Archive pour février, 2016

Hommage à la France qu’on défigure

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En hommage à la France qu’on salit, qu’on défigure, qu’on transforme, l’histoire est là pour nous rappeler la vérité :

http://www.linternaute.com/actualite/magazine/1128567-la-france-d-autrefois-en-images/?een=5597096a05af1f8aee854432dd0c5ded&utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml287_insultesdonaldt 

Le chien : commissionnaire astucieux sous la Révolution

 

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(D’après « Les animaux célèbres », paru en 1837)

 Du chien nommé Laqueue se faufilant en toute impunité parmi la foule de citoyens affamés patientant parfois des heures durant pour obtenir viande et pain en cette période de disette, à celui qui allait et venait dans l’indifférence des geôliers au sein d’une prison d’État pour délivrer quelque message à son maître incarcéré, arrêtons-nous le temps de quelques lignes sur ces habilescommissionnaires à quatre pattes se jouant des sombres conditions de vierévolutionnaires

Sous l’empire de la Convention (1792-1795), à l’époque de la plus grande disette publique, les particuliers ne pouvaient obtenir un peu de subsistance qu’en se rendant de très grand matin à la porte des boulangers et des bouchers chargés de la distribution ; là, quelque temps qu’il fît il fallait attendre au milieu de la rue son tour pour recevoir sa portion exiguë, et tel qui faisait queue depuis trois heures du matin, n’était pas sûr d’être servi à onze heures, et souvent des malheureux s’en retournaient les mains vides, les membres brisés par la foule, tout morfondus de la neige ou de la pluie et l’estomac creux.

Parmi ces gens assaillis de mille besoins, qui attendaient, se poussant, s’écartant, s’écrasant l’un sur l’autre sans la moindre pitié, se trouvait un misérable rentier, vieux, faible et malade. Les plus forts l’écartaient toujours, et il serait mort d’inanition si son chien n’eut été sa providence. Il lui attachait au cou un petit sac noir, y mettait dedans la carte à la viande et la carte au pain, puis le laissait aller, se reposant sur lui du soin de lui rapporter ses provisions.

 La suite ici :   http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article13179

Les mots d’enfants, c’est TROP BON.

 

Shhh I have a secret

 

C’est comme une bouffée d’air frais, une gorgée de jus d’orange, une musique qui vous donne envie de danser, quelques gouttes de pluie en été. C’est agréable, c’est surprenant, c’est rafraîchissant !!!

On les écouterait en boucle pour remplir sa jauge de bonne humeur.

En voici donc quelques uns des meilleurs… Régalez-vous !

Paul adore son camion de pompier qui clignote en faisant pinponpinpon. La dernière fois, en ville, nous avons croisé un camion de pompier sans bruit ni lumière. Paul nous a dit en le regardant : « Ah… y’a plus de pile !!! »
Paul, 6 ans

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« Hé ben moi plus tard je serais « collègue de travail » !
Francesca, 5 ans

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Théo fait la queue dans un célèbre parc d’attraction. Aprés plus de 30 mn d’attente, c’est bientôt son tour. Malheureusement, Théo a très envie de faire pipi, alors sa maman lui dit : « Oh non, tiens le coup Théo ! ». Alors, Théo se tient le cou à deux mains et dit : « Ça marche pas maman, j’ai toujours envie ! »
Théo, 3 ans

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La maman d’Alban lui donne une pomme qu’elle vient d’éplucher. Le petit bout lui dit : « Ho! Une pomme toute nue ! »
Alban, 4 ans

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« On est des mammifères… Toi mamie, t’es une mammifère et toi grand-père, t’es un papifère ! »
Chloé, 4 ans

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« Vous êtes une bande d’en culotte !!! »
Charly,  5 ans, très en colère après ses copains…

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Réaction de Séléna face à un plat un peu trop épicé : « Papa, t’as dû mettre trop de piment des squelettes ! »
Séléna, 7 ans

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Mamie a amené Louis faire un tour de manège. Voyant qu’il n’essaye pas d’attraper le pompon bien qu’il lui passe juste à coté plusieurs fois, elle lui rappelle que le ponpom donne un tour de plus. Réponse d’Axel : « Mais mamie, je peux pas, je conduis Moi !!! »
Louis, 2 ans et demi

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Nous sommes en voiture et la nuit tombe. Lisette, à l’arrière dit « Papa, il fait tout noir, il faut allumer les nénuphars ! »
Lisette, 3 ans

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Un jour, Axel a eu un gaz assez bruyant et relativement long. Etonné par le bruit, il s’est caché les fesses avec les mains et s’est écrié : « Maman, j’ai une moto dans les fesses ! »
Axel, 2 ans et demi

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Un matin, alors qu’elle a mal dormi, Léa dit : »J’arrivais pas à m’endormir, j’ai entendu le cochon dans ma chambre… »(Un cochon? Non, c’est juste maman et papa qui ronflent dans la chambre d’à côté…)
Léa, 2 ans

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L’autre jour, on a demandé à Fanny si elle voulait aller à la patinoire. Elle nous répond : « J’aime pas le noir, je préfère aller à la patirose. »
Fanny, 4 ans

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Lucie est aux toilettes et je lui demande si elle a bientot terminé. Elle me répond : « Attend maman je tire la « flaque d’eau » ! »
Lucie, 3 ans

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Lorsque je dis à Idriss qu’il est un petit voyou après qu’il ait fait une bétise, il me répond : « Et ben toi, t’es une voyelle !!! »
Idriss, 3 ans

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L’oncle de Thibault vient de décéder. Voulant l’avertir, nous lui annonçons donc que son oncle est au ciel maintenant.
Réponse de Thibault : « Comment il a fait pour aller au ciel? Il est monté sur un arc-en-ciel ? »
Thibault, 5 ans

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Maëlise se prépare pour aller chez le coiffeur. Avant de partir de la maison, elle dit : « Je te préviens, moi je ne veux pas de carré, je préfère un cœur ou un triangle. Je n’aime pas les carrés ! »
Maëlise, 6 ans

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Nous avons un petit chat que nous avons appelé Caillou. Gabriel nous demande : « Quand Caillou sera grand, est-ce qu’il va s’appeler Pierre ? »
Gabriel, 4 ans

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Le matin, nous prenons le petit déjeuner tous ensemble. Andréa dit : « Regarde Papa, il y a des fantômes qui s’envolent de ton café ! »
Andréa, 5 ans et demi

http://cybermag.cybercartes.com/top-10-des-mots-denfant/

 

Publié dans:émotion, humour |on 22 février, 2016 |Pas de commentaires »

Les petits métiers disparus

 

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A cette époque c’est plus de 50.000 parapluies qui sont mis à la disposition des passants. Pris à un endroit de la capitale,ils sont déposés après usage dans un autre  endroit ou encore près du domicile de l’utilisateur.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article11287

L’histoire de Moïse ou sa raison d’être.

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Paroles et musique,une pure merveille

 

 

https://www.facebook.com/lynda.bismuth/videos/10205885627036591/

Publié dans:mystique sagesse |on 21 février, 2016 |Pas de commentaires »

Qu’aurions-nous fait à leur place ?

 

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bonjour, à chaque fois que je lis un article sur les camps de concentration, je suis envahie de nausées et de visions d’horreur. Quand l’histoire nous est servie avec tous les paramètres, les tenants et les aboutissants, il nous est facile de décider, qui était un héros et qui ne l’était pas mais pourtant, il me semble que la seule question que nous devons nous poser est : qu’aurions-nous fait à leur place ? et là tous ceux qui ne s’y sont pas trouvés, ne peuvent pas répondre.

http://www.slate.fr/story/113847/rouleaux-auschwitz

Les héros oubliés

 

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Vous êtes blessé ?

– C’est vous, mon lieutenant.

8 avril 1916, au lieu-dit du Mort-Homme, qui n’a jamais aussi bien porté son nom. Louis Mabille de Poncheville revient à peine du gourbi de son lieutenant quand un obus allemand éclate à quelques mètres. Comme dans du Rimbaud, il a deux trous rouges au côté droit – pas au flanc, mais à la jambe.

Deux petits trous d’un centimètre carré, près du genou.

Trois semaines plus tôt, dans son journal de guerre, ce jeune sous-lieutenant, qui a survécu à la bataille de Champagne et s’est retrouvé à Verdun pour contenir l’offensive allemande, écrivait : « Je me sentais lassé du front et j’avoue à ma honte que je désirais presque la bonne petite blessure qui m’eût enlevé quelques mois aux ennuis, aux fatigues et ma foi, aux risques des tranchées. Ce n’est pas très beau mais c’est humain. »

Il est servi : il n’a plus de rotule.

Louis a survécu à sa blessure. Il s’est marié et a vécu jusqu’en 1973. Il a boité jusqu’à sa mort. Il y a quelques mois, son petit-fils, Patrick Descamps, a retrouvé dans un carton sept carnets écrits de la main de son grand-père. Ils racontent la vie de Louis, de l’été 1914 à ce soir d’avril 1916 où un obus manqua l’emporter. Les vingt mois d’un soldat au cœur d’une tuerie jusque-là sans pareille. Les vingt mois d’un jeune homme jeté dans une guerre commencée avec des chevaux et terminée avec des tanks.

Voici son histoire.

http://www.francetvinfo.fr/societe/guerre-de-14-18/verdun/recit-francetv-info-je-ne-crains-pas-la-mort-mais-jai-peur-davoir-peur-a-verdun-au-coeur-des-tranchees-a-travers-le-journal-inedit-d-un-poilu_1296219.html#xtor=EPR-51-[recit-francetv-info-je-ne-crains-pas-la-mort-mais-jai-peur-davoir-peur-a-verdun-au-coeur-des-tranchees-a-travers-le-journal-inedit-d-un-poilu_1324977]-20160221-[bouton]

 

Notre passage sur terre

 

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Un jour, nous sommes venus au monde. Nous n’y sommes pour rien, nous n’en sommes pas responsables et pendant des années, nous allons vivre toutes les étapes de ce que  l’on appelle « une vie »

 

Enfants et adolescents, les adultes sont responsables de nous ils nous guident, nous conseillent, nous interdisent………… et nous préparent comme ils le peuvent à la suite.

 

Et puis un jour, nous allons voler de nos propres ailes, persuadés que nous avons tout compris, que nous allons faire ce que nous voulons de cette vie qui maintenant nous appartient

 

Durant plusieurs décennies, c’est vrai que nous allons construire : avenir, famille, amis ; voyager, aimer, réaliser des projets, réussir ou du moins essayer.

 

Lorsqu’arrive le moment de laisser la place aux plus jeunes que nous, nous allons  faire partie de ce « troisième âge » et c’est alors que nous saurons si ce que nous avons fait de toutes ces années passées nous a conduit vers cette partie de vie  qui nous apportera tout ce dont nous  n’avons pas pu jouir jusque là : le temps, les passe-temps, le recul, l’expérience, la sagesse, et pour ceux qui réussirons ce passage, ils découvriront alors que ce laps de temps est  agréable  et vaut le coup d’être vécu car il se vit lentement, dans la satisfaction du devoir accompli , période dans laquelle les exigences ont été remplacées par l’acceptation mais aussi le contentement de soi.

 

Il y a hélas ceux pour qui ces dernières années seront un calvaire car ils n’auront aucun souvenir auxquels se raccrocher, aucun fait glorieux dont ils pourraient être fiers, tout simplement parce qu’ils se sont trompés dans les choix qu’ils ont faits et qu’ils n’ont pas réussi à construire leur havre de paix pour leurs vieux jours et souvent, ces personnes se suicident  ne pouvant supporter le vide qui les entoure.

 

C’est la dernière erreur qu’ils commettront en voulant régler l’acte ultime  de leur existence  sur lequel ils n’ont aucun droit. Le suicide est le dernier acte raté d’une existence  construite sur une montagne d’erreurs de jugement  et de choix en confondant trop souvent : réussir sa vie et réussir dans la vie.

Yaël

Publié dans:mystique sagesse, QUESTION |on 21 février, 2016 |Pas de commentaires »

Les petits métiers disparus

 

 

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Marchand de chiffons

Ils étaient à l’époque (1899), trente six mille  chiffonniers qui ramassaient les tas de détritus déposés au  bas des immeubles.

Mais cette activité est sérieusement menacée car le conseil municipal de Paris envisage la disparition totale du chiffonnier pour le remplacer par des entrepreneurs qui, moyennant finances, seraient chargés d’enlever toutes les ordures à l’aide de voitures hermétiquement closes.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article5568

L’expression du jour : Croquer le marmot

 

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 Croquer le marmot - Attendre longtemps, en se morfondant

Avant d’évoquer les nombreuses suppositions plus ou moins farfelues qui ont été faites, nous allons d’abord présenter l’origine qui a maintenant les faveurs des lexicographes, la plus probable, proposée par Pierre Guiraud :

Au XVIe siècle, date d’apparition de l’expression, alors que les sonneries électriques n’existaient pas encore, les portes ou leurs montants étaient équipées de clochettes ou de heurtoirs. Ces derniers, depuis le Moyen Âge, avaient le nom de marmot, parce qu’ils portaient souvent une figurine un peu grotesque comme l’était la tête des marmots, terme qui au même siècle voulait dire singe.

Cette précision apportée, on pourrait alors imaginer qu’au lieu de croquer un enfant, c’est un petit singe qui ferait un passage par la casserole.

Mais que nenni ! Car ce serait oublier qu’à la même  époque, croquer signifiait frapper. En effet, un croque-note était un mauvais musicien, par exemple, et le jeu de croquet tire son nom du verbe avec cette acception.

Alors croquer le marmot voulait simplement dire « frapper le heurtoir d’une porte » devant laquelle on pouvait attendre très longtemps et frapper sans relâche si elle restait désespérément close.

Parmi les nombreuses autres explications qui ont fleuri au fil du temps voici un résumé des principales :

- Les peintres attendaient leurs clients en dessinant (en croquant) des petits enfants sur les murs des pièces où ils attendaient ;

Marmotter voulait dire « claquer des mâchoires ». L’expression serait alors une signification comme « grogner (sous-entendu claquer des dents) lors d’une longue attente » ;

- Le marmot désignant aussi un tisonnier, l’expression s’appliquerait alors à quelqu’un qui, attendant longuement à proximité d’une cheminée, s’occuperait en attisant le feu à l’aide de cet instrument également appelé marmouset ;

- En revenant au marmot heurtoir de porte, croquer aurait eu le sens de « baiser, embrasser » le marmot pour le vassal souhaitant se faire admettre chez son seigneur, après une longue attente, obligatoirement.

Extrait de Expressio

Publié dans:jouer avec les mots - expressions |on 19 février, 2016 |Pas de commentaires »
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