Archive pour juin, 2015

HISTOIRE du MONT SAINT-MICHEL

 

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L’histoire du Mont Saint-Michel commence par une légende, elle-même, étroitement liée à celle du Monte Gargano, dans les Pouilles (Italie) :

Au début du VIIIe siècle, en 708, Aubert, évêque d’Avranches, suite à une apparition de l’archange Saint-Michel, reçoit l’ordre de construire un édifice dans lequel seraient loués les mérites de l’archange. Le pauvre évêque, croyant follir*, n’ose rien faire et décide d’attendre.

Une seconde fois l’archange lui apparaît, et Aubert doute toujours. Mais à la troisième apparition de l’archange plus aucun doute ne subsiste à l’esprit de l’évêque, car Saint-Michel, furieux de ne point avoir été écouté laisse à Aubert une preuve de son pouvoir: dans le crâne de l’évêque apparaît un trou circulaire. Mais l’évêque ne doit pas trop en souffrir, car il ne mourra que des années plus tard. Aujourd’hui le crâne d’Aubert est conservé dans la basilique d’Avranches. Cette histoire est-elle vraie ou fausse? Personne ne peut apporter la preuve qui fera pencher la balance d’un côté ou de l’autre. Quoi qu’il en soit, l’évêque certain que ces visions n’étaient point à mettre sur le compte de la folie, entreprend les travaux commandés par l’archange. Il fait construire un petit oratoire en forme de grotte pouvant contenir une centaine de personnes. Il ne reste rien de cette construction sauf un mur visible dans l’une des salles de l’abbaye (Notre Dame sous terre). En 709, construction d’une petite église par Aubert.

Pendant deux siècles des chanoines accueilleront les pèlerins, mais au fil du temps, ils délaisseront leur mission.

Las de cette chose, le duc de NormandieRichard 1er, décide de remplacer les chanoines par des moines bénédictins, venus de l’abbaye de Saint-Wandrille. Cela se passe en 966, année retenue comme celle de la fondation de l’abbaye.

Les bénédictins sont de grands bâtisseurs. Ils font construire une église et quelques bâtiments. Les pèlerins affluent, de plus en plus nombreux et la renommée du Mont Saint-Michel ne tarde à être connue de par tout le royaume.

 Par temps de brouillard, de nombreux pèlerins se perdent sur les grèves et périssent noyés. De plus, les lises, sortes de sables mouvants, ensevelissent les imprudents qui s’aventurent dans la baie sans l’aide d’un guide. Le Mont est alors appelé Mont Saint-Michel au Péril de la Mer.

Au pied de l’abbaye, une petite ville se construit. Les maisons, pour la plupart en bois, servent à accueillir les pèlerins. Dès le début du millénaire, le métier d’hôtelier existe donc au Mont Saint-Michel. Au sommet du rocher, les moines, quant à eux, ne perdent pas leur temps, grâce à de nombreux dons, ils bâtissent une vaste église et plusieurs bâtiments annexes : un réfectoire,  un dortoir, une salle de travail, un promenoir ,une aumônerie (lieu où les pauvres sont reçus et reçoivent l’aumône qui consiste souvent en un léger repas).

Quand le duc deNormandie Guillaume le Conquérant décide d’envahir l’Angleterre, il demande son aide à l’abbé du Mont. Celui-ci fait armer quatre bateaux. Après la victoire d’Hastings, Guillaume en signe de reconnaissance fera don de plusieurs territoires Anglais à l’abbaye. En un siècle, l’abbaye s’est considérablement enrichie et agrandie. Mais en ce début de XIIe siècle, les malheurs vont se succéder.

 En 1103, le côté nord de la nef de l’église s’effondre. Dix ans plus tard, un incendie se déclare dans une maison de la ville. Le feu se propage de maison en maison et finit par atteindre l’abbaye. Moins de vingt ans après cette catastrophe, un nouvel incendie enflamme de nouveau l’abbaye. Cette fois, s’en est trop pour les moines, qui se relâchent et ne font plus sérieusement leur office.

Pourtant un homme parvient à lui seul à redonner à l’abbaye son éclat antérieur: Robert de Thorigny, élu abbé en 1154. Diplomate, il parvient à réconcilier le roi de France avec le duc de Normandie. Erudit, il acquiert un nombre important de livres (les livres à cette époque ont beaucoup de valeur) et en écrit quelques-uns. Bâtisseur, il fait construire plusieurs bâtiments, dont une plus vaste aumônerie, pour accueillir plus de pèlerins. A sa mort, l’abbé Robert de Thorigny laisse une abbaye plus puissante, plus riche et totalement revitalisée au niveau spirituel.

Dès le début du XIIIe siècle, le duc de Normandie et le roi de France entrent en guerre. Les Bretons, alliés pour l’occasion au roi de France, montent une armée et marchent vers le Mont qu’ils enflamment. En 1204 la Normandie est rattachée au royaume de France.

Le roi de France, Philippe-Auguste, pour dédommager le monastère du préjudice causé par les Bretons, alloue une forte somme d’argent à l’abbaye. Cet argent est immédiatement investi dans la construction de la Merveille. La construction de ce bâtiment, sur un terrain aussi peu propice (le terrain est en pente), est un véritable tour de force. En 1228, le cloître, sommet de l’édifice, est achevé.

Très peu d’évènements viendront marquer le reste du XIIIe siècle, les abbés se succèdent, tous apportent leur marque dans la construction du Mont : pour remplacer l’ancienne palissade en bois, des tours et des remparts sont construits, leslogis abbatiaux sont également bâtis durant cette période.

 Au début du XIVe siècle commence la guerre dite, de Cent Ans. L’abbaye perd la totalité de ses revenus provenant de ses prieurés Anglais. En 1356, les Anglais s’emparent de Tombelaine et prennent pour cible le Mont Saint-Michel. Le chevalier Du Guesclin est nommé chef de la garnison du Mont. A la tête de ses troupes, il remporte victoire sur victoire et éloigne pour plusieurs années la menace Anglaise. Pierre le Roy est élu abbé en 1386, conscient du danger que représentent les Anglais, il décide de construire de nouvelles défenses pour l’entrée de l’abbaye. La tour Perrine, la tour des Corbins et plus particulièrement le Châtelet donnent à l’entrée du monastère une défense infranchissable. Les Anglais, après une période de répit, reprennent l’offensive et, après la défaite du roi de France à Azincourt, plus rien ne semble pouvoir les arrêter. Robert Jolivet le nouvel abbé, organise, grâce à de nombreux impôts, la construction des remparts afin de protéger la ville qui devient elle-même une protection pour l’abbaye.

En homme prévoyant, il fait construire une citerne pour alimenter en eau douce les moines, les soldats et les habitants du Mont. Quand Rouen, capitale de la Normandie, tombe aux mains des Anglais, toute la région, sauf le Mont Saint-Michel, est occupée par les Anglais. Devant tant de puissance, l’abbé Robert Jolivet abandonne son monastère et propose ses services au roi d’Angleterre. En 1424, les Anglais assiègent le Mont, mais l’aide de l’abbé est inutile. Il a si bien conçu le système défensif de la ville que rien ne parvient à l’ébranler.

Les Montois (nom donné aux habitants du Mont) parviennent même, par quelques attaques éclair, à décourager les Anglais. En 1425, après avoir subi une défaite plus cuisante que les autres, les Anglais se replient.

Après cette victoire, malgré les menaces qui pèsent toujours sur la région, les pèlerins affluent au Mont pour rendre hommage a l’ultime défenseur du royaume : l’archange Saint-Michel.

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 En 1433, un incendie ravage une partie de la ville, les Anglais, voulant profiter de cette occasion, regroupent leur armée et préparent l’attaque. En 1434, les Anglais se ruent sur le Mont Saint-Michel, une bataille sanglante s’en suit. Les Anglais parviennent à faire une brèche dans le rempart et pénètrent dans la ville, en criant déjà victoire. Heureusement, le capitaine du Mont réorganise ses troupes et contre-attaque si puissamment que les Anglais prennent la fuite, en abandonnant deux bombardes. La victoire des troupes Montoises redonne confiance aux armées Françaises et, sur tout le territoire, les Anglais reculent. La bataille de Formigny, en 1450 apportera finalement la paix à la Normandie.

http://www.le-mont-saint-michel.org/histoire.htm

Grande histoire médiévale de Concarneau (Finistère)

 

 

 

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Sa beauté en fait l’une des toutes premières destinations touristiques de Bretagne. Pourtant, bercée par l’océan, Concarneau reste à l’abri du temps.

C’est une cité médiévale que sa baie protège des caprices de l’Atlantique. En breton, Concarneau veut dire « l’abri des Cornouailles », et son histoire commence sur les remparts de la ville close. Pour la découvrir, France 2 a fait confiance à Michel Pencoat, conteur spécialisé de la ville.

Encore de nombreux secrets
Le temps d’une balade, il nous plonge dans la Bretagne du Moyen-Âge, quand la ville était une place forte convoitée. « Les Anglais ont occupé Concarneau pendant une trentaine d’années avant qu’un breton réputé plutôt tenace et teigneux ne vienne mettre le siège devant Concarneau. C’était en 1373, il était connétable de France et s’appelait Bertrand du Guesclin », raconte-t-il.

Les tours de la ville cachent encore aujourd’hui les traces d’autrefois, mais encore faut-il en connaitre les moindres recoins. Des petits passages, presque secrets, pour accéder par exemple à la plage de la Ville dorée comme l’appelle les habitants. C’est l’ancien port de pêche de la ville, devenu au fil du temps le repère des goélands.

Pour avoir accès à la grande histoire médiévale de Concarneau, cliquer ci-dessous

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article12655

Le Souffleur De Sons

 

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‘J’ai laissé ma main errer
Sur la peau d’une hypothèse
Et mon âme
A ouvert une parenthèse’
LSDS

iTunes: https://itunes.apple.com/ca/album/le-souffleur-de-sons/id609151046
https://www.youtube.com/user/lesouffleurdesons
Photo: Jerry Uelsmann

Sante Nature Innovation – dans le cas ou ceci intéresserait ceux et celles qui me lisent.

 

 

 

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Légende chinoise oubliée

Il y a 3000 ans, l’empereur chinois Shen Nong, dont le nom signifie « le laboureur divin », aurait cueilli et goûté lui-même des centaines de plantes pour connaître leurs propriétés médicinales et les répertorier selon leurs vertus pour la santé humaine.

Selon la légende, il s’intoxiqua souvent au cours de ses expériences mais son pouvoir divin lui aurait chaque fois permis de ressusciter.

Cette histoire contient quelque chose de troublant.

L’empereur a consigné ses précieuses découvertes dans un livre qui est arrivé jusqu’à nous., le Shennong Bencao Jing.

Bencao signifie « herbier ». Ce volumineux ouvrage rassemble les 360 remèdes animaux et minéraux, et les 252 remèdes végétaux qui devraient suffire à assurer une santé robuste toute la vie.

Il est considéré comme le premier traité de phytothérapie (médecine par les plantes).

C’est là qu’on trouve un des premières description de plantes devenues aussi célèbres que le ginseng, à la saveur « douce et légèrement amère », qui renforce les cinq « viscères », apaise l’Esprit, ouvre le Cœur (calme les palpitations), chasse les énergies perverses (renforce le système immunitaire), et prolonge la vie. »

Il y parle aussi du pavot qui rend le sommeil, ou du Dang Gui, l’angélique chinoise indiquée pour les problèmes féminins.

Tous ces remèdes sont détaillés, accompagnés de posologies précises.

Or, la recherche médicale reconnaît aujourd’hui la validité scientifique de la plupart de ces remèdes qu’on croyait « légendaires » ! Des découvertes sont réalisées jour après jour sur les propriétés médicinales de la racine de Ginseng, de l’angélique, de la cannelle, du gingembre, etc.

C’est pourquoi nous avons décidé de consacrer à ce passionnant sujet un dossier dans le nouveau numéro de notre revue mensuelle Plantes & Bien-Être.

Mais si je vous écris en urgence aujourd’hui, c’est parce que ce nouveau numéro de Plantes & Bien-Être est imprimé sur papier. Pour le recevoir, il est nécessaire de vous inscrire.

Nous lançons l’impression de ce numéro exceptionnel le mercredi 24 juin à la première heure. Aussi merci de m’indiquer avant mardi soir minuit si vous souhaitez recevoir votre exemplaire. Si c’est le cas, merci de cliquer en bas du message et de suivre les instructions.

A noter que ce numéro de Plantes & Bien-Être traite également d’un sujet central encore plein de mystère pour la science : l’amour

L’amour, source de vie et d’énergie jusqu’au plus grand âge

On considère souvent qu’il est normal de voir le désir amoureux décroître avec le temps.

En fait, quand la mécanique du désir s’enraye, la faute est souvent à rechercher du côté de l’armoire à pharmacie : certains médicaments sont en effet des coupables potentiels beaucoup plus sérieux que les problèmes psychologiques, affectifs ou d’âge.

En particulier, vous devez vous méfier :

  • des antidépresseurs et des hypnotiques,
  • des traitements cardiovasculaires, et notamment des hypotenseurs ;
  • chez l’homme, être très prudent avec les médicaments pour la prostate,
  • chez la femme, les traitements antihormonaux et la pilule contraceptive ont tendance à faire diminuer la libido dans 20 à 40 % des cas;
  • moins courant, les traitements destinés à faire repousser les cheveux peuvent avoir eux aussi un effet désastreux sur le désir.

Si vous en parlez à votre médecin, il saura dans bien des cas vous conseillez un changement de votre traitement qui vous évitera cet effet secondaire assez désolant.

Toutefois, vous pouvez aussi agir à votre niveau

Chacun connaît la testostérone qui est « l’hormone mâle » par excellence. Ce que l’on sait moins, c’est que la femme en produit également, en moindre quantité. Par contre, la zone dans le cerveau de la femme qui gère le désir se « réveille » lorsque monte le taux de testostérone dans son organisme.

Il faut savoir que les tiges de céleri frais semblent aider le cycle de production de la testostérone et qu’elles favoriseraient la libération d’androstérone (une hormone similaire).

L’artichaut, le fenouil, l’asperge et la grenade peuvent jouer un rôle très étonnant, que nous vous indiquons dans ce dossier du nouveau Plantes & Bien-Être.

Certaines plantes bien choisies, comme le tribulus (appelé aussi “le Viagra Vert”, ce n’est pas sans raison…), l’ortie ou le damiana, aident également à stimuler le désir.

Mais le but est de couvrir entièrement le sujet et vous découvrirez aussi les effets dont on parle peu de la verveine, du mucuna, des huiles essentielles de menthe poivrée, de sarriette. de rose de Damas et d’ylang ylang.

Quand on parle d’âge, l’autre grand sujet qui concerne les femmes est la baisse de densité osseuse, qui commence dès la ménopause. Les médecins parlent d’ostéoporose, et beaucoup recommande de boire plus de lait, ce qui est exactement l’inverse de ce qu’il faut faire. C’est pourquoi nous vous indiquons le programme en 4 étapes à suivre pour vous assurer des os solides… et en pas finir courbé avec une canne parce que vos vertèbres se sont tassées, ni en chaise roulante parce que votre col du fémur s’est fracturé, et qu’il ne se remet pas.

Ostéoporose : les 4 étapes à suivre

Si vous souffrez – ou si vous avez peur de souffrir – de fragilité osseuse, n’écoutez surtout pas les géants de l’industrie alimentaire, qui cherchent juste à vous vendre plus de laitages.

Plus de lait ne donne pas les os solides, au contraire.

La santé du squelette den réalité de 4 étapes cruciales :

D’abord, il faut apporter à notre système les matières premières nécessaires pour bâtir un os solide.

L’os est composé en grande partie de calcium, la brique de construction primaire du squelette. Mais encore faut-il que ce soit du calcium assimilables, qui rejoigne la matrice du squelette, et qui n’aille pas tout simplement encrasser les artères.

Une fois les minéraux absorbés par l’intestin, il faut s’assurer qu’ils se déposent aux bons endroits, dans les os, les dents, et ne créent pas de calcification sur la paroi artérielle ou dans les zones d’inflammation chronique. La présence de vitamines D3 et K2 est essentielle à ce dépôt ordonné. Pour chacune, nous vous donnons une recommandation journalière.

De plus, le cycle complet de fabrication de l’os requiert d’autres minéraux comme le magnésium et le phosphore. C’est le magnésium qui active la phosphatase alcaline, une enzyme permettant la formation des cristaux de calcium dans la masse osseuse.

Nous trouvons ce panel de minéraux dans le monde végétal, et une consommation régulière de fruits et légumes fournit un apport diversifié.

Mais cet apport est-il suffisant ?

Pas sûr, car les sols où poussent les végétaux sont de plus en plus pauvres. Voilà pourquoi le secours des plantes minéralisantes est essentiel : luzernecataire, prêleavoinementhetrèfle rougeframboisier, ces plantes révèlent un potentiel minéralisant souvent ignoré et pourtant indispensable. (notre tableau détaillé vous montrera l’apport de minéraux associé à chacune).

Une dose journalière de 20 g de plantes fournit un apport suffisant en minéraux divers pour la plupart des personnes. Vous créer votre propre mélange (nous vous donnons différents exemples pour inspirer vos propres créations).

- Une fois les minéraux déposés, il faut éviter les résorptions dues à un excès d’acidité ou de stress oxydatif. Leromarin, en simple infusion journalière, fournit un excellent pouvoir antioxydant. Rajoutez-en une branche à votre infusion minéralisante journalière.

Ce numéro de Plantes & Bien-Être vous offre donc à lui seul une feuille de route complète contre l’ostéoporose, bien éloignée des préjugés et lieux communs colportés par la publicité (pour rappel, Plantes & Bien-Être ne contient aucune publicité, c’est un journal qui ne vit que grâce à ses abonnés).

Mais il traite aussi d’un autre sujet crucial pour beaucoup de seniors : comment aborder l’épreuve d’une radiothérapie dans les meilleures conditions :

Radiothérapie : Urgence protection !

Le principe de la radiothérapie est d’essayer de détruire toutes les cellules malignes responsables du cancer, bloquer leur capacité à se multiplier de manière anarchique, tout en épargnant les tissus sains périphériques.

Même si les cellules saines ont une aptitude à se réparer que n’ont pas les cellules cancéreuses, et malgré des rayonnements de plus en plus ciblés, les tissus sains proches de la zone traitée seront malgré tout toujours atteints.

Ainsi, dans les 2 à 4 semaines, en fonction des zones irradiées, les effets suivants peuvent apparaître :

  • Un érythème nommé « radiodermite aiguë », qui se manifeste par une rougeur et un assèchement de la peau.
  • La peau se pigmente, elle peut aussi se crevasser. Dans certains cas elle restera plus sombre et rêche aux endroits concernés par le rayonnement.
  • En cas d’irradiation de la bouche, du cou ou du haut du thorax : des difficultés pour avaler, déglutir, un manque de salive.
  • En cas d’irradiation de l’abdomen : des nausées, des diarrhées.
  • En cas d’irradiation du bassin : des troubles urinaires, des douleurs lors des rapports sexuels.
  • Une certaine fatigue peut survenir au bout de quelques séances.

Les huiles essentielles et végétales permettent de diminuer les lésions et de faciliter la cicatrisation et la régénération des tissus cutanés.

  • Avant la radiothérapie

En prévention des traitements de radiothérapie, des onctions d’huiles essentielles pures et d’huiles végétales ont fait leurs preuves et sont recommandées largement par les médecins phytothérapeutes et aromathérapeutes. Dans les hôpitaux les plus avancés, ils font partie des protocoles de traitement.

Les Huiles Essentielles (HE) de Niaouli (Melaleuca quinquenervia), par leurs composés de type sesquiterpénols, constituent un filtre naturel contre les UV (UV-B et une partie des UV-A), comme c’est le cas pour d’autres Myrtacées : arbre à thé (Melaleuca alternifolia) et cajeput (Melaleuca cajeputii).

Ces huiles essentielles sont également efficaces en post-radiothérapie. De l’HE de lavande, des huiles végétales (jojoba, rose musquée, calophyllum…), une huile de macération solaire de millepertuis ou du gel d’aloé vera peuvent s’y associer, afin de favoriser la cicatrisation des tissus enflammés.

Exemples de formules en pré-radiothérapie :

1. HE pures : appliquer quelques gouttes de niaouli ou un mélange niaouli (80 %)-tea tree (20 %) sur la zone devant être irradiée 2 heures avant la séance, en veillant à ce que la peau soit bien sèche au moment de la radiothérapie. Dans la mesure du possible, renouveler l’opération une quinzaine de minutes après la séance.

  • Après la radiothérapie

Immédiatement après la radiothérapie : badigeonner la peau irradiée avec de l’huile de macération solaire de millepertuis.

Certains aromathérapeutes (spécialistes des huiles essentielles) préconisent deux applications par jour des formules évoquées, après la séance et au coucher, avec lavage de la zone et séchage avant l’irradiation du lendemain.

Puis, une fois les séances terminées, le traitement peut être continué avec 3 applications par jour d’huiles essentielles pures, en mélange ou diluées dans une huile végétale, sur la zone concernée, et ce jusqu’à l’obtention d’une amélioration nette.

Avoir à votre disposition, bien en sécurité dans votre bibliothèque pour le jour où vous êtes confronté au problème, tous les précieux renseignements sur ce sujet qui sont dans le nouveau numéro de Plantes & Bien-Être, ce n’est pas un luxe.

C’est une chose raisonnable et nécessaire, surtout en cette époque où le cancer est devenu la première cause de mortalité.

Aussi dans le numéro de juillet de Plantes & Bien-Être

Vous pourrez aussi découvrir dans ce numéro :

  • Ce qui arrive avec le maquillage« normal ». Au bout d’un an, on a retrouvé sur des femmes consommatrices de produits d’hygiène et de maquillage…2 kilos de composés chimiques toxiques : paraben, conservateurs, etc ! Voilà une bonne raison (et il y en a 5 autres aussi excellentes) d’utiliser les plantes dans leur forme naturelle pour hydrater votre peau et éclairer votre teint. Il y en a. Elles fonctionnent ! Utilisons-les !
  • Cosmétique naturel: une crème de coquelicot et calendula (avec notre recette) pour adoucir le feu du soleil et préserver le bronzage.
  • La tisane chaude…qui rafraîchit ! Le mélange de chiendent,hibiscus,tilleul, fraisie, vigne rouge etcassis qui diminue la sensation de chaleur en été ! A découvrir aussi : un gel rafraîchissant pour les jambes.
  • Dans les situations d’urgence, il y a la police (le 17), les pompiers (le 18), et il y a aussi… aconit napellus. Une plante qui traite l’angoisse intense, les névralgies aigues et les fièvres brutales en homéopathie. Nous vous indiquons comment l’utiliser dans chaque situation.
  • De délicieuses feuilles de menthe contre les flatulences et les constipations passagères. Avec une astuce pour repérer les feuilles les plus riches en menthol (excellentes pour l’haleine fraîche).
  • Le thé vert contre la sécheresse buccale. 
  • L’aubépine pour apaiser le stress.
  • La phyto à quatre pattes : une vétérinaire nous donne ses remèdes pour soigner les animaux par les plantes.
  • Une fabuleuse visite chez un guérisseur Africain.
  • L’algue qui vient au secours des végétaliens.

L’espace me manque ici pour vous détailler toutes les autres découvertes sur les plantes médicinales que nous publions dans le seul numéro de juillet de Plantes & Bien-Être.

Mais le but pour vous n’est pas simplement de lire ce nouveau numéro, même s’il contient tant d’informations utiles et passionnantes :

Rejoignez un grand mouvement en marche !

Les lecteurs de Plantes & Bien-Être ne tirent pas seulement des bienfaits personnels de leur lecture, ils participent à une révolution orchestrée par des experts qualifiés et bienveillants  !

Ce ne sont pas seulement les meilleurs experts de la médecine par les plantes, faisant partie des personnalités les plus diplômées du secteur.

S’ils ont pris ce rôle de leaders, c’est grâce à leur capacité à parler des plantes de façon simple et stimulante pour tous, surtout si vous n’avez aucune connaissance en botanique actuellement.

Sans doute avez-vous déjà entendu parler d’eux. Ce sont :

  • Le Docteur Franck Gigon ex chargé de cours au diplôme universitaire de phytoaromathérapie de Paris XIII, est spécialiste des plantes, de l’aromathérapie, conférencier et auteur de nombreux livres de référence dont « Se soigner par les plantes pour les Nuls » et « La vérité sur les plantes qui soignent » ;
  • Le Docteur Daniel Scimeca, spécialiste des plantes, président du syndicat de la médecine homéopathique ; directeur d’enseignement à la Société médicale de biothérapie, formateur de médecins et pharmaciens, et lui aussi auteur de nombreux ouvrages sur la santé naturelle ;
  • Le Dr Danielle Roux, pharmacienne, scientifique et rédacteur en chef de la « Revue de Phytothérapie Européenne » ;
  • François Couplan, docteur-ès-sciences, ethnobotaniste, spécialiste mondial des utilisations traditionnelles des plantes et auteur de cinquante ouvrages sur le sujet ;
  • Christophe Bernard, diplômé de la Southwest School of Botanical Medicine et créateur du « Jardin des Plantes Médicinales » ;

Ainsi que le Dr Jacques Labescat (phytothérapeute), Julien Kaibeck, spécialiste des huiles essentielles, Alessandra Moro Buronzo et Nicolas Wirth (naturopathes).

Grâce à eux, grâce à cette communauté de lecteurs qui a jailli de terre en seulement un an, un mouvement de fond est en marche, naturel, participatif, ouvert et impliqué que rien ne peut plus l’arrêter !

C’est leur ambition magnifique que nous vous proposons de rejoindre en devenant à votre tour abonné dePlantes & Bien-Être : refaire de notre planète un monde où il ferait bon vivre, en permettant à chacun de connaître les plantes qui l’entourent et leurs vertus pour retrouver son indépendance, sa liberté, et sa santé ; et aussi se reconnecter à la Nature que nous pillons et polluons aujourd’hui sans états d’âme.

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Abonnez-vous à Plantes & Bien-Être pour faire profiter votre entourage, nos jeunes, et profiter vous-même de tous les trésors de la nature.

Commencez tout de suite à bénéficier et à faire bénéficier vos proches des secrets oubliés des plantes et de la nature.

C’est le seul moyen de secouer le joug du système de santé tel qu’il est aujourd’hui organisé, pour le profit de quelques-uns mais contre la santé de tous.

Rendez-vous ici pour recevoir aujourd’hui votre premier numéro de Plantes & Bien-Être.

Je vous rappelle que nous envoyons en impression la nouvelle édition de Plantes & Bien-Être mercredi 24 juin à la première heure. Abonnez-vous avant mardi 23 juin minuit pour recevoir votre exemplaire.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

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Publié dans:sante |on 19 juin, 2015 |Pas de commentaires »

20 juin 1492 Martin Behaïm réalise le premier globe terrestre

 

 

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À Nuremberg, le 20 juin 1492, soit quelques semaines avant la découverte du Nouveau Monde par les Européens, le cartographe et navigateur Martin Behaïm achève la réalisation du premier globe terrestre… Ce globe, d’un diamètre d’environ 50 centimètres, est aujourd’hui conservé dans sa ville natale.

La rotondité de la Terre, mise en évidence deux mille ans plus tôt, ne fait alors de doute pour personne. Il faudra néanmoins attendre un demi-siècle de plus pour comprendre avec Copernic qu’elle tourne autour du Soleil et n’est qu’une planète parmi d’autres.

Camille Vignolle

Ronde, la Terre ?

Bien que très doués en astronomie, lesSumériens, qui vivaient en Mésopotamie 3000 ans av. J.-C., se représentaient la Terre comme un disque plat posé sur un océan sans limite.

C’est seulement au Ve siècle av. J.-C., au temps de Périclès, que des philosophes grecs, tels que Pythagore de Samos et Parménide, commencent à se représenter la Terre sous la forme d’une sphère, cette représentation leur apparaissant cohérente avec la courbure de l’horizon.

Vers 230 av. J.-C., l’astronome et mathématicien Ératosthène confirme avec brio la rotondité de la Terre et, qui plus est, mesure sa circonférence avec une remarquable précision.

- Dans un premier temps, il repère au solstice d’été le moment où le soleil est à son zénith et atteint le fond d’un puits à Syène (aujourd’hui Assouan, en Égypte),

- Dans un deuxième temps, le même jour de l’année, au même moment, il mesure à Alexandrie, à un millier de kilomètres plus au nord, l’ombre portée par un bâton.

Connaissant la distance entre les deux villes et négligeant la différence d’inclinaison des rayons du soleil, il en déduit avec une remarquable précision que notre planète a une circonférence de 250.000 stades, soit pratiquement 40.000 km, valeur aujourd’hui admise.

De la Géographie de Ptolémée à Imago Mundi

La Géographie de Claude Ptolémée, un Grec d’Alexandrie (90-168), reprend les conclusions des savants antérieurs. Grâce à cet ouvrage bien connu des érudits du Moyen Âge, la rotondité de la Terre va être enseignée dans les Universités occidentales dès le XIIIe siècle et il n’y aura guère que des religieux sectaires ou des ignorants pour la nier ou l’ignorer.

En 1410, le théologien français Pierre d’Ailly publie un ouvrage de cosmographie appelé à une grande diffusion : Imago Mundi. Sans cesse réédité et enrichi pendant tout le XVe siècle, cet ouvrage synthétise la vision médiévale du monde.

Selon Imago Mundi, les terres émergées, toutes regroupées dans la moitié nord du globe terrestre, sont entourées d’un immense fleuve, la « mer Océane ». Il est parsemé d’îles dont chacune a une singularité, avec des habitants tels que les Pygmées, lesCyclopes, les Cynocéphales (hommes à tête de chien), les anthropophages etc. L’équateur marque la limite au-dessous de laquelle il est impossible aux hommes d’accéder.

Erreur féconde

À l’époque de Christophe Colomb, les érudits, marins et géographes connaissent aussi bien Imago Mundi que la Géographie de Ptolémée. Ils s’interrogent seulement sur la largeur de la « mer Océane » qui est censée séparer l’Europe de l’Asie.

Or, Ptolémée, dans sa célèbre Géographie, a retenu pour la circonférence de la Terre une valeur nettement inférieure à celle d’Ératosthène, de l’ordre de 180.000 stades ou 33.000 km.

Sur cette base, l’astronome florentin Paolo Toscanelli réalise, en 1468, à l’attention du roi du Portugal, une carte qui montre l’Europe séparée de l’Extrême-Orient par un océan de seulement 10.000 km de large, avec en son milieu une île mythique du nom d’Antilla !

Cela va induire en erreur Christophe Colomb : en sous-estimant gravement la distance qui sépare, à l’ouest, l’Europe de l’Extrême-Orient, le navigateur génois va oser entreprendre le voyage qui l’amènera à découvrir un Nouveau Monde.

 http://www.herodote.net/20_juin_1492-evenement-14920620.php

COMMENT J’AI APPRIS À CESSER DE SOUFFRIR

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TRANSMIS PAR BYRON KATIE

Quand j’étais dans les débuts de la quarantaine, je dormais avec une arme chargée sous mon lit. J’étais devenue très déprimée durant ma trentaine, et pendant presque une décennie, je sombrais dans la paranoïa, la rage, la haine de moi, et les pensées de suicide. Je pesais alors plus de 90 kilos (je mesure 1,65m), et durant les deux dernières années, j’étais souvent incapable de quitter ma chambre.

Puis, un matin, en février 1986, sorti de nulle part, j’ai vécu une réalisation. En un instant, j’ai découvert que lorsque je croyais mes pensées stressantes, je souffrais, mais quand je les interrogeais, je ne souffrais pas. Je découvrais aussi un moyen simple de questionner mes pensées stressantes. Je l’appelais Le Travail. Je trouvais une joie en moi qui ne m’a jamais quitté depuis, pas un seul instant. Cette joie est en tout le monde, toujours.

La souffrance est facultative. La seule fois où nous souffrons c’est quand nous croyons qu’une pensée rivalise avec la réalité. Quand l’esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons.

Si vous souhaitez que la réalité soit différente de ce qu’elle est, autant essayer d’enseigner à un chat comment aboyer. Malgré tous vos efforts, vous vous retrouverez à la fin devant un chat qui vous dévisagera en faisant: « Miaou ». Vous pourrez passer le reste de votre vie à tenter de le faire, mais vouloir apprendre à un chat à japper est tout simplement futile.

Si vous prêtez attention, vous remarquerez que vous êtes constamment en train d’essayer d’enseigner aux chats comment aboyer. « Les gens devraient être plus aimables », « mes enfants devraient mieux se comporter », « mon mari (ou ma femme) devrait être d’accord avec moi », « je devrais être plus mince (ou plus jolie ou avoir plus de succès) ». Ces pensées sont des façons de vouloir que la réalité soit différente de ce qu’elle est. Si vous pensez que cela semble déprimant, vous avez raison.

De nouvelles personnes qui commencent Le Travail me disent souvent: « Mais cela m’enlèverai tout pouvoir d’arrêter d’argumenter avec la réalité. Si j’accepte tout simplement la réalité, je vais devenir passif. Je peux même perdre l’envie d’agir ». Je leur réponds par une question: « Pouvez-vous vraiment savoir ce qui est vrai? » Ce qui est le plus stimulant, « Je voudrais ne pas avoir perdu mon emploi » ou « j’ai perdu mon emploi, que puis-je faire maintenant? »

Le Travail révèle que ce que vous pensez que ce qui n’aurait dû pas se produire, aurait dû se produire. Cela aurait dû se produire parce ce que cela s’est produit, et aucune pensée dans le monde ne peut rien y changer. Cela ne signifie pas que vous le tolérez ou l’approuvez. Cela signifie simplement que vous pouvez voir les choses sans résistance et sans la confusion de votre lutte intérieure.

Personne ne veut voir ses enfants tomber malade, personne ne veut être victime d’un accident de voiture. Mais lorsque ces choses se produisent, comment peut-il être utile de remettre en question ces faits et de nous considérer comme des victimes de la réalité? Nous savons mieux que de faire cela, mais nous le faisons, parce que nous ne savons pas comment l’arrêter.

Je veux même que rien se passe, sauf ce qui se passe. Par exemple, ma mère âgée de quatre-vingt-ans, se mourait d’un cancer du pancréas. Je prenais soin d’elle, faisais la cuisine et le ménage pour elle, dormais à côté d’elle, vivais dans son appartement vingt-trois heures par jour. (Mon mari m’emmenait faire une promenade chaque matin.) C’était comme si sa respiration était le pouls de ma vie. Je la baignais, lui lavais les endroits les plus intimes, lui donnais ses médicaments, et je ressentais une telle intimité avec elle. Il n’y avait pas de séparation. C’est moi là, en train de mourir du cancer, en train de passer mes derniers jours à dormir et à regarder la télévision et de parler, médicamentée avec les plus merveilleux médicaments contre la douleur. Je suis étonnée de la beauté et les subtilités de son corps, mon corps. Et le dernier jour de sa vie, tandis que je m’asseyais à son chevet, un changement a eu lieu dans sa respiration, et je su: c’est seulement une question de minutes maintenant. Nos regards se sont croisés et quelques instants plus tard, elle était partie. Je regardais plus profondément dans ses yeux que l’esprit avait libérés, les yeux stupides, aux yeux de la non-mental, et parce que je ne crois plus à des pensées comme « La mort est une mauvaise chose » ou « je l’ai perdue », je ne ressens que de l’amour et de la gratitude pour elle. Il n’y a aucune empreinte de chagrin. Et durant les trois ans qui ont suivi sa mort, je suis toujours dans l’attente de du chagrin.

Un homme colle un pistolet dans mon estomac, actionne le chien, et dit: « je vais te tuer ». Je suis choquée qu’il prenne si sérieusement ses pensées. Ce qu’il ne comprend pas c’est que la pensée de tuer cause de la culpabilité, ce qui peut conduire à une vie de souffrance. Alors je lui demande, aussi gentiment que possible, de ne pas le faire. Je ne lui dis pas que c’est à sa souffrance que je pense. Il dit qu’il doit le faire, et je le comprends. Je me souviens que je croyais devoir faire certaines choses dans mon ancienne vie. Je le remercie de faire du mieux qu’il peut et je remarque que je suis fascinée. Est-ce la façon dont elle meurt? Est-ce la façon dont l’histoire se termine? Comme la joie continue à me combler, je trouve miraculeux que l’histoire se déroule toujours. Vous ne pouvez jamais savoir la fin, même lorsqu’elle se termine. Je suis très émue à la vue du ciel, les nuages, les arbres et le clair de lune. J’adore le fait que je ne manque pas un seul instant, pas un souffle de cette vie incroyable. J’attends. Et j’attends. Et à la fin, il ne tire pas sur la gâchette. Il ne se fait pas cela.

Byron Katie

Titre original: How I Learned To Stop Suffering

Un grand merci à Philippe pour la traduction de ce texte

Vous êtes nombreux à reprendre nos textes en français.

Merci d’en indiquer la source avec le lien activé: http://www.humanitysteam.fr

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de citer le site:http://elisheanportesdutemps.terrenouvelle.ca

Publié dans:mystique sagesse |on 16 juin, 2015 |Pas de commentaires »

La France pittoresque : l’histoire des pigeons voyageurs

 

 

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Pigeons voyageurs (Les) :
messagers durant les guerres

(D’après « Le Magasin pittoresque », paru en 1872)

Lors du siège de Paris en 1870-1871, les ballons ont permis à la capitale d’envoyer des messages en province, aux amis du dehors ; mais pour que le système de la poste aérienne fût complet, il fallait que le chemin du retour fût assuré comme celui de l’aller. C’est le bon office qu’ont rendu les pigeons voyageurs.

L’usage des pigeons messagers se perd dans la nuit des temps. Sans parler de l’arche de Noé et de la colombe au rameau béni, nous rappellerons l’histoire de la première croisade, pendant laquelle le sultan de Damas envoya aux assiégés de la ville de Tyr un pigeon annonçant à ceux-ci qu’une armée allait arriver à leur secours. Ce pigeon tomba entre les mains des croisés, qui enlevèrent le message léger attaché à la patte de l’oiseau, et le remplacèrent par un billet où ils faisaient dire au sultan de Damas que, vaincu et terrassé, il lui était impossible de venir délivrer la ville assiégée.

La suite ici :  http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article1357

expression : Un apothicaire sans sucre

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Personne n’ayant pas les choses nécessaires pour sa profession

Avant que le sucre devînt commun, on ne l’employait guère que comme remède.

Un apothicaire sans sucre était un apothicaire dont la boutique était mal fournie. Cette façon de parler s’applique à tout autre marchand qui n’est pas assorti.

Le plus ancien compte où il soit fait mention de sucre en France, est de l’année 1333. Le sucre fin ou raffiné se tirait de l’Orient par la voie d’Alexandrie ; il était apporté par les Italiens, qui faisaient presque seuls le commerce de la Méditerranée.

Peut-être ceux-ci en fabriquaient-ils chez eux ; car il y a plusieurs témoignages que, vers le milieu du douzième siècle, les Siciliens avaient transporté de leur île des cannes à sucre.

Lorsqu’au commencement du quinzième siècle le prince Henri de Portugal voulut cultiver Madère que ses vaisseaux avaient découverte, il y fit planter des cannes à sucre tirées de Sicile.

De Madère, les Portugais, par la suite, en transportèrent au Brésil : l’Espagne suivit cet exemple ; elle introduisit dans les royaumes d’Andalousie, de Grenade, de Valence et aux Canaries la culture dont nous parlons.

En 1545, Ovando, gouverneur de Saint-Domingue, tira des Canaries une certaine quantité de cannes à sucre qu’il fit planter dans son île. Grâce à la fertilité du climat, elles y prospérèrent tellement, que bientôt leur produit fut une des principales richesses des colons.

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article7858

la pensée du jour : le temps

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« Dans la vie spirituelle, on ne doit jamais s’inquiéter du temps qu’il faudra pour obtenir des résultats, mais seulement se demander si on est bien toujours en train d’avancer sur le chemin de la lumière. Du moment qu’on a acquis la certitude de marcher sur ce chemin, le temps n’a pas d’importance et on ne doit poser aucune condition. Il faut seulement continuer à marcher.

Quelqu’un dira : « Mais avant d’arriver au but, je serai déjà vieux ! » Eh bien, cela non plus n’est pas à prendre en considération. Sinon, vous ne ferez rien et vous deviendrez quand même vieux. La vieillesse, personne ne peut y échapper : quoi qu’on fasse, on devient vieux. Et puisque la vieillesse est inévitable, croyez-moi, il vaut mieux être vieux avec la lumière, avec la beauté, avec la force, avec l’intelligence et avec l’amour, qui donnent tout son prix à la vie. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 14 juin, 2015 |1 Commentaire »

Tous ensemble pour le meilleur

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Il est intéressant de constater que dans une période de crise que la France et le monde entier traversent, où tout est remis en question, à commencer par les fondements dont le rôle est de  valoriser l’être humain, les idées germent ici et là pour compenser ces pertes.

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Des gens, souvent lambda, nous invitent, à décorer nos rues et nos balcons, à peindre et décorer nos murs que ce soit par l’art des rues, l’art du bois, l’art sur verre, sur métal, ancien ou moderne ou encore naïf et venu des quatre coins du monde et nous avons accès à toutes ces merveilles grâce à internet, facebook et tous les supports, pourtant souvent décriés mais qui mettent à notre portée la connaissance en tout genre.

Artist Anatoliy Kozelsky - Ukraine996139_948122571875902_3906953225317331165_n

Cette vidéo nous montre l’esprit inventif de certains qui mettent à notre disposition des moyens très simples pour embellir notre quotidien et plus encore, font l’éloge du vivre ensemble en se rencontrant et en oeuvrant tous de concert.

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https://www.facebook.com/kisskissbankbank/videos/10152774463446537/

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