Archive pour mai, 2014

la pensée du jour : la vie est une école

 

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« La vie est une école dans laquelle nous sommes venus faire un stage, et dans cette école nous ignorons en fait qui sont les professeurs et qui sont les élèves. Des enfants, des mendiants peuvent nous instruire ; mais aussi les êtres qui nous sont hostiles… oui, même et surtout ces êtres-là  car ce sont  eux qui nous obligent à faire le plus d’efforts.

Il serait quelquefois assez facile de répondre aux calomnies, aux attaques, mais toutes les manières de répondre ne sont pas bonnes. Celui qui riposte court toujours le risque de s’abaisser au niveau de ceux qui s’en prennent à lui, et de patauger dans le même bourbier. Il n’est pas interdit de riposter, mais à condition d’être capable de se maintenir très haut, de ne pas rejoindre ses adversaires dans la mesquinerie, la méchanceté ; car même si en apparence on remporte la victoire, en réalité on perd aussi beaucoup.

 De quelle intelligence, de quelle force de caractère il faut savoir faire preuve pour tenir bon et se défendre sans employer les mêmes armes que ses adversaires ! C’est pourquoi nos adversaires sont tellement utiles pour notre évolution.

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 28 mai, 2014 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : le troisième oeil

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« Tellement d’accidents, de malheurs arrivent aux humains parce qu’ils n’ont aucune idée des dangers qu’ils courent en prenant certaines décisions, en se lançant dans certaines entreprises ! Ils partent tranquillement sans rien voir, sans rien prévoir, et ils se jettent tout droit dans les difficultés. S’ils avaient su développer leur œil intérieur, il les aurait avertis, car cet œil que l’on appelle quelquefois le troisième œil est comme un radar : il envoie des ondes dans l’espace et ces ondes, en revenant, sont capables de les prévenir des obstacles ou des précipices à éviter. Si chez la plupart des gens ce radar est en panne, c’est que la vie qu’ils mènent brouille les ondes et empêche son bon fonctionnement.

Il est vrai qu’il y a des cas où cet œil spirituel, même développé, ne les prévient pas. Lorsque certains événements de leur vie sont déterminés d’avance par les lois de la destinée et doivent obligatoirement se réaliser, même s’ils en ont le pressentiment, l’essentiel leur est caché et ils ne peuvent pas les éviter. Il leur reste alors à affronter les épreuves grâce à la lumière et aux méthodes que donne la Science initiatique. Mais sinon, en général, s’ils ont su lui préparer les conditions, cet œil spirituel est là pour les avertir et les guider. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 26 mai, 2014 |Pas de commentaires »

malhonnêteté intellectuelle pour ne pas dire plus

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Il y a quelques jours, j’ai été contactée sur un de mes blogs par une personne « Pelosse » qui  me demandait si on pouvait essayer de dialoguer dans un intérêt commun.

Certaines parties de son message étaient un peu bizarres mais je n’y ai pas  prêté  attention et j’ai répondu oui.

Il faut croire quand même que quelque chose me gênait car je suis allée jeter un coup d’œil sur son blog « réalités de France » et à travers des articles de tous genres j’ai vu qu’on y parlait aussi des juifs et quand j’ai lu……………………………………………

Je mets ici et le lien conduisant à ce blog et les renseignements concernant  « Justin Bonaventure Pranaitis » qui fait figure de référence pour etayer les thèses avancées dans ce blog. Comme on peut s’en  rendre compte, cet homme, promoteur de l’antijudaïsme, est aussi un faussaire en écritures.

J’ai bien sûr annulé tout contact avec cette personne

 

http://realitesdefrance.unblog.fr/2014/05/08/ismael-israel-sont-bien-tres-proches/

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Justin Bonaventure Pranaitis ou Pronaitis (27 juillet 1861 - 28 janvier 19172) est un prêtre séculier catholique lituanien, qui fut professeur d’hébreu à l’académie impériale de théologie de Saint-Pétersbourg. Ce fut également l’un des promoteurs de l’antijudaïsme à la fin du xixe siècle.

En 1894, Pranaitis fut poursuivi pour extorsion de fonds et se retrouva banni quelque temps à Tver.

Justin Bonaventure Pranaitis est connu pour son livre sur le Talmud, publié en latin (1892) avec l’imprimatur de Mgr Kozlowski, archevêque métropolite de Moguilev. Cet ouvrage se présente comme une enquête sur les enseignements juifs sur le christianisme. Le texte, intitulé Christianus in Talmude Iudaeorum (Le Talmud démasqué), est en réalité un faux, contenant de fausses citations du Talmud avec une pagination imaginaire. Il s’agit d’un ouvrage de propagande antisémite, comparable aux Protocoles des sages de Sion et antérieur de quelques années. Ce texte est régulièrement traduit et réédité dans les milieux antisémites.

 

CITATIONS : LE POUR ET LE CONTRE

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Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. – Françoise Giroud -
http://www.citation-du-jour.fr/citations-francoise-giroud-356.html

Mais :

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Bien plus que le bruit des bottes, je crains le silence des pantoufles. Thierry Van Humbeeck
http://www.citation-du-jour.fr/citations-thierry-van-humbeeck-7264.html

Publié dans:coup de gueule |on 26 mai, 2014 |Pas de commentaires »

Le rire peut guérir

 

 

Le rire peut guérir

« Un jour, j’avais les pieds nus et aucun moyen d’obtenir des chaussures. J’allai trouver le chef de Kufah, dans un état de grande misère. Et là, je vis un homme qui n’avait pas de pieds. Je me tournai vers Dieu pour lui rendre grâce, repartis, et supportai désormais mes pieds nus avec patience.» 

Golistan de Saadi (poète persan du XIIIe siècle).

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Chère lectrice, cher lecteur,

De toutes les recherches que j’ai faites sur la capacité de guérison du rire, aucune histoire ne dépasse celle de Norman Cousins.

D’accord : je sais déjà que certains vont m’écrire pour me dire que cette histoire est anecdotique ou même qu’elle est exagérée.

N’empêche que cette affaire illustre selon moi un phénomène qui est beaucoup plus courant qu’on ne le dit : un malade décide de se prendre en main et de changer radicalement d’attitude face à la maladie. Et voilà que, solidement installé dans le siège du pilote, tenant enfin les manettes de sa propre vie, il se met brutalement – et inexplicablement – à aller mieux.

A-t-on besoin de croire aux miracles pour accepter cela ? Je suis persuadé que non.

C’est pourquoi j’ai décidé de raconter l’histoire de Norman Cousins, selon le récit qu’il en a fait lui-même dans son livre « Comment je me suis soigné par le rire » [1].

Une maladie « incurable »

Norman Cousins était un journaliste américain très connu, rédacteur en chef de la Saturday Review.

En 1964, ses médecins lui apprirent qu’il était atteint de spondylarthrite ankylosante. C’est une maladie incurable de la colonne vertébrale provoquant des douleurs dans le bas du dos et un raidissement articulaire. Tendons, ligaments et articulations se calcifient. À terme, les vertèbres ne forment plus qu’un seul bloc…

Cette maladie est très douloureuse, mais n’a pas de traitement à part des anti-douleurs, dont les effets secondaires peuvent être redoutables. Norman Cousins raconte même que ses médecins ne lui donnaient pas 1 chance sur 500 de survivre .

Confronté à ce sombre avenir, Norman Cousins se lança dans ses propres recherches. Il avait en effet une formation médicale, ayant été professeur adjoint à l’Ecole de Médecine de l’UCLA , et il fit trois choses absolument contraires à l’avis de ses médecins.

1) Prendre de la vitamine C à haute dose

La première fut d’étudier à fond tous les médicaments qu’il prenait. Il découvrit que ses traitements épuisaient ses réserves de vitamine C et, sur la base de ses recherches personnelles, parvint à convaincre ses médecins d’arrêter de lui donner plusieurs médicaments, et de lui injecter de très hautes doses de vitamine C, dont il estimait qu’elles étaient son dernier espoir.

2) Quitter l’environnement anxiogène de l’hôpital

Ensuite, Cousins décida de quitter l’hôpital et de s’installer dans une chambre d’hôtel. Il estimait que les hôpitaux, avec leur nourriture déplorable, leur hygiène douteuse, leur culture de la surmédicalisation, leur atmosphère de négativité et leur perturbation systématique du rythme du sommeil des patients, n’étaient « pas des endroits faits pour les personnes vraiment malades », selon ses termes.

3) Regarder des films comiques

Troisième chose, Cousins se procura un projecteur et un stock de films comiques, dont de nombreuses « Caméras cachées » et des films des Marx Brothers. Durant sa première nuit à l’hôtel, il rit tellement en regardant ces films qu’il parvint ensuite à dormir plusieurs heures sans ressentir de douleur. Le rire avait stimulé sa production d’endorphines, des produits chimiques aux effets anesthésiants fabriqués naturellement par le corps.

Lorsque la douleur se réveillait, il remettait les films en route et, après avoir bien ri, parvenait de nouveau à s’endormir.

Il raconte qu’en mesurant sa vitesse de sédimentation, un des examens de routine effectué au cours d’un bilan sanguin et qui permet de mesurer l’inflammation et les infections, il observa que son taux diminuait de 5 points chaque fois qu’il regardait un de ces films.

Guérison miraculeuse

Il put bientôt arrêter tous les médicaments, sauf la vitamine C et le rire.

Il décrivit les semaines qui suivirent comme une longue cure de rire qui le ramena peu à peu à la santé. Il put ainsi reprendre son travail à la Saturday Review, tandis qu’il continuait son traitement original.

Il est évident que le succès de ce traitement a beaucoup tenu à l’attitude même que Norman Cousins décida d’adopter.

En plus de garder, et stimuler, sa capacité à rire, c’est un homme qui croyait profondément en l’amour, la foi, et l’attitude positive face à l’existence (il fut un combattant acharné du désarmement nucléaire). Sa force de caractère et sa volonté de vivre contribuèrent certainement à sa guérison miraculeuse.

Déclencher l’effet placebo volontairement

Alors qu’il était à l’hôpital, il théorisa le fait que, si les émotions négatives comme la colère et la frustration peuvent nuire à la santé, cela pouvait aussi vouloir dire que, réciproquement, des émotions positives comme la joie et le rire pouvaient avoir l’effet opposé.

Certains parleront évidemment d’effet placebo. Mais Cousins s’est posé lui-même la question. Il en conclut que la créativité est la cause centrale de l’effet placebo : elle déclenche une chaîne d’événements dans le corps qui rétablit les équilibres (homéostasie) et l’impression de bien-être.

On peut donc, par l’effet de la volonté, déclencher un effet placebo, entraînant la guérison.

Relation de confiance avec le médecin

Il attribua enfin une grande partie de son succès à sa relation très proche et amicale avec son médecin, qui soutenait à deux mains sa démarche et l’encourageait dans son approche expérimentale malgré le fait qu’elle ne correspondait pas aux idées préconçues de la médecine.

Cette importance capitale de la relation patient/médecin est presque universellement reconnue et vérifiée statistiquement comme le facteur le plus important dans les chances de guérison en psychanalyse. Mais la chose pourrait-elle également être vraie dans le monde de la médecine ? Le cas de Norman Cousins contribue à nous le faire penser.

Annonce spéciale


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Suite de la lettre de ce jour : 

L’aspect le plus fascinant de l’histoire de Norman Cousin était sa capacité à rire, malgré des douleurs intenses et, très probablement, une grande angoisse, celle qui s’empare de toutes les personnes à qui l’on annonce qu’elles sont atteintes d’une maladie incurable. qui s’empare de toutes les personnes à qui l’on annonce qu’elles sont atteintes d’une maladie incurable.

Mais il mit un point d’honneur à rire jusqu’à se faire mal à l’estomac, de ce rire inextinguible qui allait jusqu’à déclencher un puissant effet antidouleur. Dans son livre, il cite de nombreux penseurs qui, à travers les âges, avaient réalisé comme lui la capacité de guérison du rire, et cette liste inclut le philosophe anglais Francis Bacon, Emmanuel Kant, Sigmund Freud et le Dr Albert Schweitzer. Sans doute cette liste pourrait être beaucoup plus longue.

Car ultimement, le rire pourrait est un moyen pour l’être humain de sortir de lui-même, de ses limites, et de trouver l’itinéraire qui le ramène à la santé. C’est pourquoi le voyage de Norman Cousins qui, grâce au rire, l’a ramené à la vie, peut être pour nous tous une source d’inspiration.

À votre santé,

Jean-Marc Dupuis

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Publié dans:remède de grand-mère |on 25 mai, 2014 |1 Commentaire »

Depuis quand lit-on la bonne aventure ?

 

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Depuis une nuit des temps dans laquelle on lit parfois des choses fort inquiétantes…

« Miroir suis-je la plus belle ? » Du miroir de Blanche Neige aux salons feutrés où Aristide Briand, Clémenceau, Proust ou encore Jean Jaurès recevait Madame Fraya, la voyante la plus célèbre du 20ème siècle, la lecture de la bonne aventure est restée populaire. Les origines de cet art divinatoire se perdent dans la nuit des temps mésopotamienne. Quand les adorateurs d’Ahura Mazda, cherchaient à lire l’avenir dans les entrailles, un officiant se chargeant de tuer l’animal, un autre de lire l’avenir dans ce qui sortait de son ventre…

 

Croire que la bonne aventure se lit uniquement dans une boule de cristal ou dans le marc de café serait faire montre de courte vue. Qu’il s’agisse d’Achilléomancie (divination obtenue avec la manipulation de branches de millefeuille), nécromancie, palmomancie (étude divinatoire des mouvements instinctifs), numérologie, cartomancie ou encore ologymancie (interprétation des hurlements de chiens), l’avenir se lit de mille manières. Le but est de connaître l’avenir et de conjurer le mauvais sort.

 

Devenue une vraie mode au 19e siècle
La bonne aventure est à mi-chemin entre la voyance, basée sur la « possession » du médium, et la mantique qui s’appuie sur l’interprétation de signes fournis par des objets : cartes, marc, etc. Selon les spécialistes, l’astrologie est la technique divinatoire la plus ancienne. Elle est utilisée depuis la préhistoire. Les grecs ont surtout crus à la voyance pure souche avec des figures comme la pythie de Delphes, les prêtresses de Dodone, le Tirésias d’Homère et de Sophocle, etc. Les romains versèrent davantage dans la mantique, les néo pythagoriciens du second siècle de notre ère recourant même à des sacrifices interdits par les fondateurs de la doctrine (400 ans avant JC).

 

Avec le christianisme, l’art divinatoire est interdit mais il continue à se pratiquer sous le manteau. Au 12ème siècle la géomancie (interprétation de figures constituées de points) traverse la méditerranée. Au 16ème siècle, Nostradamus publie ses prophéties et il faudra encore attendre 2 siècles pour voir apparaitre la tarologie. C’est au 19ème siècle que lecture de bonne aventure et technique divinatoire seront le plus à la mode en France. Cette mode ira jusqu’à former un courant intellectuel que Philippe Murray qualifiera de « social occultisme ».

le lien ici :

http://www.planet.fr/magazine-depuis-quand-lit-on-la-bonne-aventure.589844.6553.html?xtor=ES-1-583400[Planet-a-la-Une]-20140419

Depuis quand… la semaine compte-t-elle 7 jours ?

 

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La semaine romaine comptait 8 jours et le fait de l’avoir rétrécie à 7 jours trouve son origine dans l’observation du ciel… Tous les détails avec Planet.fr.

La semaine totalise 7 jours mais elle aurait très bien pu en compter plus. Ainsi, le premier calendrier Romain (dit Romuléen) était divisé en 10 mois et sous l’empereur Auguste, les semaines, dîtes nundinae, comptaient … 8 jours.

Le découpage de la semaine en 7 jours n’est devenu la norme qu’au 3ème siècle après JC. Il découle de l’astrologie. En observant le ciel, les anciens ont constaté que les cycles lunaires se déroulaient en 28 jours. Ils ont ensuite découpé la durée d’un cycle par quart, ce qui a donné 7 jours, la longueur des mois et des années faisant, par ailleurs, l’objet de savants calculs.

Les semaines auraient pu compter 10 jours…
Les 7 jours ont ensuite été associés aux 7 astres dont les astronomes suivaient le plus aisément la course. D’abord, le Soleil (dimanche) et la Lune (lundi) mais aussi 5 autres planètes particulièrement visibles dans le ciel étoilé : Mars (mardi), Mercure (mercredi), Jupiter (jeudi), Vénus (vendredi) et Saturne (samedi). Si les anciens avaient eu la possibilité d’observer les confins du système solaire et de suivre la trajectoire d’Uranus, Neptune et Pluton, les semaines auraient donc pu avoir 10 jours !

la suite ici

http://www.planet.fr/magazine-depuis-quand-la-semaine-compte-t-elle-7-jours.626765.6553.html?xtor=ES-1-622111[Planet-a-la-Une]-20140524

Larousse, Petit Robert et compagnie

 

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Des nouveaux mots viennent s’ajouter à ceux de  notre belle langue  et à la vitesse où ça va , notre vocable  sera,  dans peu de temps tout, sauf français.

Vapoter – selfie – hipster – Hystérisation …………………. Allez ! on apprend leur signification si on ne veut pas mourir idiot.

le lien ici :  

http://www.linternaute.com/actualite/societe-france/les-nouveaux-mots-du-dictionnaire-2015/?utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml287_nouveauxmotsdud

 

A Genève, sur les traces du premier ghetto juif d’Europe

le  mot« ghetto » vient du vénitien « getto » ou « gheto » et signifie « fonderie » du nom de cette corporation qui occupait les lieux à Cannaregio. Après l’inquisition, les juifs qui fuient l’Espagne y sont regroupés. Le mot « ghetto » a aussi été rapproché, dès le xvie siècle, de la racine hébraïque guet signifiant « séparation », « divorce », mais ce rapprochement n’indique pas (ni n’entendait indiquer) une étymologie.

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Ce n’est pas Venise qui a créé le premier ghetto juif comme le veut l’historiographie classique, mais Genève, près d’un siècle avant la Sérénissime. Ce n’est pas pour se vanter…

Les lecteurs de Jean Plançon, historien autodidacte qui autopsie l’histoire des juifs de Genève depuis de longues années, le savent. Pour les autres, approcher ce thème  au cours d’une visite guidée dans  la Vieille Ville avec ce passionné a un charme particulier. Ce dimanche18 mai, c’est à l’initiative du GIL, communauté israélite libérale de Genève, qu’une quarantaine de curieux ont parcouru deux facettes de l’histoire genevoise, celle du ghetto et celle de l’université.

Au cours du 13e siècle, des juifs arrivent à Genève, petite ville concentrée sur sa colline. Ils sont de passage et paient un droit d’entrée supérieur aux autres voyageurs: pour les hommes quatre deniers, pour les femmes enceintes, huit.

Le concile du Latran de 1215 a étendu les restrictions imposées aux juifs, dont l’obligation de porter une marque distinctive: chapeau à bout pointu en Allemagne, rouelle en France, un signe destiné en particulier à éviter que des chrétiens puissent sans le savoir avoir des relations charnelles avec des juifs.

Un début prometteur

C’est en 1396 qu’une présence juive est relevée à Genève. Les arrivants s’installent librement sur la colline. La communauté compte d’abord une quinzaine de familles qui se regroupent entre la place du Grand Mézel et la rue de l’Ecorcherie (les abattoirs). Parmi les hommes, des médecins, des maîtres d’enseignement, des banquiers, « des familles opulentes qui vont acheter des maisons, reconstruire des granges et financer le réaménagement des rues », raconte Plançon.

Cette réussite suscite bien sûr une certaine jalousie. Pierre de Magnier, responsable de la paroisse de Saint-Germain sise dans le quartier de « la juiverie », adresse une supplique au Comte de Savoie afin qu’il oblige les juifs à porter un signe distinctif … sous prétexte toujours d’éviter l’épouvantable perspective de relations sexuelles avec des chrétiens. Le Comte n’obtempère pas.  En 1406, on compte une trentaine de familles, entre 100 et 200 personnes.

C’est en 1428, sous la pression des commerçants, que le Conseil de Genève décide par décret d’assigner à résidence les juifs durant la nuit. Deux  nouvelles portes sont construites afin de fermer le quartier.

L’ancêtre de tant d’autres

C’est le premier ghetto d’Europe, ancêtre de ceux qui se multiplieront au XVIe siècle. Il ne s’appelle pas ainsi, le mot n’apparaîtra qu’en 1516 avec le ghetto de Venise. On l’appelle le «Cancel», qui signifie bornes, limites, barrières.

Les familles juives sont expropriées et doivent payer un loyer à leurs nouveaux propriétaires.

La situation se gâte un peu plus lorsqu’en 1461, des émeutiers attaquent et pillent le cancel. L’hostilité de la population croît. Il est interdit aux juifs d’être drapiers ou médecins. Et une manœuvre originale permet de clore la question: en 1490, le Conseil de Genève décide de déplacer les filles de joie dans le cancel en laissant croire que c’est à la demande des juifs. Les Genevois crient au scandale, demandent leur expulsion. Les autorités cèdent.

Les expulsés s’en vont à Versoix où ils sont plutôt bien accueillis. Ils resteront dans cette région plus de 100 ans puis s’en iront progressivement, volontairement. On n’a plus trace d’eux dès 1632. Ils reviendront deux siècles plus tard.

Les  révoltes fermentent dans la Petite Russie

Un autre volet de cette histoire genevoise contée au détour de quelques haltes, est un peu plus connue, elle concerne les Russes, l’université et la politique. C’est en 1874 que l’Académie de Genève devient une université par la création de la faculté de médecine. Adolphe de Rothschild crée une clinique ophtalmologique réputée.

L’idée d’attirer des étudiants aisés anglo-saxons échoue. Dès 1880, ce sont des ressortissants de Russie qui affluent (dont d’Ukraine, de Biélorussie et des Pays Baltes), mais aussi des Balkans et de la Turquie. La population genevoise les surnommera « les Orientaux ».

Dans l’empire tsariste, un sévère numerus clausus restreint l’accès des minorités aux universités et il n’en compte qu’une dizaine pour 125 millions d’habitants. Les femmes y sont interdites.

En 1910, sur 1438 étudiants, 61% sont orientaux, très attirés par la médecine, dont 60% de femmes (la moitié font médecine!). Elles représentent cette année-là 43% des doctorats. Quelque 80% de ces étudiants sont juifs.

Lina Stern, juive originaire de Lettonie, sera la première femme professeure de l’université, à la faculté de médecine de 1918 à 1925. Elle a fait des découvertes majeures sur le cerveau et donne à Genève  selon Plançon « son statut de leader mondial des neurosciences ». Elle est sollicitée par Moscou et après deux décennies de succès sera victimes des purges antisémites de Staline. Son procès et celui d’autres intellectuels et artistes membres du présidium du Comité antifasciste juif a lieu secrètement en été 1952. Treize de ses co-accusés sont condamnés à mort et exécutés. Elle est condamnée au bannissement.

Ébullition révolutionnaire

La fin du 19e est une période d’ébullition révolutionnaire. De nombreux étudiants ont été forcés à l’exil par leur régime. Genève est libérale et la liberté d’expression étendue. Les exilés qui sont marxistes, anarchistes, sionistes, etc. poursuivent leurs activités politiques, créent les cercles sociaux-démocrates, fondent le Bund, le Parti ouvrier social-démocrate russe. Lénine, familier de la brasserie du Landolt, prépare le Grand soir en partie à Genève.  Les éditions de propagande anti-tsariste se multiplient, les imprimeries clandestines sont nombreuses.

Ces étudiants et militants se concentrent dans le secteur de l’université, surtout autour de la rue de Carouge surnommée par certains « Karoutshka ». Le quartier lui-même est appelé « la petite Russie ». Les meetings politiques sont quotidiens dans les brasseries, et très animés: les chaises et les tables volent souvent.

Les conditions de vie de cette population sont des plus spartiates, souvent un litre de lait et un pain pour la journée. Et certains renoncent parfois à manger pour s’offrir une séance au théâtre. Barbus et chevelus, pauvrement vêtus, ils suscitent des critiques. Quant aux nombreuses jeunes femmes slaves… et blondes, elles suscitent fantasmes et envies. Les Genevois décrient leurs mœurs.

Dès 1910 le reflux des « Orientaux » commence, accentué par la guerre et à partir de 1917 par la Révolution russe.

http://www.gerard-brazon.com/article-histoire-d-hier-et-d-aujourd-hui-sur-les-traces-du-premier-ghetto-juif-d-europe-123687360.html

L’histoire des trois sourds…

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C’est l’histoire d’une femme. Elle était sourde, tellement sourde qu’elle n’entendait rien. Tous les matins elle portait son enfant sur son dos et elle se rendait à son champ. Elle avait un immense champ d’arachides. Et un matin qu’elle était là, tranquillement à travailler dans son champ, arrive un monsieur. Un monsieur tellement sourd qu’il n’entendait rien. Et ce monsieur cherchait ses moutons. Ecoutez-bien ! Il s’adressa à la dame : 


- « Madame, je cherche mes moutons, leurs traces m’ont conduit jusqu’à votre champ. Est-ce que vous ne pourriez pas m’aider à les retrouver ? D’ailleurs, on les reconnaît bien mes moutons, parmi eux, il y a un mouton blessé. Madame si vous m’aidez à retrouver mes moutons, je vous donnerez ce mouton blessé vous pourrez toujours vous en servir. »

« Mon champ s’arrête la bas ! »

Mais elle, n’ayant rien entendu, rien compris, elle a pensé que ce monsieur lui demandait juste jusqu’où son champ s’arrêtait. Elle se retourna pour lui dire : 


- « Mon champ s’arrête là-bas. » Le monsieur a suivi la direction indiquée par la dame et par un curieux hasard il trouva ses moutons en train de brouter tranquillement derrière un buisson.

Tout content il les rassembla et est venu remettre à la dame le mouton blessé. Mais celle-ci, n’ayant rien entendu, rien compris, elle a pensé que ce monsieur l’accusait d’avoir blessé son mouton. Alors elle s’est fâchée : 


- « Monsieur, je n’ai pas blessé votre mouton. Allez accuser qui vous voulez mais pas moi. D’ailleurs des moutons, je n’en ai jamais vus. »

Le monsieur quand il a vu que la femme se fâchait, il a pensé que cette femme ne voulait pas de ce mouton mais qu’elle voulait d’un mouton plus gros. Et à son tour, il se fâcha : 


- « Madame, c’est ce mouton que je vous ai promis. Il n’est pas du tout question que je vous donne le plus gros de mes moutons. »

Tous les deux il se fâchèrent, ils se fâchèrent à un tel point qu’ils finirent par arriver au tribunal.

Et le tribunal dans cette Afrique d’il y a longtemps, cela se passait sur la place du village, à l’ombre d’un grand arbre, l’arbre à palabres le plus souvent un baobab. Et le juge, lui qui était en même temps le chef du village il était là entouré de tout ces gens qu’on appelle les notables.

La dame et le monsieur sont arrivés tout en continuant leur querelle. Et après les salutations c’est elle qui parla la première : 


- « Ce monsieur m’a trouvé dans mon champ, il m’a demandé jusqu’où mon champ s’arrêtait. Je lui ai montré et j’ai repris mon travail. Ce monsieur est parti et quelques instants après il est revenu avec un mouton blessé m’accusant de l’avoir blessé. Or moi je jure que des moutons j’en ai jamais vus. Voilà pourquoi on est ici monsieur le juge. »

C’était au tour du monsieur : 


- « Je cherchais mes moutons, dit-il, et leurs traces m’ont conduit jusqu’au champ de cette dame. A cette dame j’ai dit que si elle m’aidait à retrouver mes moutons je lui donnerais un d’entre eux mais j’ai bien précisé le mouton blessé. Elle m’a montré mes moutons, c’est ce mouton blessé que je lui ai donné. Elle veut un mouton plus gros. Pensez-vous que je vais lui donner le plus gros de mes moutons à deux pas de la fête des moutons ? »

Le juge se leva. Il était aussi sourd qu’un pot. Et quand il a vu l’enfant sur le dos de sa mère il a pensé qu’il ne s’agissait là que d’une petite querelle de ménage. Alors il s’adressa au monsieur : 


- « Monsieur. Cet enfant est votre enfant. Regardez d’ailleurs comment il vous ressemble. A ce qu’il me semble vous êtes un mauvais mari. Et vous madame, des petits problèmes comme cela. Ce n’est pas la peine de venir jusqu’ici étaler ça devant tout le monde. Rentrez chez vous ! Je souhaite que vous vous réconciliez. »

Ayant entendu ce jugement, tout le monde éclata de rire. Et le rire contamine le juge, la dame et le monsieur. Que firent-ils ? Ils éclatèrent de rire bien que n’ayant rien compris. Et c’est à partir de là que le conte pose sa question :

Le conte voudrait savoir, lequel de ces trois est le plus sourd ?

La Leçon


Il vaut mieux ne pas se dépêcher de donner une réponse. On conseille quelque part en Afrique, d’avoir le cou aussi long que celui de la girafe, afin que la parole avant de jaillir puisse prendre tout son temps.

Conte Africain

Publié dans:mystique sagesse |on 24 mai, 2014 |4 Commentaires »
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