Je n’ai pas d’ami et je m’en félicite.
Pour commencer, il faudrait définir ce qu’est un « ami » pour moi, c’est une personne en qui j’ai toute confiance et dans laquelle, par certains côtés, je me retrouve sur le plan de l’honnêteté intellectuelle et aussi concernant les valeurs de bases sans lesquelles il m’est impossible d’exister.
Ces valeurs sont : le travail, ce en quoi je crois : patrie, traditions, morale, vérité.
Lorsque se présente sur mon chemin une nouvelle connaissance (en général par le biais des réseaux sociaux) je suis, comme tout un chacun tentée de faire un bout de chemin avec elle mais très vite, je sais qui est devant moi (dans les grandes lignes) et donc je sais si cela vaut le coup de tisser quelque chose entre nous ou pas et en général je me rends compte que tôt ou tard nous irons vers la rupture alors, pourquoi commencer quelque chose qui ne sera pas terminé où qui se finira dans l’amertume et la déception ?
On pense souvent que je juge, on prétend que chacun est libre de faire ce qu’il veut, et si cela est vrai alors, j’ai donc le droit d’être ce que je suis et comme je suis, surtout si j’en assume les conséquences.
Yaël

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