Archive pour mai, 2014

A méditer

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Si la vie vous donne des bâtons, qu’ils deviennent une cabane

expression : un coup de semonce

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« Un coup de semonce  »

Un avertissement ou une mise en garde, souvent accompagné d’une menace.

‘Semonce’ est un substantif issu du participe passé du verbe ‘somondre’, au XIe siècle, devenu ‘semondre’ au XIIe.
Ce verbe a eu plusieurs significations au cours du temps : au XIe, il voulait dire « inviter quelqu’un à faire quelque chose » ou bien « convoquer les vassaux » ; au XIIe, il signifiait « sommer quelqu’un de s’expliquer sur un fait » ; au XIIIe, c’était « convoquer en justice » ; au XVe, on l’utilisait pour « avertir en adressant une réprimande » et au XVIIe pour « réprimander ».

‘Semonce’ a suivi la plupart de ces significations. À partir du XVIe siècle, il équivaut à un ‘avertissement’.
Au début du XVIIIe, dans la marine, la ‘semonce’ est un ordre donné à un navire de montrer ses couleurs, autrement dit de hisser le drapeau qui permet d’en identifier l’origine.
Le coup de semonce est alors le premier coup de canon, tiré à blanc ou loin de la cible, qui intime l’ordre à un autre navire d’affaler les voiles, de s’arrêter et de hisser des couleurs. Avec la menace implicite que si l’ordre n’est pas respecté, les prochains coups de canon serviront à couler le bateau.

Et c’est depuis le début du XIXe siècle que notre coup de semonce est, hors du domaine maritime et de manière figurée, devenu un avertissement, souvent assorti d’une menace dans le cas où la sommation ne serait pas respectée.

Extrait de Expressio

la pensée du jour : spiritualité et vérité

 

 

« Combien de gens disent qu’ils sont à la recherche de la vérité ! Tout en regrettant de ne pas l’avoir encore trouvée, ils se sentent fiers de s’être lancés dans une quête aussi difficile…

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Eh bien, non, la vérité n’est pas si difficile à trouver et elle peut même être définie très simplement. Disons qu’elle est comme une médaille dont une face est l’amour et l’autre la sagesse. Si vous cherchez la vérité indépendamment de l’amour et de la sagesse, c’est-à-dire indépendamment du bon développement du cœur et de l’intellect, vous ne la trouverez jamais. Mais dès que vous avez l’amour et la sagesse, vous possédez aussi la vérité, même si vous ne la cherchez pas. On ne trouve jamais la vérité comme un principe en soi : elle n’existe que chez celui qui sait travailler à la fois avec le cœur et avec l’intellect.

Si, actuellement, tant de vérités différentes, contradictoires, circulent et s’affrontent à travers le monde, c’est qu’elles reflètent la déformation du cœur et de l’intellect des humains. Quelqu’un vous dit : « Voilà la vérité ! » En réalité, c’est « sa » vérité à lui, et cette vérité est l’expression de son cœur et de son intellect faibles et déformés, ou au contraire solides, éclairés. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 19 mai, 2014 |3 Commentaires »

expression : s’attirer les foudres (de quelqu’un)

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 « S’attirer les foudres (de quelqu’un)  » S’attirer des reproches, une condamnation

Si vous lisez ces lignes, c’est probablement que vous n’avez jamais pris une décharge de foudre sur la tête, car très rares sont ceux qui y survivent.

Pour nous, la foudre est une manifestation naturelle, une décharge électrique extrêmement intense qui se produit par temps d’orage soit entre deux nuages, soit entre un nuage et le sol.
Mais il y a à peine quelques siècles, cette ‘petite’ décharge était considérée comme la manifestation de la colère divine (il ne faut pas oublier, en remontant plus loin encore dans le temps, que Jupiter ou Zeus était traditionnellement représenté tenant un ou plusieurs foudres, faisceaux enflammés qui lui servaient d’armes).

Or, en général, c’est une faute qui provoque la colère de l’autre. C’est ainsi que « les foudres », au pluriel, ont été assimilés à de sévères reproches, à une condamnation (« s’attirer les foudres de l’Église », par exemple) et que l’expression est apparue à la fin du XVIe siècle.

Extrait de Expressio

La chemise qui rendit l’Homme heureux.

 

 

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Il s’appelle Malo : M-A-L-O

Mais ce n’est pas un saint… Malo c’est juste un habitant de La Villa ; La Villa, d’ailleurs, n’est pas une villa, c’est le quartier qui s’étend sur la rive droite de la Marne, au nord-est d’Epernay et en amont du PONT.

Car à l’époque de cette histoire véridique, il n’y a qu’UN pont qui franchisse la Marne. Malo n’a pas non plus de cabine de plage en bord de mer. Enfin, c’est un peu ça quand même car Malo est le gardien du bateau-bain d’Epernay.

Quelques lavoirs s’agrippent aux berges, mais surtout, dans cette première moitié du XXème siècle, la Marne est la seule piscine de la ville.

Il y a la « Société Nautique », en amont du pont, fréquentée par les « gens bien » de la Cité, avec leurs bateaux de plaisance.

Il y a la « tête à l’âne », en aval, à la sortie de la ville, où l’on peut nager …. Ou gauiller dans la boue du bord  et entre les deux, près du pont, il y a le bateau-bain qui bénéficie de l’eau limpide de la rivière.

Nous sommes le 10 septembre 1914. Il est huit heures du matin. Malo n’a guère de visiteurs. Le pont si proche de son établissement, par contre, est fort animé. Quelques jours plus tôt, la glorieuse armée allemande,musique en tête, le franchissait, au son du chant « Deutschland über alles », dans le sens Reims-Epernay, en conquérante de la Champagne.

Aujourd’hui, seulement six jours plus tard, c’est une troupe désorganisée, fatiguée et peu rasée de près qui l’emprunte dans le désordre du repli de l’armée, d’Epernay vers Reims. Pas question de flâner, il faut faire vite, et le lendemain même, le pont sera voué à destruction, pour empêcher l’armée suivante, française celle-là, de traverser à son tour la rivière, en bon ordre d’attaque, à la poursuite de l’armée prussienne.

Malo est songeur … ce n’est pas aujourd’hui qu’il y aura grand monde au bateau-bain.

Et voilà que deux automobiles made in Reich s’arrêtent.

Quatre soldats descendent de la première. Quatre officiers sortent de l’autre. Ou plutôt trois officiers et un gradé d’un très haut rang, semble-t-il.

Seuls les quatre officiers se baignent. Les quatre autres, baïonnette au canon, surveillent, autour et dans le bateau-bain.

Malo, lui, se voit intimer l’ordre de brosser les uniformes : il est même réprimandé car,avant de brosser, chacun sait cela, il faut d’abord songer à battre le vêtement avec une baguette. Mieux vaut faire et se taire. Ce qui n’empêche pas notre gardien de bateau-bain de penser que, même en tenue brossée, les allemands ont moins fière allure qu’au début de cette courte guerre qui tourne déjà à leur désavantage ! ….

Mais décidément, l’officier supérieur tient à rester élégant et s’enquiert de la possibilité de changer de linge.

C’est possible, en effet.

Voilà l’officier habillé d’une chemise, française, certes, mais propre.

L’officier donne deux marks.

Malo prépare la monnaie.

« Gardez tout, c’est le prix », lui lance le gradé, grand seigneur.

C’est toujours ça qui ne retraversera pas le Rhin !…et puisqu’on le lui donne …. se dit Malo : Bien « bien acquis » profite toujours …. Ce qui ne l’empêche pas d’être honnête, et quand il aperçoit dans la cabine la liquette allemande délaissée par son propriétaire, Malo rappelle ce dernier pour lui rendre sa dépouille. Mais l’autre lui crie :

Gardez-la ! ça vous fera un souvenir.

Malo sourit : sans doute pressé de filer, le boche ! Ma foi, une chemise de plus par les temps qui courent, c’est pas à dédaigner. D’autant qu’elle a pas l’air mal : en tout cas, le tissu est fin ; il y a même une broderie … et un prénom : Wilhelm.

Et même un prénom surmonté d’une couronne :

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La chemise du prince impérial August-Wilhelm lui-même.

Mais qui a dit que c’était pas rentable de travailler pour le roi de Prusse ?

Il est des trophées de guerre, même obtenus pacifiquement, qui rendent l’homme heureux.

Histoire vraie mise en écriture par  : Françoise Graux

 le lien ici :

http://www.philatelie-epernay.fr/La-chemise-qui-rendit-l-Homme,603

 

Mourir dans la tendresse

 

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Chère lectrice, cher lecteur,

La mort idéale serait de mourir d’un coup, sans douleurs, sans même avoir le temps de voir la mort arriver.

Ainsi seraient évitées la déchéance, les souffrances préalables et inutiles.

Cette approche, qui nous paraît évidente, ne l’était pas pour nos ancêtres.

La « grâce » d’une bonne mort

J’ai découvert récemment la célèbre « Danse des Morts » du peintre allemand de la Renaissance Hans Holbein.

C’est une série de gravures si fines que vous avez besoin d’une énorme loupe pour en voir tous les détails. Ces gravures représentent des personnages de toutes conditions, de la plus humble mendiante jusqu’au pape, en passant par l’empereur, l’impératrice, les rois et reines, dames et chevaliers, bourgeois et artisans, jeunes filles, servantes et jeunes gens, paysans et paysannes, nourrissons et vieillards. Chacun se fait saisir par un squelette hideux et grimaçant, armé d’une faux, représentant la Mort, avant même de s’être aperçu qu’elle approchait.

Pour nos ancêtres, c’était là l’aspect le plus terrifiant de la mort : qu’elle puisse vous prendre par surprise, à tout moment, au détour d’un chemin, dans votre sommeil, sans que nous n’ayez eu le temps de vous y préparer.

C’est pourquoi il existait des prières, oubliées aujourd’hui y compris des chrétiens pratiquants, pour recevoir « la grâce d’une bonne mort », autrement dit une mort à laquelle on aurait eu le temps de se préparer sur le plan spirituel et matériel.

Que la mort existe et attende tout le monde, il était impossible de l’ignorer à cette époque. Il était rarissime dans une famille de ne pas perdre des enfants en bas âge. Accidents, maladies, épidémies, guerres rendaient la mort omniprésente. À chaque décès, des veilles, cérémonies, processions et habits de deuil rendaient la mort encore plus visible à tous, si besoin était.

Mais le simple fait de vivre à la campagne faisait qu’on côtoyait la mort en permanence, ne serait-ce que celle des animaux. Par contraste, qui, parmi nous, a déjà tué un cochon ou égorgé un agneau de ses propres mains ? Ou même un poulet ou un lapin ? Ce geste, que connaissaient les enfants dès le plus jeune âge, participait à rendre la mort extrêmement familière à chacun.

C’est pourquoi la grande terreur n’était pas de mourir, mais de mourir sans préparation.
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Pourquoi se préparer à mourir ?

On voulait d’abord mourir la conscience en paix : avoir le temps de s’être fait pardonner les fautes commises, en réparant les offenses faites à son entourage. Mais aussi, pour toutes les fautes ne pouvant pas être excusées par autrui, demander pardon à Dieu.

Le but était bien sûr de se préparer à entrer dans l’Au-delà. Mais les difficultés de la vie pratique rendaient indispensable de laisser autant que possible ses affaires en ordre, sous peine d’entraîner la mort des personnes qu’on laissait derrière soi. Ainsi, un homme qui terminait le toit de sa maison, ou de creuser un puits, ou de faire les semailles, ou de faire vêler une vache, redoutait de laisser en plan un projet vital pour la survie de sa famille. L’artiste, le savant qui avaient consacré leur vie entière à accumuler un savoir qu’ils étaient les seuls à détenir, craignaient de ne pouvoir terminer une œuvre qui serait irrémédiablement perdue pour la postérité.

C’était une question de responsabilité vis-à-vis du monde que l’on quittait. L’attitude du « après moi le déluge », consistant à mourir sans se soucier de ce qu’il allait advenir ensuite, était considérée comme déplorable. Pendant toute votre vie, vous vous étiez créé des responsabilités en employant des personnes, en mettant des enfants au monde, en engageant des projets. Ces personnes, ces enfants, ces projets allaient continuer à exister après votre mort et il ne fallait pas les compromettre.

Ainsi, très peu de personnes souhaitaient, comme actuellement, avoir dépensé tout leur argent avant de mourir. Au contraire, on avait travaillé et économisé toute sa vie, le but était que cela contribue à laisser derrière soi un monde meilleur. Soit en léguant sa ferme à ses héritiers, pour qu’ils continuent à la faire prospérer et puissent la transmettre, à leur tour, à leurs enfants. Soit, en l’absence d’hériter, on donnait son patrimoine à une bonne œuvre pour améliorer la vie matérielle de pauvres gens, via la construction d’hospices, d’orphelinats ou d’écoles, ou pour améliorer la vie spirituelle de la communauté grâce à la construction d’un édifice public, d’un monastère (pour les plus riches) ou d’un beau vitrail dans une église, d’une peinture ou d’une belle statue, qui pourraient inspirer les générations futures.

Tout cela demandait du temps et de la réflexion, et il valait mieux que la Mort ne vienne pas vous surprendre sans crier gare.

On comprend que, dans cette vision, la question de savoir si l’on allait souffrir avant de mourir paraissait secondaire. Au contraire, si l’on n’avait pas eu le temps de tout faire, par exemple de dire pardon, merci, et au revoir aux personnes que l’on aimait, on était content de gagner des moments de vie supplémentaire, y compris avec une jambe broyée par la roue d’un chariot, une pointe d’arbalète enfoncée dans le ventre, ou le visage gagné par une lèpre affreuse.

Mais au fond, sommes-nous si différents aujourd’hui ?
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Souhaitez-vous vraiment mourir d’un coup ?

Celui qui a perdu un proche brutalement, sans avoir eu le temps de lui dire pardon, merci et au revoir, sait combien le deuil est plus difficile, long et douloureux. Sans cesse revient le remords lancinant de n’avoir pas eu le temps de lui dire ces choses si importantes.

Le succès actuel des « assurances-vie » montre que la plupart des personnes qui ont charge de famille craignent que, venant à mourir brutalement, leurs enfants, conjoints ou vieux parents, se retrouvent démunis.

Beaucoup de jeunes familles, où les deux parents travaillent, ont absolument besoin de la présence d’un ou plusieurs grand-parents, dont le décès brutal aurait des conséquences graves pour l’éducation des enfants.

On n’en parle que rarement dans les journaux mais, pour de nombreux employés, il est dramatique que leur chef d’entreprise décède du jour au lendemain. Bien des entreprises ne survivent pas à la mort de leur patron, surtout dans les PME, commerces et entreprises artisanales, privant les clients de prestations sur lesquelles ils comptaient et mettant les employés au chômage.

Réciproquement, ce peut être une catastrophe pour un employeur de perdre du jour au lendemain un salarié qui détenait un savoir clé qu’il n’avait pas pu transmettre.

Si nous réfléchissons un peu, nous nous apercevons donc que, lorsque nous parlons de notre désir de mourir un jour dans notre lit, nous « oublions » de préciser que, bien entendu, il s’agit de mourir une fois accomplies toutes nos tâches, et si possible après avoir passé une dernière soirée dans la tendresse, entouré des personnes que nous aimons, sans laisser de graves conflits ou malentendus non résolus.
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La médecine efficace contre les douleurs physiques

S’il nous reste des choses importantes à faire ou à dire avant de mourir, alors nous préférons que la vie se prolonge un peu, et ce d’autant plus que la médecine moderne nous offre aujourd’hui de très efficaces moyens de supprimer la douleur, sans pour autant nous tuer.

Dans le pire des cas, par exemple pour les grands brûlés, on vous met en coma artificiel, avec l’espoir de pouvoir vous réveiller au moins quelques minutes avant le décès pour dire adieu à votre entourage. Dans les cas moins extrêmes, il y à la morphine et même, depuis peu dans certains hôpitaux de pointe (John Hopkins Hospital) la psilocybine, un extrait de champignon hallucinogène qui plonge dans un état de grande sérénité, sans pour autant vous faire perdre conscience ni créer de dépendance, lors de traitements douloureux et inquiétants comme la chimiothérapie.

Nous sommes en passe de gagner la bataille de la douleur. Et si, malgré cela, la demande d’euthanasie ne cesse d’augmenter, c’est évidemment parce qu’il y a un autre problème, sous-jacent, et beaucoup plus grave que celui de la douleur.

Ce problème, c’est le fait de mener des vies qui n’ont plus aucun sens.
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Le plus inquiétant problème

La vie moderne rend possible, voire courant d’atteindre la fin de sa vie en ayant perdu toute raison de vivre.

On n’a plus aucun désir, aucun espoir, aucune conviction ni croyance. Plus personne ne tient à vous, ni n’a besoin de vous. Vous n’avez plus aucune tâche importante à terminer ; aucun message à transmettre ; plus rien à faire ici, et donc plus aucune raison valable de vivre.

La vie elle-même semble absurde, quand bien même elle serait confortable et sans douleur. Alors si en plus vous êtes un poids pour la société et que vous souffrez, et ce depuis des années et sans espoir d’amélioration, pourquoi vivre un instant de plus ?

Quant à la vie après la mort, soit il n’y a rien et donc rien à redouter. Soit il y a quelque chose et, dans ce cas, autant aller voir tout de suite car ce sera de toute façon plus intéressant qu’ici bas.

Dans ce cadre, il est normal que l’on se soit mis à parler partout d’euthanasie. Puisque la vie ne vaut plus la peine d’être vécue, demandons aux médecins de nous faire mourir tout de suite et sans douleur.

On vous augmente vos doses de morphine, non plus pour atténuer vos douleurs mais dans le but de vous faire mourir, parce que vous estimez, ou vos proches estiment, que votre vie n’en vaut pas la peine, qu’elle n’est « plus digne ».
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Retrouver d’urgence un sens à la vie

C’est donc cette question qu’il nous faut résoudre de toute urgence.

Que dois-je faire aujourd’hui, non pour éviter la douleur physique puisqu’on sait que les moyens techniques existent désormais dans les centres de soins palliatifs, mais pour éviter la terrible souffrance psychique d’avoir l’impression d’avoir raté sa vieet de mourir dans l’absurdité et privé de tendresse ?

Il n’existe pour cela à vrai dire qu’un seul moyen : nous concentrer sur la seule tâche qui en vaille la peine, à savoir découvrir et exploiter tous les talents que nous avons pour contribuer, à notre échelle, à embellir le monde.

Chacun, selon sa situation, peut trouver des moyens d’embellir le monde : dès que vous déclenchez un sourire sur un visage, le monde devient plus beau. Dès que vous cuisinez un plat qui répand une bonne odeur, qui réjouit les personnes autour de vous, le monde devient plus beau.

Dès que vous arrachez une mauvaise herbe, que vous taillez un arbuste, le monde devient plus beau. Et si vous parvenez à faire s’épanouir un rang de salades bien vertes, de magnifiques carottes, de beaux poireaux appétissants, le monde devient plus beau encore.

Que dire alors si, sous vos mains, fleurissent des arbres fruitiers, des roses éclatantes, des massifs de rhododendrons ?

Et que dire si vous réjouissez un enfant en lui racontant de belles histoires, en chantant des chansons, en lui apprenant un magnifique poème ?

Que dire, enfin, si, rendant votre maison pimpante et accueillante, vous en faites un foyer de joie et d’amitié, où s’accumulent pour vous et les personnes que vous aimez des souvenirs plein de douces émotions ?

C’est ainsi que vous pourrez peut-être rêver un jour, non de mourir brutalement, sans vous en apercevoir, mais au contraire lentement, calmement, baigné dans une mer… de tendresse.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Sante Nature Innovation

 

Publié dans:mystique sagesse |on 18 mai, 2014 |1 Commentaire »

pour ceux dont le coeur à moins de 40 ans

le  lien ici  :

http://youtu.be/RW9OYsMn4ds

<iframe width= »420″ height= »315″ src= »//www.youtube.com/embed/RW9OYsMn4ds » frameborder= »0″ allowfullscreen></iframe>

 

 

http://miseentrentaine.wordpress.com/2014/05/18/roger-reviens-ils-sont-devenus-fous/

Publié dans:Non classé |on 18 mai, 2014 |Pas de commentaires »

spiritualité, la pensée du jour : le goût des choses

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« Le goût des choses est tellement plus important que leur possession ! C’est pourquoi il est préférable que, pour celui qui ne manque de rien, l’argent reste une préoccupation secondaire. On voit ce qu’est l’existence de tant d’hommes d’affaires : tout ce temps qu’ils passent dans leur bureau, en réunions ! Quand ils en sortent, c’est pour courir d’un bout à l’autre de la planète sans rien voir des régions qu’ils traversent ni de leurs habitants. C’est ainsi que leur sensibilité à ce qui fait la beauté et la poésie de la vie finit par s’émousser. À quoi leur sert alors d’avoir amassé une fortune ? Ils ne peuvent même pas goûter les avantages qu’elle leur procure, car ils ont anéanti en eux ce quelque chose qui donne aux objets, aux événements, aux êtres, les saveurs les plus exquises.

Et c’est ça qui est triste : avoir les possibilités de tout obtenir, mais n’en ressentir aucune joie, sauf la vanité de posséder.

Alors, si vous devez choisir entre les deux situations : posséder beaucoup mais avoir perdu la capacité de l’apprécier, ou posséder très peu et garder le goût, choisissez le goût : la moindre chose vous donnera de la joie. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 17 mai, 2014 |1 Commentaire »

Villages médiévaux de France

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Notre belle France subit de tels outrages que bientôt, tout ce qui fait sa personnalité sa beauté  et sa spécificité aura disparu alors, pendant qu’il en est encore temps, visitons virtuellement ces beaux villages médiévaux mémoire de notre histoire.

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le lien ici : 

http://www.linternaute.com/sortir/magazine/balade-dans-la-france-medievale/conques.shtml

Et si c’était vrai !

 

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A l’heure du progrès qui se propage à la vitesse de l’éclair, à la libération de l’homme, de la femme, du sexe,

A l’heure où «  l’information-désinformation » bat son plein, comment s’y retrouver et faire le bon choix entre ce qu’on peut croire et ce dont on doit se méfier ?

Il y a bien sûr le bon sens qui nous dit  que le rejet de tout ce qui a construit notre humanité ne peut pas être bon  car nous sommes alors privés de points de repère et de cadre  de référence et cette situation devient  une sorte de bombe à retardement.

Mais il y a aussi, ceux qui, bien avant nous, on prédit ce qui arriverait, qu’il s’agisse des catastrophes sismiques, de l’Atlantide, des extraterrestres, de l’arrivée du Messie, du manque de droiture des dirigeants etc…..

Bien sûr, les hommes ont ri de ces « fadaises » toutes ces choses ne pouvaient pas arriver car elles étaient un frein à leur course en avant  vers…………..le néant et ils ont préféré considérer ces oiseaux de mauvaise augure comme des illuminés.

Et voila que ces écrits réapparaissent, des hommes, des fous surement, nous rappellent les prédictions de  Edgar Cayce, pour ne citer que lui.

-Ces quelques lignes vous ont intéressés ?

-Vous voulez en savoir d’avantage, avant qu’il ne soit trop tard  ?

Suivez ce lien

et ensuite seulement vous déciderez qui et que croire. Yaël

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/02/06/20320485.html

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