Archive pour novembre, 2014

Un instant d’espoir

 

D’un côté, il y a notre pauvre monde, peuplé de voleurs, de menteurs d’usurpateurs, de sanguinaires, de violeurs, d’hommes et de femmes qui, de par leurs lois absurdes, anéantissent notre passé, nos traditions, nos valeurs,

Et de l’autre, des anonymes  qui, de par leur talent,  redonne vie à ce qui était mort, font, avec des petits riens, des merveilles  et nous donnent un dernier petit espoir que, quoi qu’il arrive,  notre monde pourra  revivre de ses cendres grâce à eux.

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http://www.ayoye.com/un-homme-a-passe-10-ans-dans-ces-cavernes-attendez-de-voir-ce-quil-en-a-fait/

Publié dans:talent |on 30 novembre, 2014 |4 Commentaires »

la pensée du jour : la compréhension de la spiritualité ne passe pas par l’intellect

 

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« Les exercices spirituels ne sont pas grand-chose par eux-mêmes. Ils ne deviennent véritablement efficaces et bénéfiques que s’ils sont exécutés à la lumière d’un enseignement qui donne des connaissances sur le monde invisible, les différents êtres qui l’habitent, les lois qui le régissent, les forces qui y circulent.

 

Et, plus important encore, un enseignement spirituel révèle comment l’être humain est construit, quels sont en lui les organes, les centres subtils grâce auxquels il peut entrer en relation avec les régions lumineuses de l’espace.

 

Mais même cela ne suffit pas. Celui qui a reçu ce savoir doit se décider à changer sa façon de vivre, à sacrifier des activités ou des habitudes qui sont en contradiction avec les buts de la Science initiatique.

 

Voilà l’essentiel, prenez-le en considération. Ne vous limitez pas à une compréhension intellectuelle de la spiritualité, mais tâchez d’acquérir la compréhension véritable, cette compréhension qui envahit le corps entier jusqu’à la moindre cellule. Chaque exercice prendra alors pour vous une véritable signification, il vous éclairera et vous renforcera. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 30 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : non ! la nature ne disparaîtra pas

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« Que les humains modifient leur opinion sur la nature et ils modifieront leur destinée ! S’ils pensent qu’elle est vivante et intelligente, que les pierres, les plantes, les animaux, les étoiles sont vivants et intelligents, eux-mêmes deviendront plus vivants et plus intelligents. La nature est le corps du Créateur. C’est pourquoi ils doivent non seulement se montrer attentifs, respectueux envers elle, mais l’approcher avec un sentiment sacré. 

En réalité, quelle que soit la façon dont les humains se conduisent, pour la nature cela ne change pas grand-chose : toutes les agressions qu’ils lui font subir ne sont que de petites pertes, de petites entailles dans cet immense corps dont on ne connaît même pas les limites ; mais c’est eux qui se détruiront d’abord. Quant à elle, une fois débarrassée de ces insensés, elle reprendra le dessus : elle a des ressources, la nature ! C’est donc pour les conséquences que leur attitude aura sur eux-mêmes que les humains doivent se montrer respectueux vis-à-vis des animaux, des plantes, des pierres. Leur conscience s’approfondira et ils s’enrichiront de toute cette vie qui respire et vibre autour d’eux. 

Pensez à toutes les entités qui peuplent l’univers depuis les profondeurs de la terre jusqu’aux étoiles, et efforcez-vous de communier chaque jour avec elles. Cette communion ne peut se faire que par l’amour. Si vous aimez la nature, vous l’entendrez parler en vous, vivre en vous, car vous êtes, vous aussi, une partie de la nature. »

 

 

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 29 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

le mendiant et son chien

 

 

 

Trouvé sur facebook :Le Jardin d’Athéna

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Le Jardin d’Athéna

Tous les jours, ce pauvre homme mendiait, toujours au même endroit… Et malgré tout, il gardait le sourire et restait poli y compris devant les gens moins généreux.

Cet homme avait un chien. Un chien aussi gentil que lui qui n’aboyait que rarement et ne montrait jamais les dents. J’entendais les médisants dire que cet homme était fou d’avoir un chien auprès de lui alors qu’il parvenait à peine à se nourrir lui-même.

Un jour, je marchais dans la rue où ce SDF et son chien se trouvaient comme à leur habitude, je les trouvais là en train de se réchauffer l’un contre l’autre. Il faisait un temps glacial et les voir ainsi m’a donné l’effet d’un coup de poignard.

Loin d’être riche, j’ai tout de même décidé de faire quelque chose…

Le lendemain, j’ai dit à mon patron que je prenais ma demi-journée. Muni d’une couverture et d’une grande boîte remplie de nourriture pour l’homme et son chien, j’ai décidé d’acheter deux cafés et je me suis approché de l’homme :

« peut-on parler quelques instants ? », lui ai-je demandé.

C’est avec plaisir qu’il acquiesça même s’il restait suspicieux : « pourquoi me parlez-vous ? »

Donc je lui ai dit : « tous les jours, je vais au travail. Chaque jour, je vois des gens qui ont l’air si tristes. Tous, sauf vous. Vous avez toujours l’air souriant. Vous avez toujours l’air heureux malgré vos conditions de vie et chaque jour, vous me réchauffez le coeur. Je me dis que même si je passe une mauvaise journée, ou que je ne suis pas aussi heureux que je voudrais l’être, il y a cet homme qui vit dans la rue et qui a l’air beaucoup plus épanoui que moi même s’il n’a rien. »

 A ce moment-là, il m’arrêta et me dit : « J’ai quelque chose, quelque chose qui n’a pas de prix : ce petit gars dans mes bras (le chien). »

Je lui ai demandé où est-ce qu’il l’avait trouvé. Il m’a donc répondu : « un jour, je me demandais à quoi bon être en vie si c’est juste pour mendier et survivre. J’avais personne à qui penser et personne ne m’aurait regretté si j’étais mort.

C’était il y a deux ans, j’étais sur ce pont, prêt à me suicider… Et là, ce petit gars est arrivé, m’a aboyé dessus et a mordu mes vêtements m’empêchant ainsi de sauter dans le vide. Alors je lui ai donné le dernier cookie que j’avais dans la poche. Il était tellement heureux que j’en ai pleuré et j’ai décidé de ne plus sauter. Depuis ce moment, il est tout ce que j’ai et est comme mon enfant. Parfois, il va se promener et revient avec quelque chose à manger pour nous deux : un bout de gâteau, une moitié de sandwich… Il veut toujours dormir avec moi. »

Je lui ai demandé s’il avait déjà trouvé une place dans un centre d’accueil ou une maison pour vivre, ce à quoi il m’a répondu une chose qui m’a bouleversé : « Il y a huit mois, j’aurais pu avoir une place où dormir, quelque chose à manger et un endroit chaud pour me reposer. Le problème : les chiens n’étaient pas acceptés. J’ai donc refusé. Ce petit gars est tout ce qui me reste. Je préfère mourir plutôt que de l’abandonner. Quand je me suis rendu compte que je n’avais plus rien, il m’a appris l’amour, m’a donné une raison de vivre et je le remercierai jamais assez pour ça.

Quand les passants me donnent de l’argent, j’achète toujours de la nourriture pour lui. Je ne m’achète à manger que lorsque je suis sûr qu’il ne manque de rien. Parfois, j’entends les gens qui disent que je suis bête d’avoir un chien, à ces gens-là, je réponds : peut-être que ce n’est qu’un animal mais il m’a donné beaucoup plus d’amour que tous les êtres humains que j’ai rencontrés et il ne me fera jamais de mal. »

Quand il a dit ça, je lui ai donné la couverture et la fameuse boîte de nourriture. Il m’a remercié comme personne ne l’a jamais fait. Tout simplement parce que grâce à moi, Bobby (le chien) allait bien manger et n’aurait plus jamais froid

A ce moment, je ne sais toujours pas pourquoi, je lui ai donné un morceau de papier avec mon adresse dessus, je l’ai attaché au collier du chien en disant « tu n’as plus à te faire de soucis, s’il devait t’arriver malheur, je prendrais soin de Bobby et il ne sera plus jamais seul. »

Il a pleuré.

Ce jour-là, j’ai vu l’homme le plus heureux au monde. Et je vous souhaite la même aventure.

 

Publié dans:animaux, émotion |on 28 novembre, 2014 |4 Commentaires »

l’arbre d’amour et de sagesse : Henri Gougaud

 

trouvé sur facebook.

 » Depuis presque cent ans, le vieil homme marchait. Il avait traversé l’enfance, la jeunesse, mille joies et douleurs, mille espoirs et fatigues. Des femmes, des enfants, des pays, des soleils peuplaient encore sa mémoire. Il les avait aimés. Ils étaient maintenant derrière lui, lointains, presque effacés. Aucun ne l’avait suivi jusqu’à ce bout de monde où il était parvenu. Il était seul désormais face au vaste océan.

Au bord des vagues il fit halte et se retourna. Sur le sable qui se perdait dans les brumes infinies, il vit alors l’empreinte de ses pas. Chacun était un jour de sa longue existence. Il les reconnut tous, les trébuchements, les passes difficiles, les détours et les marches heureuses, les pas pesants des jours où l’accablaient des peines. Il les compta. Pas un ne manquait. Il se souvint, sourit au chemin de sa vie.

Comme il se détournait pour entrer dans l’eau sombre qui mouillait ses sandales, il hésita soudain. Il lui avait semblé voir à côté de ses pas quelque chose d’étrange. A nouveau, il regarda. En vérité, il n’avait pas cheminé seul. D’autres traces, tout au long de sa route, allaient auprès des siennes. Il s’étonna. Il n’avait aucun souvenir d’une présence aussi proche et fidèle. Il se demanda qui l’avait accompagné. Une voix familière et pourtant sans visage lui répondit :  » C’est moi « .

Il reconnut son propre ancêtre, le premier père de la longue lignée d’hommes qui lui avaient donné la vie, celui que l’on appelait Dieu. Il se souvint qu’à l’instant de sa naissance, ce Père de tous les pères lui avait promis de ne jamais l’abandonner. Il sentit dans son coeur monter une allégresse ancienne et pourtant neuve. Il n’en avait jamais éprouvée de semblable depuis l’enfance.

Il regarda encore. Alors, de loin en loin, il vit le long ruban d’empreintes parallèles plus étroit, plus ténu. Certains jours de sa vie, la trace était unique. Il se souvint de ces jours. Comment les aurait-il oubliés ? C’étaient les plus terribles, les plus désespérés. Au souvenir de ces heures misérables entre toutes où il avait pensé qu’il n’y avait de pitié ni au ciel ni sur terre, il se senti soudain amer, mélancolique.

 » Vois ces jours de malheur, dit-il, où j’ai marché seul. Où étais-tu, Seigneur, quand je pleurais sur ton absence ? « 
 » Mon fils, mon bien-aimé, lui répondit la voix, ces traces solitaires sont celles de mes pas. Ces jours où tu croyais cheminer en aveugle, abandonné de tous, j’étais là, sur ta route.

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Ces jours où tu pleurais sur mon absence, je te portais. « 
(Henri Gougaud, l’arbre d’amour et de sagesse)

Publié dans:émotion, mystique sagesse |on 28 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : le temps

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« Combien de personnes prétendent qu’elles n’ont pas de temps à consacrer aux exercices spirituels ! Le matin elles doivent partir au travail, avant de partir elles ont déjà beaucoup à faire, et quand elles rentrent le soir, c’est pareil… Eh bien, puisqu’elles n’ont pas au moins quelques minutes chaque jour pour être dans l’harmonie et la lumière, il est sûr qu’elles en auront pour être dans les troubles, les désordres et les ténèbres.

S’il y a une chose qui arrive de façon certaine dans la vie, c’est d’être triste, faible et découragé ; et ce qui est moins certain, c’est d’être heureux, fort et serein. Pourquoi ? À cause de cette phrase dont tous se gargarisent : « Je n’ai pas le temps ! » Voilà une façon commode de justifier la paresse et l’inertie. Pas une minute pour se recueillir, pas une minute pour faire au moins une prière ou un exercice, afin de devenir plus résistant, plus éclairé… Quelle destinée se préparent-ils ainsi ?

 

En réalité, combien de fois ils sont en train de perdre leur temps ! Qu’ils apprennent un peu à en gagner ! Et ils en gagneront justement quand ils comprendront que s’ils consacrent chaque jour quelques moments à entrer en contact avec la lumière, cela leur évitera de commettre des erreurs qu’ils mettraient longtemps à réparer. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

Publié dans:mystique sagesse |on 28 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

Voyage au Ladakh

 

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Il y a plusieurs années, j’ai vécu un voyage marquant. J’ai traversé un désert de montagnes dans l’Himalaya, dans une région  du nord de l’Inde qui vit encore selon des traditions ancestrales, perdue entre le ciel et la terre… Le Ladakh.

 

La suite en suivant ce lien

http://lasolutionestenvous.com/ladakh-samsara/

Publié dans:mystique sagesse |on 27 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

Déjà à cette époque, il savait

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André Mage de Fiefmelin (1560 – 1603) est un poète baroque français . De confession protestante , il a vécu à l’ île d’Oléron .

http://www.citation-du-jour.fr/citations-andre-mage-de-fiefmelin-12760.html

Publié dans:mes écrits et ceux des autres |on 24 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : travailler pour une cause juste.

 

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« Quand vous êtes sûr de travailler pour une cause juste et noble, rien ne doit vous en détourner. Et surtout, ne vous préoccupez pas de l’attitude des autres à votre égard, car vous risquez d’être arrêté dans votre élan. Comme la constance n’est pas ce qui caractérise les humains, certains, après vous avoir approuvé et suivi, vont se mettre à vous critiquer, à se détourner de vous et vous ne saurez même pas pourquoi. 

C’est ainsi. Il y a dans l’existence des périodes de succès où on est reconnu, apprécié, et puis arrivent d’autres périodes où on est ignoré, mis à l’écart. Si vous n’êtes pas habité par l’idée du travail désintéressé, vous risquez de tomber dans l’amertume et la révolte.

Faites alors un retour sur le passé : vous constaterez qu’en ayant réalisé tel ou tel travail vous avez gagné certaines qualités.

 

Maintenant que se présentent de nouvelles conditions, vous avez certainement un nouveau travail à entreprendre afin de développer d’autres qualités. C’est ainsi que vous resterez toujours maître de la situation. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 23 novembre, 2014 |1 Commentaire »

la pensée du jour : Tuer au nom de D-ieu

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«Au cours de l’histoire, non seulement la religion a produit toutes sortes d’atrocités, mais ceux qui les commettaient étaient persuadés d’avoir fait leur devoir. Emprisonner, massacrer, dévaster, brûler des « hérétiques », des « infidèles », sans aucune considération d’humanité, c’était cela, manifester leur foi. Et même, certains étaient persuadés qu’ils agissaient ainsi par amour du prochain: en les condamnant au bûcher, ils leur épargnaient les flammes de l’Enfer, la damnation éternelle.

C’est extraordinaire les aberrations que le fanatisme a pu produire dans la tête de certains!

Et Dieu, évidemment, les récompenserait…

Mais Lui avaient-ils d’abord demandé s’Il était d’accord pour qu’ils massacrent Ses créatures? C’est la première question que devraient se poser tous ceux qui, encore à notre époque, se proclament les « combattants de la foi » et s’imaginent être les instruments de la volonté divine: Dieu les a-t-Il vraiment envoyés sur la terre pour massacrer leurs semblables en Son nom?»

• Omraam Mikhaël Aïvanhov •

« Pensées Quotidiennes 2005″, 26 novembre – Éditions Prosveta -www.prosveta.frwww.prosveta.com

 

Publié dans:mystique sagesse |on 22 novembre, 2014 |Pas de commentaires »
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