des visages inoubliables
Elle parcourt le monde pour photographier la beauté au féminin dans toute sa diversité. Magnifique !
http://positivr.fr/atlas-de-la-beaute/
Elle parcourt le monde pour photographier la beauté au féminin dans toute sa diversité. Magnifique !
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« Ésaü, affamé, cédant son droit d’aînesse à son frère Jacob en échange d’une assiette de lentilles, vous connaissez certainement cet épisode de l’Ancien Testament. C’est évidemment un récit symbolique qu’il faut interpréter.
Ésaü représente l’être humain prêt à sacrifier cette dignité (symbolisée par le droit d’aînesse) qui lui donne un très grand prix aux yeux de son Père céleste en échange de plaisirs immédiats (le plat de lentilles). Car la faim est synonyme de tous les appétits, de toutes les convoitises. Combien d’autres faims que la faim physique réclament d’être assouvies et font perdre aux humains leur droit d’aînesse, leur dignité de fils de Dieu!
Chaque fois qu’un être cède à un instinct – et pas seulement la gourmandise, mais la sensualité, la colère, la jalousie, l’ambition, la haine… – il vend son droit d’aînesse, sa royauté intérieure, pour un plat de lentilles, et il s’appauvrit, il se soumet, il devient esclave. En échange de quelque chose qui n’en vaut pas la peine, il abandonne un bien extrêmement précieux en lui: la vie divine. »
« Pensées Quotidiennes 2015″, 18 février – Éditions Prosveta -www.prosveta.fr, www.prosveta.com
Quand j’entends les réflexions faites par le commun des mortels mais aussi par les dirigeants, concernant les juifs et leur départ pour Israël, je me rends compte combien peu de gens comprennent l’histoire des juifs et ce que c’est qu’être juif.
Comme tous les peuples, les juifs ont eu une patrie pendant environ 700 ans mais l’histoire a voulu qu’ils en aient été chassés et que pendant 2.000 ans ils ont vécu en galoute (exil)
Le peuple juif a ceci de particulier que son origine n’est pas le fait de guerres ou de conquêtes, mais tourne autour d’une idée religieuse, un message reçu de D-ieu donnant Ses consignes et Ses lois au peuple qui avait accepté de L’honorer.
Donc l’idée première est religieuse.
Si pendant 2.000 ans les juifs ont pu pratiquer leur religion en dépit de tout, ils ont pérennisé une histoire qui s’articulait autour des commandements reçus du Divin.
Pendant ces 2.000 ans, pas une virgule n’a été changée ou déplacée dans les écrits détenus, tout ceci pour ne pas altérer ou changer ne serait ce que d’un iota le sens des consignes venues d’en haut.
Il y a eu durant ces 2.000 ans un respect total de la religion et personne ne se serait avisé alors d’arranger les lois selon ses convenances personnelles.
C’est au « siècle des lumières » que les portes se sont ouvertes pour eux et leur ont permis de sortir des ghettos dans lesquels ils vivaient et qui les protégeaient de tout contact avec l’extérieur et de la promiscuité avec « l’autre » ce qui rendait quasiment impossible de respecter les règles dans leur ensemble.
Car oui, la religion juive est très stricte sur certains points et très précise sur ce qui doit être fait et sur ce qu’il est interdit de faire et lorsque l’israélite vit en contact avec le non -juif, il est forcé, à un moment ou à un autre, d’enfreindre les lois de la torah.
A partir du moment où on se sent obligé de faire certaines concessions, on met le doigt dans un engrenage qui ne s’arrêtera jamais, c’est seulement une question de temps.
L’histoire aidant, les juifs ont obtenu la nationalité du pays dans lequel ils résidaient ce qui, apparemment, faisait d’eux des « citoyens comme les autres » et il est devenu très vite impossible d’être un juif selon la Halara (la loi)
A notre époque, certains juifs (les religieux) qui vivent dans leur pays d’adoption se considèrent d’abord comme juif et ensuite comme (français par exemple) d’autres que nous dirons plus « modernes » se sentent d’abord français et ensuite seulement juif
Enfin, les derniers ayant tout oublié ou presque de leurs origines se considèrent comme français et c’est tout.
Seulement l’histoire est là pour rappeler, surtout à ces derniers, que s’ils ont oublié leurs racines, il y aura toujours quelqu’un pour les leur rappeler (sale juif).
Je suis née en France, de parents et grands – parents français et j’y ai vécu 40 ans et si je n’ai jamais senti d’antisémitisme envers moi, (et pour cause, à l’époque je n’étais pas juive) je l’ai vu rôder ici et là comme j’ai entendu aussi les sales petites phrases regrettant que Hitler « n’ait pas terminé ce qu’il avait commencé » ou encore des réflexions sur le « nez de celui-la »
La goy que j’étais a fini par se rendre compte que « la bête » sommeillait dans le cœur de beaucoup et qu’elle pouvait à tout moment se réveiller. Alors, honteuse d’appartenir au clan de ceux qui avaient dénoncé, envoyé au four crématoires, ou encore n’avaient rien fait pour empêcher cela, j’ai décidé de venir en Israël d’abord pour demander pardon de ce que des gens comme moi avaient fait à des innocents mais aussi pour demander asile et ainsi donner une identité à mon âme. Je me suis convertie et je suis depuis plus de 30 ans dans ce pays qu’on appelle « ISRAEL »
Rien n’a été difficile pour moi car transportée par un idéal hors du commun, j’ai vécu les étapes comme quelque chose de nécessaire pour atteindre le but que je m‘étais fixé. Mais cela s’appelle : réaliser son destin.
Pour les juifs, ce moment est venu, ils ne sont plus en sécurité dans « leur pays » on les tue, on les insulte, on les menace et tout se passe comme c’était à prévoir.
Ce n’est pas facile de « tout » quitter : travail, langue, habitudes, amis, facilités, aisances pour aller vivre dans un pays que l’on ne connait pas et seuls les idéalistes ou encore ceux qui prennent conscience qu’il est temps de penser sainement à ce qui aurait dû être fait depuis longtemps, sont, non seulement prêts à franchir le pas mais aussi, réussiront en Israël parce qu’ils se demanderont ce qu’ils peuvent faire pour ce pays et non le contraire.
Quand j’entends les politiques demander aux juifs de ne pas quitter la France, je suis prise d’une envie irrépressible de rire mais en même temps, une sourde colère m’envahit car ce n’est pas avec cette bande de rigolos qui gouvernent en ce moment que les juifs sont en sécurité.
Oui, les juifs ont un travail de mémoire à faire, ils doivent quitter l’endroit où ils se trouvent pour venir chercher leur véritable identité, celle pour laquelle six millions de leurs frères sont morts dans les camps de concentrations et que bien d’autres aussi sont tombés pour que, maintenant, ceux qui sont encore en exil puissent venir se réfugier en cas de danger mais aussi offrir à cette ancienne/nouvelle patrie tout ce dont elle a besoin pour continuer d’exister.
Yaël
Si vous n’êtes pas végétarien ou végan ( vous ne pouvez pas parce que……………) mais que votre conscience vous titille à cause de la souffrance animale alors, lisez ceci car non seulement cela vous aidera à déculpabiliser mais en plus, ce sera un pas vers une discipline alimentaire qui rendra plus facile votre démarche.
http://blogrimoire.tumblr.com/post/111060903977/13-trucs-a-faire-lorsquon-nest-pas-vegan-mais
« Pisser dans un violon » Ne servir à rien. Faire quelque chose de complètement inutile, inefficace.
Cette expression s’emploie très souvent dans des formes comme c’est comme si on pissait dans un violon ou bien autant pisser dans un violon ! pour indiquer l’inutilité totale de l’action ainsi qualifiée.
Pisser, mot qui vient du bas latin pissiare (pour « uriner »), n’est considéré comme vulgaire que depuis le XIXe siècle.
Auparavant, son usage était aussi naturel que la fonction elle-même, le mot uriner étant réservé au milieu médical.
De nos jours, dans le langage courant, on ne dit ni uriner, vu comme trop pédant (« Marie-Chantal, j’arrive dans deux minutes, je m’en vais d’abord uriner quelque peu »), ni pisser, trop vulgaire, mais plutôt faire pipi considéré comme acceptable et venu du monde des enfants.
Mais pourquoi une telle association ? Pourquoi un violon au lieu d’un banjo, d’une pelle à tarte ou d’une passoire ?
Telle quelle, l’expression date de la fin du XIXe siècle, et rien ne l’explique vraiment.
Mais Alain Rey suppose que le verbe pisser n’est apparu, par plaisanterie, qu’en remplacement d’un verbe comme souffler ou siffler.
La locution d’origine aurait alors été souffler dans un violon (dont on trouve effectivement une utilisation dans un numéro de l’Apiculteur de 1901), action dont l’inutilité est flagrante lorsqu’on sait que souffler dans une flûte ou une trompette permet effectivement de produire de la musique, mais qu’avec un violon, le résultat devient tout de suite nettement moins probant.
Extrait de Expressio
Même si votre existence peut vous sembler parfois chaotique ou incertaine, tout ce qui vous arrive à un sens profond.
Vous avez en effet un objectif divin et il n’appartient qu’à vous de le découvrir :
>>> Cliquez ici pour en savoir plus sur votre objectif divin
Connaître votre objectif divin vous permettra de :
- Comprendre le sens de ce qui vous est arrivé, vous arrive ou vous arrivera dans votre vie.
- Trouver le sens caché de votre existence
- Découvrir la contribution de tout ce qui vous arrive à votre chemin d’incarnation
- et surtout vous pourrez véritablement accomplir l’objectif divin qui vous est personnel et qui est la raison pour laquelle vous vivez cette incarnation ici et maintenant
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Ce que vous devez savoir, c’est que votre âme, comme toutes les autres, contribue à la beauté et au devenir de l’univers. Votre incarnation actuelle répond ainsi à un objectif particulier qui perfectionne et améliore la beauté de votre âme individuelle.
Avant votre naissance, vous avez établi un plan d’incarnation avec vos guides spirituels et votre conseil d’anciens sages.
C’est en fonction de ce plan d’incarnation que vous avez choisi la famille, la culture, l’époque et les circonstances de votre vie susceptibles de servir au mieux votre évolution spirituelle.
Le problème, c’est que si vous passez à côté de votre objectif divin, vous ne pourrez pas évoluer et vous devrez revivre les mêmes expériences et les mêmes difficultés.
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Celle qui affirme tout cela, c’est le Dr. Linda Bachman, une célèbre thérapeute qui a transformé la vie de milliers de personnes en les aidant à découvrir le sens de leur incarnation présente.
Quel est le sens de votre vie ?
Quelle est votre mission sur terre ?
Qu’êtes-vous véritablement venu accomplir ?
Si vous avez l’impression que votre vie a un sens caché qui vous échappe, si vous recherchez le sens de vos souffrances ou difficultés, la compréhension de votre objectif divin vous apportera les réponses que vous recherchez.
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Connaître sa mission de vie est un merveilleusement apaisement. Vous ne tournerez plus en rond, prisonnier des aléas de la vie, mais vous saurez exactement ce que vous devez faire pour accomplir votre destinée
Vous n’êtes pas né par hasard, votre vie n’est pas en vain, cette certitude éclairera votre incarnation présente et vous permettra d’embellir magnifiquement votre âme.
Amicalement,
Claude Cléret
Citation
« Découvrir le sens de votre vie est la plus sincère expression de votre humanité. »
~Viktor Frankl
« Chaque geste que vous imprégnez d’une idée divine s’inscrit dans les archives de votre conscience supérieure, d’où jailliront ensuite des énergies bénéfiques. Aussi modeste soit-elle, chaque fois que vous entreprenez une tâche avec la conviction de participer au bon ordre des choses, à l’harmonie qui doit régner sur la terre et dans le Ciel, elle vous fortifie.
Même dans la vie quotidienne, ce qui affaiblit les humains, c’est qu’ils ne savent pas dans quel état d’esprit s’acquitter de certaines tâches. Ou ce qu’ils ont à faire ne leur plaît pas et ils le font en bougonnant, ou ils pensent que d’autres devraient s’en charger à leur place et qu’on abuse d’eux, etc. Dans ces conditions, évidemment, la moindre obligation devient un fardeau insupportable. Cet état d’esprit qui influence très négativement leur psychisme, amoindrit aussi leur résistance physique, et ils sont rapidement fatigués.
Mais le jour où ils se mettront à l’ouvrage avec la conviction de contribuer au bon fonctionnement de l’ensemble auquel ils appartiennent, leurs efforts ne leur pèseront plus. »
« Le perce-neige qui fleurit vers la fin de l’hiver annonce la prochaine arrivée du printemps. Regardez-le : avec quelle volonté, quel courage il commande à la neige et à la terre : « Allez, écartez-vous, je veux sortir ! » Et pourtant il est fragile, il a des pétales si tendres, si délicats, un rien peut le blesser… Mais la terre et la neige lui obéissent, elles lui cèdent le passage et il sort, il fleurit. Comment fait-il pour obliger la terre à s’entrouvrir ? Il possède une force irrésistible dans sa petite tige qui commence à poindre, là, et c’est lui qui triomphe. Parce que c’est toujours l’amour qui triomphe !
Alors, et vous, ne disposez-vous pas de plus de moyens qu’un perce-neige ? Si. Seulement vous n’avez pas suffisamment de foi et de volonté pour dire aux événements, aux difficultés, aux limitations : « Allez, écartez-vous, laissez-moi le passage, je veux sortir, je veux admirer et louer le Créateur ! » Si vous persévérez comme le perce-neige, vous arriverez toujours à vous dégager et vous remporterez la victoire. »