les souvenirs de l’école primaire

Dans quelques jours, le peuple juif fêtera la sortie d’Egypte, la fin de l’esclavage, la conquête de la liberté et le long chemin parcouru pour trouver la Terre promise pour les enfants héritiers de nos Patriarches Abraham et Isaac et Jacob. Une longue route parcourue non seulement face aux ennemis embusqués sur le chemin mais surtout difficile en raison des sceptiques, des défaitistes et des renégats.
Ils étaient déjà là ceux qui avaient rejoint Moise non par soif de liberté mais simplement poussés par les circonstances, non par idéologie juive mais par manque de choix, non pas les enfants d’Israël mais le «Erev rav» ce ramassis d’individus sans foi et poussés par les événements ou repoussés par les égyptiens.
Ils étaient déjà là ceux qui refusaient de sauter devant la Mer qui s’ouvrait devant eux. Certains pleuraient l’exil et voulaient se rendre au Pharaon et lui demander sa clémence, certains priaient et ne prenaient pas part à la décision de ceux qui sautaient dans la mer et se préparaient au combat.
Ils étaient déjà présents ceux qui oubliaient les miracles et en appelaient au pragmatisme politique, diffusaient les fausses nouvelles et calomniaient les dirigeants. Déjà là ceux qui prétendaient que le vrai problème à résoudre ne consistait pas dans l’édification de la Nation et sa défense mais était alimentaire. Le gout de la manne n’était pas assez succulent, et celle qui devait tomber le lendemain pas assez assurée. Déjà là, les impatients qui oublièrent Moise et ne croyaient pas à son retour avec les tables de la loi et s’empressèrent «maintenant» de construire un veau d’or et servir des idoles et des idéologies étrangères. Et pendant que les enfants d’Israël chantaient, eux se lamentaient. Ils ont retardé notre entrée en Terre Promise car ils voyaient les ennemis plus grands qu’ils ne l’étaient vraiment et il fallut attendre l’extinction de cette génération du désert.
Ils étaient déjà là et ils s’appelaient « la Gauche ».
Ils n’avaient pas voulu sortir d’Egypte, ils furent forcés d’avancer. Ils ne voulaient pas de cette loi divine qui risquait de leur attirer les foudres de tous les idolâtres, des « puissants » de ce monde mais ils n’eurent pas le choix.
Ils n’avaient pas la foi dans les miracles de Moise et Josué mais durent néanmoins combattre.
La Gauche défaitiste, pessimiste et vaincue avant même que la bataille ne soit commencée.
Cette gauche qui refusait l’appel de Jabotinsky de quitter l’exil et de prévenir la Shoa que notre Maître visionnaire décrivait.
Cette gauche qui s’appelle « la Paix maintenant », Betselem, J. street ou qui se donne parfois le nom de « Camp sioniste » pour se camoufler et entraver notre avance.
Même victorieux, leurs généraux s’excusent et se posent des questions sur le bienfondé de leurs combats gagnés. Ils sont dans le doute permanent et arrivent même à contaminer la Droite !
Et pourtant, le peuple juif avance malgré cet handicap ! Il avance sur tous les fronts, franchit la Mer Rouge, reste fidèle à la loi reçue au Sinaï et jure fidélité à Jérusalem. Il libère les terres à l’ouest du Jourdain, remporte des victoires militaires, devient un centre mondial de technologie et de start-up, tient tête aux puissants de ce monde.
Au dernier moment, notre peuple trouve la volonté et l’énergie nécessaire pour déjouer les sondages et maitriser son destin.
Effectivement ce dernier scrutin en est la meilleure illustration. Un premier ministre totalement impopulaire, des dollars et des euros comme s’il en pleuvaient par l’intermédiaire d’ONG financées par les puissances étrangères, une presse hostile de journalistes qui ne représentent que quelques pourcents de la population mais cent pourcent de cette profession, des spécialistes en communication dépêchés par l’islamiste de la Maison Blanche, des menaces non voilées pour qui ne voterait pas selon les desiderata de Washington et pourtant…la victoire de Netanyahou et du camp national.
Un journal au nom inapproprié (Haaretz) titrait; «Il faut changer le peuple» alors qu’en fait c’est ce journaliste qui a déjà changé de peuple.
Les enfants d’Israël ont voté pour la victoire de la réalisation sioniste. Ils ont voté pour la justice sociale et économique comme nous l’ont enseigné nos Prophètes, pour la souveraineté juive sur toute la Terre d’Israël, pour la fierté nationale et la victoire du drapeau bleu blanc. Ils ont voté et démontré que les campagnes d’intoxication médiatique de nos« élites journalistiques » et que les imprécations de la Maison Blanche n’avaient pas de prise sur eux.
Un peuple merveilleux dont nous devons être fiers !
Il ne reste plus qu’à tirer les leçons de notre Histoire et de la Hagada de Pesah ‘.
Ceux qui sont restés dans l’exil ont disparu.
Frères Juifs de France et d’Europe, frères Juifs encore en Exil, entamez la route du Retour, rejoignez la Terre Promise, venez participer à l’écriture de l’épopée sioniste et assurer la pérennité juive de vos enfants.
Formulons des vœux pour que le nouveau gouvernement israélien soit fidèle à la volonté du peuple, résiste à toutes les pressions et ne nous déçoive pas. Puisse Netanyahou continuer dans sa position de Premier Ministre à tenir les mêmes propos que ceux qu’il avait tenus comme candidat ! Puisse-t-il être conforme à l’idéal jabotinskyen et se présenter devant les nations « comme un Lion devant des lions ».
A notre peuple revenu sur sa Terre, à nos soldats sur terre, mer et air, à nos pionniers en Judée et en Samarie, à nos frères exilés sur le chemin du Retour, à nos amis dans le monde qui soutiennent le juste combat d’Israël, à vos familles :
« Hag Herout sameakh, joyeuses fêtes de Liberté ».
Jacques KUPFER
« On rencontre de par le monde une foule de gens qui ne cessent de se plaindre d’avoir été trompés, abusés et déçus par d’autres.
Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas encore compris que les humains ne peuvent répondre à leur confiance qu’en fonction de ce qu’ils sont. Ce n’est pas parce que vous croyez pouvoir attendre d’eux honnêteté, fidélité, qu’ils sauront se montrer honnêtes et fidèles. Il faut donc réfléchir et bien étudier la question. Si vous ne savez pas choisir les personnes auxquelles vous voulez vous confier, demander conseil ou vous associer, ne vous étonnez pas d’avoir ensuite de mauvaises surprises.
Vous vous sentez trompé, trahi ? Malheureusement les personnes, elles, pouvaient être de bonne foi ; elles ont seulement agi avec les facultés, les possibilités qui sont les leurs. C’était à vous d’être plus lucide et de ne pas placer sans réflexion vos espoirs en elles. »
Trouvé sur le mur fb de : L’univers de Jean Rochette
Vous connaissez sûrement le jeu du téléphone où chacun répète dans l’oreille d’un autre une phrase initiale qui se trouve, en bout de ligne, complètement transformée.
Pourtant, le message initial était clair.
C’est qu’en fait, au-delà de la donnée objective, nous avons tous des filtres qui mettent l’accent sur telle ou telle dimension de ce que l’on voit ou entend.
C’est la raison pour laquelle les témoins d’un accident ne reporteront pas la même chose, même s’ils ont assisté à la même scène.
Est-ce qu’il est important de voir tous la même chose?
Bien sûr que non. Du moins tant et aussi longtemps que l’on ne veut pas à tout prix que notre perception soit la bonne.
Combien de querelles pourraient être évitées si l’on acceptait tout simplement que notre réalité n’est pas la même que celle des autres?
Combien de malentendus pourraient être réglés facilement si l’on intégrait enfin qu’on ne voit jamais rien clairement mais uniquement avec nos propres filtres?
Même en utilisant un appareil d’enregistrement des faits, nous n’y verrons pas la même chose au visionnement ou à l’écoute.
Nous ne voyons pas. Nous percevons.
Et, il faut bien le dire, entre voir et percevoir, il y a souvent tout un écart.
En acceptant cela, la perception de l’autre, loin d’être source de conflit, pourrait dès lors devenir source de richesse.
J’enrichirais l’autre de ma perception et il m’enrichirait de la sienne.
Vraiment, entre voir et percevoir, il y a l’écart de la rencontre possible.
Celle où l’on peut se dire mutuellement et humblement:
Comment tu vois ça?
De nos jours, si la fête associée à la « pendaison de crémaillère » existe bien toujours, il y a belle lurette que l’objet à l’origine de cette expression a disparu de nos foyers.
Au XVIe siècle, la cuisson des plats se faisait principalement dans l’âtre du foyer, la marmite étant suspendue à une crémaillère permettant de régler la hauteur du récipient au-dessus du feu.
Je rappelle qu’à l’époque, le peuple devait souvent se contenter d’ une pièce au sol en terre battue, des fois partagé avec les bêtes.
Il n’empêche que la construction de la maison était une activité à laquelle la famille, les amis et les voisins participaient de bon coeur. Pour les en remercier et fêter leur entrée dans leur nouveau foyer dans lequel l’indispensable crémaillère venait juste d’être enfin installée, parmi les quelques autres travaux de finition, les heureux occupants ne manquaient pas d’organiser un repas ou une fête où leur toute nouvelle crémaillère pouvait enfin être étrennée.
Et c’est depuis cette époque que perdure notre expression, malgré la disparition définitive de l’objet.
Extrait de Expressio
En cette veille du début du mois de Nissan dans le calendrier juif et à l’approche des fêtes de Pessah, des centaines de milliers d’Israéliens se sont rendus dans les différents cimetières du pays pour se recueillir sur les tombes de leurs proches disparus. C’est le cas de Binyamin Zohar qui, depuis le décès de sa femme « Viola » il y a un an, se rend chaque début de mois au cimetière Ségoula de Petach Tikva.
L’homme âgé de 80 ans prend place devant la stèle assis sur son siège en attendant désespérément l’arrivée de dix hommes, condition indispensable selon la loi juive, pour répondre au Kaddish, la prière des morts.
Une suite émouvante se trouve sous le lien ci-dessous :
« Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l’entendre comme récompense et non comme but. »
« Les humains croient posséder un grand pouvoir sur eux-mêmes : ils feront n’importe quelle bêtise, mais cela n’aura aucune conséquence, il leur suffira, pensent-ils, d’un effort de la volonté pour avoir la conscience tranquille. Les pauvres, ils auront vite fait de mesurer l’étendue de leur pouvoir ! S’ils ont mal agi, quoi qu’ils fassent, quelque chose en eux va de plus en plus s’obscurcir, s’effriter.
Celui qui veut avancer dans la vie avec assurance et en sécurité, doit soumettre ses pensées, ses sentiments et ses actes aux lois de la droiture, de l’intégrité, du désintéressement. Dès qu’une de ces lois est transgressée, il perd ses pouvoirs. Il ne les retrouve que s’il répare ses erreurs et reprend la bonne direction.
On reconnaît un véritable spiritualiste à ce que non seulement il prend rapidement conscience de ses erreurs, mais il s’empresse aussi de les corriger. Voilà où est son pouvoir : dans le fait d’admettre qu’il s’est trompé et dans ses efforts pour redresser aussitôt la situation. »
Quelle belle leçon de vie!
Un authentique retour à la terre. Direction Riec-sur-Belon pour découvrir l’univers de Jean-Bernard Huon, agriculteur. Chez lui, le temps semble comme arrêté. Ni tracteur, ni salle de traite, ni ensileuse. C’est un choix de vie. Avec 15 hectares, une dizaine de vaches et des cochons, il est heureux en semant et labourant à l’ancienne.
En savoir plus sur http://liable.fr/index.php?do=/core/index-member/customize/#PkUDycCuVOcOGzy0.99
La Bible est notre patrimoine à tous et nous pouvons y trouver des enseignements, par exemple sur la force des femmes:
http://www.dreuz.info/2015/03/les-femmes-de-la-bible-sont-tout-sauf-des-petites-choses-fragiles/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29