Archive pour juillet, 2015

le collier

 

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Lorsqu’un train plein de prisonniers juifs est arrivé à l’un des centres d’extermination nazis, de nombreux polonais sont sortis pour regarder le dernier groupe qui était emmené.
Les Juifs désorientés rassemblaient les biens qu’ils voulaient prendre avec eux dans le camp, lorsqu’un officier nazi appela les villageois qui étaient à proximité :
« Vous pouvez prendre tout ce que ces juifs laissent, car c’est sûr qu’ils ne reviendront pas pour les reprendre ! »

Deux femmes polonaises qui se tenaient non loin de là ont vu une femme vers l’arrière du groupe, portant un grand manteau, lourd et qui avait l’air cher. N’attendant pas qu’une autre personne ne prenne le manteau avant elles, elles ont couru vers la femme juive, l’ont jetée à terre, lui ont saisi son manteau et sont parties à toute allure.
S’éloignant des autres, elles ont rapidement posé le manteau par terre pour partager le butin qui était dissimulé à l’intérieur. En fouillant dans les poches, elles ont découvert le cœur chavirant des bijoux en or, des chandeliers en argent et d’autres objets de famille.
Elles étaient ravies de leurs trouvailles, mais lorsqu’elles ont de nouveau soulevé le manteau, il semblait toujours plus lourd qu’il n’aurait dû être. Après avoir encore vérifié, elles ont trouvé une poche secrète, et caché à l’intérieur du manteau il y avait un bébé …. une petite fille !

Choquées par leur découverte, une des femmes a eu pitié et a plaidé auprès de l’autre, « Je n’ai pas d’enfant, et je suis trop vieille aujourd’hui pour en avoir un. Prenez l’or et l’argent et laissez-moi le bébé. »
La femme polonaise emporta sa nouvelle « fille » chez elle, au plus grand plaisir de son mari. Ils ont élevé la petite fille juive comme leur propre enfant, la traitant très bien, mais ne lui révélant jamais quoi que ce soit à propos de ses antécédents. La jeune fille excella dans ses études et devint même médecin, travaillant en tant que pédiatre dans un hôpital en Pologne.

Lorsque sa « mère » décéda de nombreuses années plus tard, une visiteuse vint pour lui présenter ses condoléances.
Cette vieille femme s’était invitée elle-même et dit à la fille: «Je veux que vous sachiez que la femme qui est décédée la semaine dernière n’était pas votre vraie mère … » et elle s’est mise à lui raconter toute l’histoire. Elle ne la croyait pas au début, mais la vieille femme a insisté.
« Quand nous vous avons trouvée, vous portiez un magnifique collier en or avec une écriture étrange, qui doit être de l’hébreu.
Je suis sûre que votre mère a gardé le collier. Allez voir de vous-même ». En effet, la femme ouvrit la boîte à bijoux de sa mère décédée et trouva le collier tout comme la vieille dame le lui avait décrit.
Elle était choquée. Il lui était difficile d’imaginer qu’elle avait été d’origine juive, mais la preuve était là, dans sa main. Comme ce fut son seul lien vers une vie antérieure, elle chérit le collier. Elle l’avait fait agrandir à la taille de son cou et le portait tous les jours, même si elle n’avait aucune pensée pour ses racines juives.

Un peu plus tard, elle est allée en vacances à l’étranger et a rencontré deux garçons juifs qui étaient sur une rue principale, essayant de convaincre les passants juifs de porter des Tefillins sur les bras (pour les hommes) ou d’accepter des bougies pour les allumer le Chabbat, le vendredi après-midi (pour les femmes).
Saisissant cette occasion, elle leur a raconté toute son histoire et leur a montré le collier.
Les garçons ont confirmé qu’un nom juif était inscrit sur le collier, mais ne savaient pas quel était sa situation du point de vue religieux. Ils lui ont conseillé d’écrire une lettre à leur mentor, le Rabbi Loubavitch ZT « L, pour tout lui expliquer. Si quelqu’un saurait quoi faire, ce serait lui.

Elle suivit leurs conseils et envoya une lettre le jour même. Très vite, elle reçut une réponse indiquant que selon les faits il était clair qu’elle est bien une jeune fille juive et peut-être qu’elle devrait envisager d’utiliser ses compétences médicales en Israël où les pédiatres talentueux sont très recherchés. Cela éveilla sa curiosité, et elle se rendit en Israël où elle consulta un tribunal rabbinique (Beth Din) qui la déclara juive. Peu de temps après, elle fut acceptée dans un hôpital pour travailler, et ensuite rencontra son mari et éleva une famille.

En août 2001, un terroriste a fait exploser le café Sbarro dans le centre de Jérusalem. Les blessés ont été transportés à l’hôpital où cette femme travaillait. Un patient a été amené, un homme âgé en état de choc. Il cherchait partout sa petite-fille qui avait été séparée de lui.
Demandant comment elle pourrait la reconnaître, le grand-père frénétique donna une description d’un collier en or qu’elle portait.
Finalement, la petite-fille fut retrouvée parmi les blessés. A la vue de ce collier, la pédiatre se figea. Elle se tourna vers le vieil homme et lui dit: « Où avez-vous acheté ce collier ? » Il lui répondit « Vous ne pouvez pas acheter un tel collier. Je suis orfèvre et j’ai fait ce collier. En fait, j’en ai fait deux tout à fait identiques pour chacune de mes filles. Voilà la petite-fille de l’une, et mon autre fille n’a pas survécu à la guerre « .

Et voilà comment une fille juive, brutalement arrachée à sa mère sur une plate-forme de camp nazi il y a près de soixante ans, a retrouvé son père …..

Publié dans:Non classé |on 19 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

Les druides

 

 

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Il existe deux explications au mot « druide » : Celle de Pline, pour qui il serait issu du mot gaulois « derw » signifiant chêne, Celle de Mme Le Roux, dans les racines sanscrites « dru » signifiant dru et « vid » signifiant savoir, les druides désignant les hommes très savants.

Les Druides antiques avaient une place importante dans la société, particulièrement de conseil auprès du Roi, il est d’ailleurs dit que Le Roi ne parlait jamais avant le Druide, ce qui montre l’importance de son rôle au plus haut de la hiérarchie. Il avaient aussi pour charge de l’éducation, de la justice, de la médecine, de la divination et des arts.

Les jeunes postulants commençaient leur éducation très jeune, il fallait en effet une bonne vingtaine d’années pour acquérir les connaissances nécessaires.

Le terme de druide est appliqué à tous les membres, chacun ayant ses spécialités et niveaux de qualification. On distinguait :

les Druides, Prêtres, enseignants, ambassadeurs, sages.

 les Vates ou Ovates Devins, médecins, physiciens, sourciers

et les Bardes. Poêtes, musiciens, enseignants, historiens

Les Romains sont responsables de la disparition des Druides. Ils furent interdits sous prétexte de sacrifices humains, alors qu’il ne s’agissait que d’une manoeuvre politique contre une classe sacerdotale ayant un énorme ascendant sur la population et capable de résister à l’envahisseur.

 Plus tard le christianisme terminera de balayer cette « religion barbare ».

A noter que le seul texte relatant des sacrifices humains, est irlandais chrétien, rédigé en latin, à la gloire de St Patrick .

La religion druidique continua dans la clandestinité des monastères chrétiens ( tel que les Bénédictins) dont les cloîtres s’élevèrent sur les lieux mêmes des ancien temples !

Les Druides savaient écrire (alphabet grec et ogamique ) mais ils refusaient de figer leur doctrine au risque de la tuer.

Les éléments de cette tradition furent transcrits, quant ils furent interdits par l’extension du christianisme, principalement dans les monastères celtiques irlandais, mais de nombreux récits païens furent christianisés ou censurés.

La tradition fut aussi perpétuée par les Bardes sous la forme de contes et chansons.

Les Celtes croyaient en la réincarnation, c’est une des raisons pour laquelle ils étaient de féroces combattants, selon eux La mort était le milieu d’une longue vie.

Selon eux, l’homme pour acquérir la sagesse, la connaissance, doit suivre une sorte d’initiation, comme les vivent les héros Celtes, passer par de multiples états de l’être, et donc par plusieurs vies.

La religion Druidique est une religion païenne (le mot païen fut créé par les Chrétiens pour qualifier les religions polythéistes en particulier), il veut en réalité dire Paysan.

Comme beaucoup de religions antiques, les Druides calquaient leur vie et leurs fêtes aux cycles de la nature. Il étaient polythéistes, mais aussi panthéistes, leur sagesse passait par le respect de la Terre, la Mère, et de la Nature.

http://www.bretagne-celtic.com/druidisme/druidisme.html

Les femmes ont-elles quelque chose à cacher?

 

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Question :

Pourquoi le Judaïsme dit-il aux femmes de garder leur corps couvert ? Y a-t-il quelque chose de honteux ou de mauvais dans le corps de la femme ? Si les hommes ne peuvent pas maîtriser leurs pulsions, alors c’est le problème des hommes, pas des femmes. Pourquoi une femme devrait-elle se cacher juste pour que les autres ne soient pas tentés ?

Couvrir quelque chose ne signifie pas systématiquement que l’on en a honte. Avez-vous remarqué comment nous traitons un rouleau de la Torah ? Nous ne le laissons jamais reposer découvert. Il est caché sous plusieurs épaisseurs. La Torah est gardée dans une synagogue, dans l’Arche, derrière un rideau, enveloppée dans un manteau, maintenue étroitement fermée par une ceinture. Elle n’est sortie que pour être employée à des fins sacrées, pour être lue durant l’office des prières. En ces moments particuliers, nous ouvrons délicatement le rideau, ouvrons les portes de l’Arche, sortons la Torah, la découvrons et la déroulons. Dès que nous avons terminé la lecture, nous la rhabillons immédiatement et la remettons en place.

Pourquoi faisons-nous tout cela ? Pourquoi ces efforts pour dissimuler la Torah ? En avons-nous honte ? Y a-t-il quelque chose à cacher ? Y a-t-il quelque chose de laid dans la Torah ?

Bien sûr que non. C’est tout à fait le contraire.

Parce que la Torah est notre objet le plus sacré, parce qu’elle est tellement sainte et spéciale et précieuse, nous ne la laissons jamais inutilement exposée. Nous la gardons recouverte parce que nous ne voulons pas la traiter avec légèreté, nous ne voulons pas être trop informels avec elle. Si la Torah était toujours ouverte et visible, elle pourrait devenir trop familière, et sa sainteté s’en trouverait minimisée. En la dissimulant aux regards et en ne la sortant qu’aux moments appropriés, nous conservons notre révérence et notre respect pour la Torah.

La même chose est vraie de nos corps. Le corps est la sainte œuvre de D.ieu. C’est le lieu sacré de révélation de l’âme. La manière dont nous conservons le respect de notre corps est de le couvrir. Non parce qu’il est honteux, mais parce qu’il est tellement beau et précieux.

Ceci est également vrai du corps masculin, et les lois de l’habillement pudique s’appliquent également aux hommes. Mais cela est d’autant plus fort chez les femmes. Le corps féminin possède une beauté et un pouvoir qui surpassent de loin le corps masculin. Les Kabbalistes enseignent que le corps d’une femme possède une beauté plus profonde parce que son âme provient d’une source plus élevée. Pour cette raison, son corps doit demeurer discrètement couvert.

Dans un monde où le corps féminin a été réduit à un artifice publicitaire de bas étage, nous n’avons pas besoin de preuve quant à la justesse de cet enseignement. Là où tout est exposé, rien n’est sacré. Mais ce qu’il y a pour nous de plus précieux, nous le gardons couvert.

Publié dans:mystique sagesse |on 19 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

la foi

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Je ne sais pas si la foi fait des miracles mais ce que je sais, c’est que croire permet d’appréhender les événements d’une façon différente et aussi de voir dans ceux-ci, des significations invisibles à celui qui ne croit pas et par voie de conséquence, trouver des solutions appropriées afin,

-de mieux comprendre notre part de responsabilité dans ce qui arrive,

-de mieux supporter ce qu’il advient,

- de résoudre plus facilement le problème engendré,

-  d’accepter celui-ci comme une épreuve nécessaire à notre évolution

La foi n’est pas un dogme qui emprisonne mais une vérité qui libère

Yaël

Publié dans:mystique sagesse |on 17 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

A Toi que je n’ai jamais vu

 

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A toi que je n’ai jamais vu

Je t’ai cherché et un jour, je t’ai trouvé

Comment en es tu certaine me demande-t-on ? Certaine, je ne le suis pas et c’est très bien ainsi car si je l’étais, notre relation n’aurait plus d’intérêt, c’est ce petit doute devant ce qui est inexplicable qui me tient en haleine, qui me fait me poser des questions

Ai-je rêvé ? es -Tu près de moi comme je le crois ? m’entends Tu ?

Ai-je bien compris Tes enseignements ? ai-je fait de ma vie ce que Tu souhaitais ?

Mais dis moi ! une chose me désole plus que les autres :

Tous ces gens qui ne croient pas en Toi, qui méprisent et insultent  les livres qui parlent de Toi qui se disent athées mais qui prétendent pourtant savoir de quoi ils parlent  me font de la peine car ils se privent d’une aide précieuse, celle qui consiste à remettre en question nos soi- disant vérités, à douter de tout avoir compris, à chercher sans cesse à faire mieux.

 

Comme il doit être triste et dangereux le chemin sur lequel ils se trouvent, sans itinéraire, sans barrière de protection, sans espoir de déboucher un jour  dans une clairière toute illuminée.

 

Je voudrais partager avec tous, la sérénité que me donne le fait de croire en Toi, de Te sentir à mes côtés même si je ne peux pas le prouver et expliquer à mes semblables que ce qui est visible est bien souvent mensonger et que ce qui est caché est souvent vérité et que celui qui fait l’effort de chercher, trouve au bout du chemin, une lumière qui ne s’éteint jamais et qui le protégera toujours.

Yaël

 

Publié dans:Non classé |on 13 juillet, 2015 |2 Commentaires »

L’histoire du théâtre des marionnettes

 

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Premiers théâtres de marionnettes :
succès depuis la fin du XVIIIe siècle

(D’après « Le Petit Journal : supplément du dimanche », paru en 1908)

Publié le DIMANCHE 5 JUILLET 2015, par LA RÉDACTION

Si le plus ancien des théâtres en plein air est celui de Guignol aux Champs-Élysées, créé en 1818, tirant son nom du Guignol lyonnais au caractère indépendant et facétieux né dix ans plus tôt, et comptant parmi ses premiers spectateurs le futur roi Louis-Philippe, on sait moins qu’un célèbre théâtre de marionnettes, célèbre dans toute l’Europe, vit le jour à la fin du XVIIIe siècle et était issu d’un spectacle d’ombres chinoises ayant reçu de Louis XVI un privilège exclusif. Tour d’horizon de ces marionnettes qui depuis firent tant d’émules.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article12725

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