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :

« ACCEPTE LES AUTRES ».

Tout autour de lui il reconnut les personnes qu’il avait côtoyées dans sa vie; celles qu’il avait aimées comme celles qu’il avait détestées. Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait combattues.

Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. « Qu’as-tu appris sur le chemin ? » demanda ce dernier.

J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux. J’ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. »

« C’est bien, » dit le vieux Sage. C’est la seconde Sagesse.

Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut :

« ACCEPTE LE MONDE ».

Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer.

I

l fut frappé par l’éclat et la beauté de toutes choses, par leur perfection. C’était pourtant le même monde qu’autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : »Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

 » J’ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là, il existe, c’est tout.

Ce n’était pas le monde qui me troublait, mais l’idée que je m’en faisais.

J’ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. »

« C’est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme.

Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. »

Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince.

Le Silence l’habita.

« Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil,

dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la plénitude du silence ».

Et le vieil homme disparut.

Auteur Charles BRULHART

Publié dans:mystique sagesse |on 23 mai, 2016 |Pas de commentaires »

chaque jour une citation trouvée dans le « Talmud »

 

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Notre Torah est formelle. Seul, le sang, peut expier et racheter nos prières.

Maintenant le Talmud remplace les sacrifices par des prières, des bonnes actions, la charité.

 

 

………………Enfin, une loi orale a été nécessaire pour atténuer certaines lois de la Torah catégorielles qui aurait pu causer de graves problèmes si elle est effectuée littéralement

https://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Judaism/talmud_&_mishna.html

 

Les faux témoins sont méprisés même de ceux qui les subornent.

Publié dans:mystique sagesse |on 21 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Aujourd’hui : « Papi cachottier »

 

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1973, Chicago. Henry Darger, un vieux monsieur de 81 ans, est emmené en maison de retraite. Il doit abandonner l’appartement dans lequel il a passé sa vie.

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Le propriétaire, Nathan Lerner, vient trier les affaires du vieillard. Il fait alors une découverte de taille…

Le logis de Darger est un véritable taudis où s’agglutinent des milliers de dessins. Certains font plusieurs mètres de long ! Le propriétaire, ébahi, trouve aussi un roman fleuve de près de 15 000 pages.

Artiste lui-même, Lerner comprend bien vite l’importance de toute cette production.

Pendant des décennies et dans le plus profond secret, Henry Darger a passé ses soirées à créer.

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Mêlant réalité historique et imagination fantaisiste, ses dessins et ses textes relatent l’épopée de petites filles, les « Vivian Girls ».

Elles sont confrontées à une guerre interminable contre un peuple imaginaire, cruels oppresseurs d’enfants, et ont pour but de faire régner la justice.

Comment Darger a-t-il pu réaliser toutes ces œuvres alors qu’il ne savait même pas dessiner

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Homme de ménage le jour et artiste la nuit, Darger a trouvé une astuce. Il récupère de vieux livres d’enfants, où il découpe et détoure les visages. Puis il les reporte sur ses œuvres, en accumulant les personnages et les coloriant de couleurs pastel.

Et pour les fleurs ? Elles sont décalquées dans des catalogues de plantes !

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Malgré leur air enfantin, les œuvres du vieux Darger dégagent une violence troublante…
Pour certains spécialistes, ces histoires torturées seraient une manière de guérir un traumatisme d’enfance.

Inconnu de son vivant, Darger est aujourd’hui exposé dans les plus grands musées du monde !

Publié dans:talent |on 21 mai, 2016 |Pas de commentaires »

chaque jour une citation trouvée dans le « Talmud »

 

 

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Dans la Mishna, la loi juive est systématiquement codifiée, contrairement à la Torah car les références concernant un même sujet se trouvent dispersées  dans différents livres de la Bible. https://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Judaism/talmud_&_mishna.html

Ainsi, le « MISHNAH » est la transcription d’explications des écritures qui étaient jusqu’alors mémorisées, alors que le « GEMARA » (onze fois plus grand) est la librairie des commentaires commentés sur ces explications ! ! !

« Le monde se maintient par trois choses : par la vérité, par la justice et par la concorde… Toutes les trois ne sont qu’une seule et même chose ».

Publié dans:mystique sagesse |on 20 mai, 2016 |Pas de commentaires »

A méditer

 

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Voici une petite histoire qui m’a été adressée par « les histoires du club positif » …

je l’ai trouvée excellente et tellement parlante …

Il y avait, dans un village, un homme très pauvre qui avait un

très beau cheval. Le cheval était si beau que les seigneurs du château

voulaient le lui acheter, mais il refusait toujours.

« Pour moi ce cheval n’est pas un animal, c’est un ami. Comment

voulez-vous vendre un ami ? » demandait-il.

Un matin, il se rend à l’étable et le cheval n’est plus là.

Tous les villageois lui disent : « On te l’avait bien dit ! Tu

aurais mieux de le vendre. Maintenant, on te l’a volé… quel

malchance ! »

Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

Tout le monde se moque de lui. Mais 15 jours plus tard, le cheval

revient, avec toute une horde de chevaux sauvages. Il s’était échappé,

avait séduit une belle jument et rentrait avec le reste de la horde.

« Quelle chance ! » disent les villageois.

Le vieil homme et son fils se mettent au dressage des chevaux

sauvages. Mais une semaine plus tard, son fils se casse une jambe à

l’entraînement.

« Quelle malchance ! » disent ses amis. « Comment vas-tu faire, toi

qui est déjà si pauvre, si ton fils, ton seul support, ne peut

plus t’aider ! »

Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

Quelques temps plus tard, l’armée du seigneur du pays arrive

dans le village, et enrôle de force tous les jeunes gens disponibles.

Tous… sauf le fils du vieil homme, qui a sa jambe cassée.

« Quelle chance tu as, tous nos enfants sont partis à la guerre, et toi

tu es le seul à garder avec toi ton fils. Les nôtres vont peut-être se

faire tuer… »

Le vieil homme répond « Chance, malchance, qui peut le dire ? »

http://recueil-esoterique.webcart.fr/

Publié dans:mythes et légendes |on 18 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Comprendre la Torah

 

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En l’an 219, le Rabbin Jehudah HaNaci décide d’écrire et d’éditer les commentaires faits lors de discussions.

Les premiers livres (MISHNAH) furent fournis aux écoles juives, ce qui incita un grand nombre de rabbins à examiner le MISHNAH dans tous ses détails.

 

L’audace est une royauté sans couronne.

Publié dans:mystique sagesse |on 18 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Un peu d’histoire – Qui était Calvin ?

 

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21 mai 1536

Genève passe à la Réforme avec Calvin

Le 21 mai 1536, à Genève, le Conseil des Deux Cents se prononce en faveur de laRéformation religieuse à l’instigation de Calvin (ou Jean Cauvin). La petite république urbaine va dès lors devenir le siège européen du calvinisme, la forme la plus rigoureuse du protestantisme.

Calvin va développer une activité insatiable de sorte qu’à sa mort, le 27 mai 1564, à 54 ans seulement, on comptera déjà dans le monde davantage de calvinistes que de luthériens.

La suite ici  https://www.herodote.net/21_mai_1536-evenement-15360521.php

 

 

comprendre la torah

 

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Il est intéressant de comprendre l’origine du Talmud.

Commençant avec ESDRAS, les rabbins expliquent les écritures. Chaque mot est retenu dans la mémoire et devient la base du Talmud ; la première partie : le MISHNAH.

 

« Dieu n’a dispersé les Israélites que pour répandre leur croyance au milieu des nations ».

Publié dans:mystique sagesse |on 17 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Chaque jour, une citation trouvée dans le talmud

 

 

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Pour le juif orthodoxe, la lecture du Talmud est sacrée et est toujours précédée d’une cérémonie religieuse spéciale. Ses épaules seront recouvertes d’un drap appelé TALITH. Le Talith sera de soie ou de laine, mais jamais un mélange de matériel.

 

« Descends d’un degré pour choisir une femme; monte d’un degré pour choisir un ami »

 

 

Publié dans:mystique sagesse |on 16 mai, 2016 |Pas de commentaires »
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