Archive pour avril, 2015

expression :sans bourse délier

 Bourse20argent-forex

Sans bourse délier Sans payer- Sans qu’il en coûte rien.

Origine

En 1690, lorsque cette expression est apparue, les billets de banque n’existaient pas encore en Europe, contrairement à la Chine. Seule la monnaie métallique était en circulation, et l’objet dans lequel on transportait ses pièces était une bourse fermée par un cordon coulissant et/ou noué.

Donc, pour payer quelque chose, il fallait  ’délier’ le cordon de sa bourse afin d’en sortir la monnaie nécessaire.

Il est alors aisé de comprendre que, si on ne déliait pas sa bourse, c’est qu’on ne payait rien, que ce soit parce que l’objet convoité était gratuit ou, fréquemment, volé.

Extrait de Expressio

Le pays du peuple choisi…

 israelth trompette

 

Le peuple juif est le peuple choisi, le corollaire est que Israël doit appliquer un standard plus élevé, avoir un comportement plus moral, que le reste des Etats du monde.

Chaque action exceptionnelle d’Israël, comme par exemple la création d’hôpitaux de campagne le long de la frontière avec la Syrie destinés à soigner toute personne qui se présente – en s’abstenant de chercher à savoir s’il s’agit d’un terroriste, d’un rebelle, d’un combattant de l’Etat islamique ou d’un civil – est tout juste considérée par le monde comme un acte banal, et les médias ne jugent pas pertinent d’en parler.

A l’inverse, chaque action controversée, même si d’autres pays, en pareille situation, se conduisent de façon radicalement plus agressive, est jugée inacceptable et condamnable venant d’Israël.

Quand Israël fait le bien, c’est normal. Quand il ne le fait pas, c’est criminel.

Combien de Juifs ont-ils la force de vivre cette injustice ?

http://jssnews.com/2015/04/09/le-pays-du-peuple-choisi/

Une belle leçon de civilisation

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Cette tribu d’Amazonie découvre pour la première fois la civilisation occidentale et leur réaction est vraiment émouvante.

http://soomotion.com/fr/tribu-amazonie-civilisation/

Publié dans:émotion, terre des hommes |on 5 avril, 2015 |4 Commentaires »

les mains sales

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Un jeune homme sollicita un poste dans une grande entreprise. Après l’entretien d’embauche de sélection, le directeur adjoint l’envoya vers le directeur général pour une dernière entrevue. Le directeur a bien regardé son CV : il était tout simplement excellent (de grandes écoles, de beaux stages…). Aussi, le DG lui a demandé : « As-tu reçu une bourse d’étude pendant ton cursus scolaire ? » Le jeune diplômé lui a répondu tout simplement « non ».

« Est-ce ton père qui a payé tes études ? »

« Oui » répondit le jeune.
« Où travaille ton père ? »
« Mon père fait des travaux de forge. »
Le directeur a demandé au jeune de lui montrer ses mains. Le jeune lui a montré une paire de mains lisses et parfaites.
« As-tu jamais aidé ton père dans son travail, ne serait-ce qu’une seule fois ? »
« Mon père a toujours voulu que j’étudie davantage. En outre, il peut mieux faire ces tâches que moi.»

Le directeur a dit :
« J’ai une demande à te faire : quand tu iras à la maison aujourd’hui, observe et lave les mains de ton père puis reviens me voir demain matin. »
Ni une, ni deux, le jeune s’empresse de prendre congé pour aller vite répondre à la requête du DG.
Quand il rentra à la maison, il se mit à chercher son père et lui demanda la permission de laver ses mains.
Son père se sentit heureux de la subite attention de son fils et les lui présenta avec bienveillance. Après un temps d’arrêt, le jeune homme entreprit de laver doucement les mains paternelles. Pour la première fois, il se rendit compte de l’état des mains de son père : elles étaient ridées et avaient tant de cicatrices qu’il pouvait à peine toutes les compter. Certaines d’entre elles étaient encore à vif et quand il avait le malheur d’y toucher, son père tressaillait de douleur.

Pour le jeune homme, ce fut comme un seau d’eau glacée lancé en plein visage ! Il se rendit peu à peu compte du sacrifice de son père. Car chacune de ces cicatrices représentait le prix à payer pour SON éducation, SES activités de l’école et SON futur.

Après avoir fini de nettoyer les mains de son père, le jeune commença à mettre de l’ordre dans l’atelier. Cette nuit-là fut un magnifique moment ‘père et fils’ durant lequel ils parlèrent très longtemps.
Au matin suivant et comme prévu, le jeune est retourné voir le directeur.
Ce dernier s’est vite rendu compte des larmes dans les yeux du jeune homme. Aussi lui-a-t-il demandé : « Peux-tu me dire ce qui te fait pleurer et ce que tu as appris hier en rentrant chez toi ? »
Le jeune a répondu : « j’ai nettoyé les mains de mon père puis j’ai fini par ranger son atelier… mais ce n’est pas le plus important. Je sais maintenant reconnaître ce qui mérite d’être apprécié. Sans mon père, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui. En aidant mon père, je me suis rendu compte de la dureté de son labeur et de mon arrogante indifférence. Aujourd’hui, j’apprécie son sacrifice à sa juste valeur et le trésor qu’est l’aide familiale.
Le directeur a dit : « Voilà ce que je cherche chez mon personnel. Je veux engager des personnes pouvant apprécier l’effort fourni par les autres, des personnes qui ont conscience de la souffrance d’autrui, des personnes qui ne mettent pas l’argent comme seul objectif dans la vie… Tu es embauché ».

Un enfant trop protégé à qui les parents donnent tout ce qu’il veut, développe « une mentalité de droit » et ignore les sacrifices qu’il a fallu faire pour en arriver là! Si vous vous reconnaissez dans ce type de parents protecteurs, pensez-vous agir pour le bien de vos enfants ou au contraire, les guider sur le mauvais chemin?

Vous pouvez donner à vos enfants ce qu’ils souhaitent le plus au monde : une maison chaleureuse, un bon repas, une grande école, un téléphone portable dernier cri… Quand vous devez faire le ménage ou peindre une chambre, pensez tout simplement à les mettre à contribution. Après avoir mangé, qu’ils lavent et rangent la vaisselle entre frères et sœurs pour apprendre la vraie valeur de l’entraide et les qualités nécessaires pour mener une belle vie. Un jour, quand vous aurez les cheveux bien blancs, vous serez heureux de voir vos enfants épanouis, suivre votre exemple et apprendre à leurs propres enfants l’expérience de la difficulté et l’importance du travail en groupe!

Source: http://www.rougeframboise.com/

Publié dans:émotion, Les héros oubliés |on 5 avril, 2015 |5 Commentaires »

la pensée du jour : resurrection

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« La forme compacte du cube a fait de lui un symbole de la stabilité, et également une figure de la limite, de l’enfermement, de la prison. Mais s’il s’ouvre et se développe en croix, on assiste à une sorte de libération. Oui, c’est pourquoi nous ne devons pas voir dans la croix seulement un instrument de souffrance et de mort ; elle est aussi un symbole cosmique qui exprime toutes les possibilités de la vie.

Dans le texte même des Évangiles, la mort de Jésus est suivie de sa résurrection. Pourquoi ? Parce qu’une mort n’est pas une fin, elle est une étape nécessaire qui prépare une résurrection. Évidemment, il faut comprendre ici la résurrection d’un point de vue symbolique et spirituel, non d’un point de vue physique. La résurrection suppose d’abord la mort, et elle vient ensuite comme un processus de transformation qui se fait par phases successives. Elle peut donc être assimilée à une nouvelle naissance. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 3 avril, 2015 |Pas de commentaires »

Les bijoux de la langue française

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trouvé sur FB

Laurent Develle

Pour les férus de la langue française, un petit bijou que vous ne connaissiez peut-être pas.

· Le plus long mot palindrome de la langue française est « ressasser ». C’est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens.

· « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e ». C’est-à-dire qu’il ne comporte aucun « e ».

· L’anagramme de « guérison » est « soigneur » C’est-à-dire que le mot comprend les mêmes lettres.

· « Endolori » est l’anagramme de son antonyme « indolore », ce qui est paradoxal.

· « Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette ».

· « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul !

· Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».

· « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d’être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle. Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l’amour au pluriel.

C’est ainsi !

· « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] .

« oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles. Eh oui !

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