Archive pour juin, 2014

la pensée du jour : spiritualité et science

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« En même temps que la nature produit et entretient les germes des maladies, elle possède aussi les moyens de leur guérison. Mais si les humains mènent une vie déraisonnable, ils permettent aux germes nocifs de se développer et limitent l’efficacité des éléments bénéfiques. Vous direz : « La médecine fait maintenant tellement de progrès, elle doit trouver comment nous guérir… » Non, la médecine ne doit rien du tout, car ses pouvoirs sont limités. Quels que soient les progrès qu’elle a faits ou qu’elle fera, elle sera impuissante devant la négligence et la mauvaise volonté de ceux qui refusent de reconnaître les lois de la nature et de s’y conformer.

Alors, attention, plus les sciences et les techniques progresseront, plus les humains devront se montrer conscients, attentifs, vigilants. Ces progrès apportent beaucoup d’avantages, beaucoup de facilités, mais en même temps beaucoup de tentations, de séductions, et donc beaucoup de dangers. Vous voulez être en bonne santé ? Comptez plutôt sur vous que sur la médecine. Tâchez surtout de vivre dans des conditions qui renforcent les défenses de votre organisme. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

Publié dans:mystique sagesse |on 3 juin, 2014 |Pas de commentaires »

Au bord des larmes

 

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Aujourd’hui, il faut sortir les mouchoirs.

 

Les photos qui vont suivre sont autant de drames qui se sont abattus sur des gens comme nous mais c’est aussi et surtout, une immense leçon de courage et un message qui nous crie :

 

« on peut continuer à vivre comme les autres même si on n’est plus comme avant »


«  on peut être heureux quand on est entouré de personnes qui savent aimer »

 

« on peut se surpasser et prouver que rien n’est impossible quand on  le veut vraiment »

 

Et le dernier message qui vaut tous les autres :

 

« comment pouvons nous nous plaindre pour des petits riens quand on voit ce que d’autres doivent supporter toute leur vie »

 

Et la moralité pourrait être : les plus heureux sont ils ceux qui ont tout ou bien ceux à qui la vie a tout enlevé et qui ont du reconstruire pierre à pierre ce qu’ils avaient perdu ?

 

 

 le lien ici :

 

http://bridoz.com/19-photos-touchantes-qui-vont-vous-saisir-par-les-tripes/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=19-photos-touchantes-qui-vont-vous-saisir-par-les-tripes

Publié dans:Les héros oubliés |on 2 juin, 2014 |1 Commentaire »

expression : au diable vauvert

 

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« Au diable vauvert  » Extrêmement loin.

Notre vauvert (en un seul mot et sans ‘e’) date du début du XIXe siècle, mais son origine n’est pas claire.
Au départ, ce mot banal ne désigne qu’un ‘vert vallon’ ou ‘val vert’, le ‘vau’ se retrouvant toujours actuellement, dans « à vau-l’eau » et dans « par monts et par vaux » .

Dès le XVe siècle, « faire le diable de Vauvert » signifiait « s’agiter comme un beau diable », mais sans qu’aucune notion de distance ne s’y rattache.
Cela n’explique donc pas non plus le pourquoi de ce vauvert lointain et le diable qui s’y accroche.

Ce nom était aussi celui d’une abbaye de Chartreux située au sud de Paris, à peu près là où se trouve actuellement le carrefour Denfert-Rochereau (). Il faut d’ailleurs reconnaître que, pour aller au diable, la première partie du nom du carrefour n’est pas mal du tout… Cette abbaye aurait été le théatre de manifestation plus ou moins dialoliques, peut-être orchestrées par les moines eux-mêmes pour que le roi Louis IX leur fasse donation du domaine.

Il existait également un château de Vauvert à Gentilly qui aurait servi de repaire à des bandits redoutés. Il y avait aussi un Vauvert près de Nîmes, où les protestants ont détruit un sanctuaire dédié à la Vierge.

Il est donc possible qu’un de ces ‘Vauvert’ considérés comme éloignés de Paris à l’époque, et dans lesquels des évènements ‘peu catholiques’ se produisaient, a donné naissance à cette expression en le mêlant à « au diable » qui, dès le XVe siècle, voulait déjà dire « très loin ».

Extrait de Expressio

 

 

 

A la conquête des cimes

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Qui se cache dans cet hôtel de style colonial des années 1930 ?

Elles sont majestueuses, un port de reine, une démarche  qui ondule mais aussi un appétit facile à contenter, grâce à un cou qui peut atteindre les plats les mieux  cachés et quand ils ne le sont pas, alors la ! tout est permis

 le lien ici :

http://bridoz.com/cet-hotel-isole-possede-un-incroyable-secret/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=cet-hotel-isole-possede-un-incroyable-secret

Publié dans:animaux |on 1 juin, 2014 |Pas de commentaires »

Le monde au ralenti

 

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Des hommes de talent

Vyachleslav Mishchenko, photographe Ukrainien,  pénètre le monde souvent inconnu  des mollusques et les photographie dans leur habitat naturel, un monde coloré et magique dont nous ignorons presque tout.

le lien ici  

http://bridoz.com/photos-escargots-macro/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=photos-escargots-macro

Publié dans:animaux, nature |on 1 juin, 2014 |Pas de commentaires »

la beauté à l’état pur

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-Si vous aimez la beauté à l’état pur

- Si les animaux sont vos amis

- Si la nature vous semble merveilleuse

Regardez ces photos, toutes plus belles les unes que les autres, prises par une artiste au grand talent : Katerina Plotnikova

 le lien ici :

http://bridoz.com/elle-prend-de-magnifiques-photos-avec-de-vrais-animaux/

Publié dans:animaux, nature |on 1 juin, 2014 |Pas de commentaires »

expression : « Vider son sac »

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« Vider son sac  » Dire tout ce qu’on pense, tout ce qu’on a sur le coeur (quitte à blesser)

Si son apparition est bien toujours située au XVIIe siècle, nos deux principaux lexicographes modernes s’affrontent sur l’origine de cette expression.

Alain Rey nous dit qu’autrefois, elle signifiait «  déféquer », le sac représentant alors le ventre ou l’estomac.
Cette théorie tient non seulement la route puisqu’on retrouve ici la notion de soulagement procuré une fois qu’on a vidé son sac, ou d’extirpation hors de soi d’abord de produits de la digestion puis de paroles, ce qui pourrait parfaitement expliquer l’évolution de son sens.

Claude Duneton nous dit, lui, que cette expression vient d’un terme de tribunal.
En effet, alors que nos documents actuels sont des papiers rangés à plat dans des chemises et classeurs que l’avocat peut à peu près aisément transporter avec lui, il fut un temps où les documents officiels était conservés sous forme de rouleaux (voir d’ailleurs l’expression « être au bout du rouleau »).

L’avocat, pour transporter tout ce dont il avait besoin pour plaider, n’avait alors d’autre moyen que de mettre ces rouleaux dans un sac. Et, devant les juges et jurés, il vidait son sac au fur et à mesure de ses besoins[1], avec toute la hargne qui doit habiter l’homme de loi qui veut « défendre becs et ongles » son client.

Cette expression aurait ensuite quitté la salle du tribunal en emportant avec elle la coloration d’agressivité qu’on y retrouve aujourd’hui.

Extrait de Expressio

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