Quand les tableaux de grands maîtres s’animent
Communication culturelle : quand le tableau La Ronde de nuit de Rembrandt, devient une scène d’action dans un centre commercial à Amsterdam !
Communication culturelle : quand le tableau La Ronde de nuit de Rembrandt, devient une scène d’action dans un centre commercial à Amsterdam !
Ce n’est pas évident d’élever des enfants à notre époque et de réussir. Cet article est très intéressant et peut aider ceux et celles qui sont un peu perdus.
http://lasolutionestenvous.com/etre-ou-ne-pas-etre-lami-de-son-enfant/
« Tranquille comme Baptiste » Très tranquille, parfaitement serein. Dégagé de tous soucis.
Cette expression ne semble être attestée qu’à partir du début du XIXe siècle.
Elle a toutefois trois origines possibles sans aucun lien entre elles.
La première viendrait du personnage de Baptiste (très souvent aussi nommé Gilles), personnage qui, à cette époque, faisait le niais dans les parades ou les farces, et qui subissait, avec un flegme quasiment britannique, les coups qui lui étaient infligés, à la plus grande joie des spectateurs.
La deuxième serait due à un acteur des premières années de la révolution (celle de 1789, bien sûr), nommé Baptiste, qui jouait parfaitement les niais tout en gardant un calme olympien et faisait rire tout Paris.
Mais dans cette époque très agitée dans toutes les classes de la société et où beaucoup perdaient la tête (au sens propre), les Parisiens qui remplissaient pourtant les théâtres, auraient eu coutume de dire « Ah, quand serons-nous tranquilles comme Baptiste ? »
Une autre viendrait de beaucoup plus loin, puisque ce serait Baptiste, le baptiseur de Jésus qui en serait à l’origine.
Il était en effet décrit par Matthieu et Luc comme un personnage se contentant de très peu de choses[1], et ne se souciant ni du passé, ni du futur.
[1] Vêtu d’un vêtement fait de poils de chameau, il avait pour nourriture des sauterelles et du miel sauvage, ne mangeait pas de pain et ne buvait pas de vin.
Extrait de Expressio
L’époque que nous vivons est intéressante dans la mesure où pas mal de choses viennent bousculer les idées reçues : écologie, végétarisme, véganisme, prise de conscience de la souffrance animale, remise en question de notre suprématie et de certaines de nos soi-disant valeurs basées, avant tout, sur une absence d’empathie envers ce qui est différent de nous et un immense égoïsme qui engendrent souvent des monstres de cruauté.
Malgré cela, des sites, des réseaux, des blogs naissent et fleurissent, nous offrant des idées, des conseils, des avis qui sont les bienvenus.
Voici un blog que j’ai trouvé et qui me parait intéressant. Bonne lecture
http://lapprentiecolo.blog4ever.com/
24 heures dans la vie de Salamata
En novembre 2013, un jeune bénévole partait réaliser un film de nos actions dans la région.
Il rencontrait Mme Salamata Diallo, à l’époque en attente de don (vidéo à revoir sur cette page).
Un an plus tard, nous avons reçu des nouvelles de Salamata et de sa famille.
Nous avons tenté de résumer, de manière aussi représentative que possible, 24 heures de la vie de cette mère de famille sénégalaise.
5h du matin, Salamata se réveille.
Elle prépare le premier repas de la journée à base de petit couscous de mil mélangé à du lait caillé ou du sucre et appelé Latchéricossam.
Elle réveille son mari et le reste de la famille pour prendre ensemble ce repas.
Vers 7h, Salamata va nourrir les animaux et achète parfois des poissons aux vendeurs ambulants.
C’est toujours sa belle fille qui écaille les poissons et les fait sécher sur l’étale devant la maison, selon la méthode traditionnelle.
A 8h, Salamata et sa belle-fille se chargent de remplir 4 bidons de 20 litres d’eau chacun à l’une des trois bornes fontaines du village.
Puis, elles partent rejoindre les autres membres de la famille aux champs.
A midi, Salamata revient dans sa maison, se rafraichit et prépare le mafé, un plat familial à base de riz, de légumes et de pâte d’arachide.
Après déjeuner, elle va prier, s’occupe des animaux puis se concentre sur sa broderie.
Elle profite souvent de ce moment pour causer avec sa famille, ses enfants, ses voisins sous un arbre à palabre.
En fin d’après-midi, elle va chercher du bois mort pour la cuisson du dîner. Elle prépare aussi souvent du Bissap (une grenadine à base d’Hibiscus).
Après le repas du soir, Salamata vérifie que les bêtes sont bien parquées, que le mil est bien moulé et étale les nattes de nuit de tous dans la cour de la maison.
http://www.elevagessansfrontieres.org/24h-de-vie-de-salamata.html
ET NOUS NOUS PLAIGNONS !
« La religion et la société ont fixé des règles de morale sexuelle sans se demander si les humains seraient capables de les appliquer. Et c’est pourquoi beaucoup parmi eux, qui ont voulu obéir à ces règles, n’y sont arrivés qu’au prix de grandes souffrances et de troubles psychiques auxquels la psychanalyse a donné le nom de refoulement. Or, le refoulement ne peut pas être une solution au problème de la sexualité. Il est dangereux de refuser à la force sexuelle son issue naturelle si l’on n’a pas un mobile puissant, des aspirations, un idéal supérieur capable de faire un travail dans les plans de l’âme et de l’esprit pour canaliser et transformer cette force.
La continence est un renoncement, bien sûr ; cependant ce renoncement ne doit pas être une privation, mais une transposition sur un plan supérieur. Il ne faut pas se priver, il ne faut pas renoncer, mais seulement monter plus haut. Voilà ce que les hommes et les femmes ont besoin qu’on leur explique quand on leur parle de la maîtrise de la force sexuelle. »
« Même parmi les croyants beaucoup se demandent pourquoi, dans les souffrances et les malheurs, Dieu ne leur vient pas en aide. Mais c’est parce qu’ils ont mis entre Lui et eux trop de barrières, trop d’idées fausses. Alors, évidemment, ils ont l’impression que Dieu est lointain, inaccessible, qu’Il ne les entend pas et ne leur répond pas. Tandis que le Diable, lui, est tout proche, il les entend et il peut les exaucer. Essayez, faites une enquête et vous verrez si les gens ne pensent pas ainsi : « Ce Dieu que l’on supplie depuis si longtemps, Il est inaccessible, sourd, endormi… Alors que le Diable, lui, est bien éveillé : dès qu’on l’appelle, il arrive. » Évidemment, car par leur façon de vivre ils ne cessent de lui ouvrir les portes, alors qu’ils les ferment au Seigneur.
En réalité, aucun être n’est aussi près de nous que le Seigneur, aucun être ne nous aime et ne veut nous aider autant que Lui ; seulement c’est à nous de nous débarrasser de tout ce qui empêche cet amour d’arriver jusqu’à nous. »
« L’être humain a été créé à l’image de l’univers et il possède donc une structure identique à celle de l’univers. Cette structure, on l’observe, par exemple, dans ses différents niveaux de conscience qui correspondent aux différents règnes de la nature. Ainsi, l’inconscient correspond aux minéraux, la subconscience aux végétaux, la conscience aux animaux, la soi-conscience aux humains et la superconscience aux surhommes et aux Initiés.
La subconscience, qui correspond au règne végétal, est très proche du monde minéral, donc de la concrétisation. C’est pourquoi une des clés de la réalisation est d’arriver à faire descendre ses projets et ses désirs du plan de la conscience jusqu’à celui de la subconscience. Pour cela, il existe des exercices très simples.
Vous souhaitez par exemple améliorer quelque chose dans votre comportement ? Avant de vous endormir, concentrez-vous sur une image, un objet précis en relation avec ce souhait : les forces subconscientes mises en action pendant le sommeil vous aideront à le réaliser. »
Le moins que l’on puisse dire c’est que nous faisons couler beaucoup d’encre.
Les « carneux » n’en démordent pas : sans viande, pas de bonne santé
Les « laiteux » en sont sûrs : sans laitage, la carence est certaine
Nous les laissons dire, sachant très bien que c’est plus la peur qui les guide qu’une information sérieuse basée sur la réalité.
Néanmoins, l’idée fait son chemin et ici et là, des articles essaient d’être honnêtes et d’informer sans « jambe de bois »
http://www.medisite.fr/conseils-nutritionnels-regime-vegetalien-miracle-ou-arnaque.742780.72.html
Origine
Chacun sait que l’expression « au pis aller » ne signifie absolument pas « aller traire la vache ».
En fait, ce pis-la date du XIIe siècle et vient du latin ‘pejus’, neutre du comparatif ‘pejor’ qui a donné ‘pire’, mot qui dans notre langue actuelle a supplanté ‘pis’ qui était aussi un superlatif de ‘mal’ et qu’on ne retrouve plus que dans quelques expressions.
‘Mieux’ est, bien sûr et depuis bien longtemps également, le superlatif de ‘bien’. La forme ‘melz’ existe depuis 881 ; elle est devenue ensuite ‘mielz’ mais aussi ‘miels’, ‘mialz » ou ‘mieulx’. ‘Mieux’ est attesté dès le début du XIIIe siècle.
Les deux locutions adverbiales, elles, datent du XVIe ou du XVIIe siècle.
Extrait de Expressio