Archive pour avril, 2014

Les morts célèbres

 

 

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Opéré par Ambroise Paré qui s’était entrainé sur des cadavres, le mari de Catherine de Médicis agonisa durant 10 jours sans que l’on puisse lui venir en aide… Tous les détails avec Planet.fr.

En ce mois de juillet 1559, alors que la Renaissance se termine, Henri II, 40 ans, a organisé un tournoi pour fêter un mariage et la victoire qu’il a obtenu en reprenant la ville de Calais aux Anglais. Alors que les bretteurs sont sur le point de raccrocher les lances, le roi décide d’engager un dernier assaut contre le comte Gabriel de Montgomery afin de prouver sa vaillance à Diane de Poitiers, qu’il convoite.

 

Au milieu de la lice, la lance de Montgomery se brise sur la cuirasse du roi. Les éclats volent. Sous la violence du coup, le monarque tombe de cheval. En le secourant, les écuyers se rendent compte que la visière de son heaume s’est ouverte durant l’échange. Le maréchal de Vieilleville a oublié de fixer le crochet la maintenant fermée. Le roi a un morceau de lance figé sous l’œil droit. Il s’est évanoui et perd beaucoup de sang.

 

Une mort annoncée par les astres
Le chirurgien Ambroise Paré est chargé de lui extraire cette gigantesque écharde du visage. Comme il n’a jamais procédé à ce type d’opération le médecin s’entraine sur les têtes décolletées de 4 condamnés à mort. On leur plante des morceaux de lance dans l’œil. Les têtes sont ensuite tranchées verticalement pour permettre l’observation. 

 

Le jour de l’opération les choses se passent mal. Affaibli par les saignées, le roi ne se remettra pas de cette trépanation. Il mourra après 10 jours d’interminables souffrances dans l’hôtel des Tournelles. Le fils de François 1er avait pourtant été prévenu. Sept ans auparavant, l’évêque et astrologue Luc Gauric lui avait conseillé d’éviter les tournois sur la quarantaine, l’astrologue Nostradamus lui annonçant une mort cruelle en 1555.

http://www.planet.fr/magazine-comment-sont-ils-morts-la-lance-dhenri-ii.589915.6553.html?xtor=ES-1-583400[Planet-a-la-Une]-20140419

expression : être bouché à l’émeri

 

 

« Etre bouché à l’émeri  » Être idiot, obtus, borné. Être incapable de comprendre.

DCF 1.0
Tout le monde connaît (ou devrait connaître) la toile émeri, qu’il ne faut pas confondre avec le papier de verre.

L’émeri est un matériau très dur qui sert d’abrasif depuis de nombreux siècles, le genre de produit avec lequel il est plutôt déconseillé de nettoyer son écran[1].

L’émeri n’est en aucun cas un produit de bouchage, comme le plâtre ou le liège, par exemple.
Alors pourquoi dit-on bouché à l’émeri ?

Autrefois, pour qu’un récipient, flacon ou fiole en verre soit bouché de la manière la plus étanche possible, on polissait à l’émeri l’extérieur du bouchon et l’intérieur du goulot, pour que le contact entre les deux soit le plus parfait possible.

Une fois qu’on sait cela, on est un peu plus à même de comprendre la métaphore de notre expression.

Quand, en argot, on dit de quelqu’un qu’il est ‘bouché’, c’est non seulement pour dire que la nature ne l’a pas trop gâté sur le plan intellectuel, mais aussi pour signifier qu’il est complètement hermétique, au sens où aucune once d’intelligence ne peut y entrer, où il est quasiment impossible de lui faire comprendre quelque chose.

Hermétique ? Etanche ? Vous venez de comprendre ! Le bouché à l’émeri  est comparable à ce récipient étanche duquel rien ne peut sortir mais dans lequel rien ne peut rentrer non plus.

Le terme argotique ‘bouché’ tout seul date du XVIIIe siècle (mais on disait déjà « un esprit bouché » au XVIIe). La variante avec l’émeri est apparue au début du XXe.

extrait de Expressio

17 avril, la journée des secrétaires

 

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17 avril, la journée des secrétaires.

Que de souvenirs ! J’avais 15 ans ½, j’étais sténo- dactylo débutante et grâce à mon jeune âge mes « supérieures » m’ont prise sous leur protection et c’est avec elles et grâce à elles, que j’ai appris à écrire correctement le français, à bien présenter mes lettres, à savoir classer les documents de façon à les retrouver rapidement, à être aimable au téléphone, à répondre avec précision et amabilité, à bien parler, à m’exprimer clairement.

Et puis, j’ai gravi les échelons, à mon tour, j’ai eu du personnel sous mes ordres. Je le sais car cela m’a été répété, chaque nouvelle arrivante se demandait à quelle sauce elle serait mangée tant, parait-il, je leur faisais peur mais avec le temps, celles qui travaillaient pour moi ont compris que je leur transmettais ce que je savais afin qu’elles aussi deviennent plus tard, des personnes indépendantes et fières de ce qu’elles faisaient.

Le temps a passé, la retraite est arrivée, et internet aussi est entrée dans ma vie et moi, la petite débutante, l’éternelle autodidacte, je me délecte de pouvoir chercher réponse à toutes les questions que je me pose, à fouiller un peu partout pour faire de nouvelles découvertes, à remplir mes blogs de tout, informations, humour, poésie, coups de gueule, spiritualité, écologie.

Avec mes semblables je suis toujours l’affreuse mégère qui rouspète, qui se fâche quand certains dénaturent notre belle langue et en plus prétendent que cela n’a pas d’importance, contre ceux aussi  qui ne savent pas écrire autrement qu’en employant des mots vulgaires et qui refusent de l’admettre sous le prétexte que, d’après eux : « ce n’est pas vulgaire, c’est la vérité »

Tellement déçue parfois par le genre humain je décide souvent de ne plus lui parler mais je n’y suis pas encore arrivée car j’ai tellement de choses à dire…………..

Quoi qu’il en soit, je suis trop vieille pour changer alors je resterai jusqu’au bout ce que j’ai toujours été. A vous de vous y faire ! Yaël

 

les 7 dons de l’enfant

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Un enfant naît avec sept dons naturels.

Le premier est l’innocence, le second est l’ouverture d’esprit, le troisième est l’imagination, le quatrième est la confiance, le cinquième est une passion pour la vie, le sixième est la compassion pour la vie, le septième est le courage.

Voilà les dons que le monde tente de dérober à chaque enfant, en les remplaçant par sept traits inférieurs comme la culpabilité, l’étroitesse d’esprit, le conformisme, le doute, l’apathie, l’insensibilité et la peur.

Comme Gédéon, j’ai découvert la face sombre de l’humanité quand j’étais encore enfant, lorsque j’ai vu assommer un bébé phoque pour la première fois. Mais j’ai aussi eu la joie de voir les baleines et de nager au milieu des castors, des dauphins, des phoques et des poissons.

Mon enfance m’a donné pour toute ma vie l’amour des autres créatures et de la nature, et pour toute ma vie aussi la passion de défendre et protéger. Elle m’a aussi fait entrevoir les choses auxquelles je ne voulais pas prendre part. Lorsque j’étais enfant, je me disais que je ferais cesser le massacre des phoques et que je protègerais les animaux sauvages.

Mes expériences enfantines ont modelé mon évolution en tant qu’adulte, et je n’ai jamais perdu cette innocence, j’ai gardé un esprit ouvert, nourri mon imagination et conservé ma confiance, ma passion et ma compassion, et renforcé mon courage.

Les livres que j’ai lus, les oiseaux dont le chant m’a émerveillé, les animaux que j’ai vus, les grands professeurs que j’ai écoutés et l’amour qui emplissait constamment mon cœur m’ont gardé sur la voie de la compassion.

Chaque enfant a le potentiel pour la grandeur, et cette grandeur peut être nourrie simplement en ne renonçant pas aux sept vertus positives pour les remplacer par les sept traits négatifs.

Les rêves d’un enfant peuvent se réaliser s’il ne perd pas les sept dons naturels qu’il reçoit à la naissance. Le secret est simple. Suivez votre cœur, et souvenez-vous que votre cœur n’a jamais tort.

Capitaine Paul Watson

Ce texte est la préface de notre livre « Gédéon et la plage rouge », un livre pour enfants sur les massacres de globicéphales aux iles Féroé qui sera bientôt en vente au prix de 10 euros pour nous aider à financer la prochaine mission aux iles Féroé.

Photo : Genetikmonoeil Bpbo

expression : d’ores et dejà

 

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« D’ores et déjà » Dès maintenant

Si l’adverbe déjà n’a aucun secret pour personne quant à son sens moderne, on peut quand même s’attarder un peu sur son étymologie.
Le mot est issu d’une locution adverbiale du XIIIe siècle, « dès ja », où dès est la préposition que vous trouvez dans dès maintenant ou dès potron-minet, par exemple, et de ce même ja que vous retrouvez dans jamais, entre autres, et qui nous vient du latin jam qui, pour le présent, signifiait « dès maintenant », et « il y a un instant » pour le passé très proche.

Mais la chose intrigante dans notre locution adverbiale est ce « ores ». En fait, vous le connaissez déjà, sous sa forme courte, en tant que conjonction de coordination « or »,

Sous cette forme, il n’existe plus que dans notre locution qui date du début du XVIIe siècle, mais qui existait auparavant au XIVe sous la forme « d’ores a ja ».

Ores ou or, au XIIe siècle, voulait d’abord dire « maintenant ». Mais il a aussi rapidement des sens variés comme « alors donc », « assurément » ou « en réalité ». Dans notre locution, il renforce le « dès maintenant » de déjà.

Alain Rey suppose qu’elle est issue des milieux juridiques.

Extrait de Expressio

Quelle chance de vivre notre époque !

 

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Nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, qui vivaient avant l’introduction de l’agriculture, étaient rarement touchés par les maladies chroniques qui affectent aujourd’hui massivement les populations :

  • diabète
  • hypertension
  • caries
  • athérosclérose (artères rigides et bouchées)
  • obésité
  • certains cancers (poumon, côlon, sein)
  • problèmes psychiques variés : hyperactivité, autisme, dépression, etc.

Cette robuste santé, ils la devaient à leur mode de vie et surtout à leur alimentation.

Ils ne consommaient tout simplement aucun des produits de base de l’alimentation moderne : produits industriels à base de céréales (pain, pâtes, pâtisseries), sucreries, sodas, produits laitiers en grande quantité (« consommez trois produits laitiers par jour », conseillent toujours actuellement les affiches dans les écoles et les hôpitaux, au mépris de toutes les recherches récentes sur le lait et le cancer, les problèmes digestifs ainsi que les maladies du squelette, les allergies et les maladies auto-immunes, dont le diabète de type 1).

Mais alors, que mangeaient-ils ?
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L’alimentation des chasseurs-cueilleurs

Nos ancêtres chasseurs-cueilleurs se nourrissaient de légumes, fruits, noix, certaines feuilles, fleurs, racines et graines qu’ils trouvaient dans la nature, de poissons, de crustacés et de gibier, selon les zones où ils vivaient.

Plus ils étaient proches de l’équateur, plus leur régime était riche en produits végétaux. Ceux qui vivaient dans les régions froides et montagneuses vivaient essentiellement de la chasse, avec le cas extrême des Inuits dont l’alimentation, mais aussi tout le mode de vie (vêtements, outils, matériaux de construction) étaient issus de la chasse au phoque, de la pêche, et occasionnellement de la découverte de la carcasse échouée d’une baleine ou autre grand mammifère marin.
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L’envers de la médaille

A ce stade, il est facile pour nous, hommes du XXIe siècle, d’imaginer une vie idyllique où pizzas, chips et lasagnes surgelées seraient remplacées par de généreuses assiettes de poisson sauvage grillé, agrémenté de salades fraîcheurs d’avocat, de jeunes pousses d’épinard et de mesclun, et suivies de bonnes salades de fruits frais multicolores.

Mais c’est oublier que la diversité de nos vergers, de nos potagers, et surtout des actuels étals de nos supermarchés n’existait pas, et de très loin, à cette époque.

Si vous étiez par exemple chasseur-cueilleur en Europe occidentale, le seul fruit consommé actuellement que vous aviez à disposition était… la groseille, et la groseille à maquereau.

Bien entendu, la groseille ne se présentait pas dans un pot de confiture ou de gelée couleur vermeille. C’était la groseille des arbustes, sans sucre, bourrée de pépins, et d’une acidité à vous faire faire la grimace à chaque bouchée.
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Les pommes et les poires ? Il n’y en avait que dans le Caucase, une région montagneuse à 4000 kilomètres vers l’est.

Le raisin, les cerises, les prunes ? Il fallait aller jusqu’en Mésopotamie.

Les fraises ? Elles ne poussaient qu’aux Etats-Unis et en Argentine, de l’autre côté de l’océan Atlantique.

Les framboises, les mûres ? Aux Etats-Unis également.

Quant au citron, à l’orange, au pamplemousse et à la banane, inutile d’y penser, il aurait fallu aller jusqu’en Asie du Sud-Est, une destination qui reste actuellement, à l’heure de l’Airbus 380, un voyage interminable…

Et que dire des légumes ???

Aimez-vous la soupe au chou et au navet ?

Ne poussaient naturellement en Europe occidentale que les choux, les carottes, les fèves et les navets.

Les pommes de terre, les tomates, les haricots, les citrouilles, que nous imaginons si facilement dans les potagers médiévaux, ne sont arrivés en Europe qu’après le débarquement de Christophe Colomb en Amérique, au XVIe siècle et même au XVIIIe siècle seulement pour la pomme de terre.
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L’oignon, les épinards, la betterave, les asperges, le céleri, les pois, la laitue et les radis étaient des légumes qui ne poussaient qu’au Moyen-Orient.

L’aubergine et le concombre n’existaient qu’en d’Inde.

Autrement dit, la cuisinière de l’époque des chasseurs-cueilleurs devait faire preuve d’une incroyable imagination pour réussir à accommoder ses soupes de légumes, surtout que, je le rappelle, elle n’avait ni beurre, ni crème, ni fromage, ni poivre !!

Moralité : il est bon, et même excellent, de nous inspirer le plus possible du régime des anciens chasseurs-cueilleurs pour vivre sainement, et apporter à nos organismes une nourriture adaptée à ses besoins. Mais réjouissons-nous (très fortement !) de vivre à une époque où nous pouvons, si facilement, varier les plaisirs… Si vous ne partagez pas entièrement mon optimisme, lisez donc le témoignage de cette lectrice en vous rendant ici, il éclaire ma journée à chaque fois que je le lis.

Et profitons de l’extraordinaire diversité des légumes et des fruits que nous trouvons aujourd’hui dans le commerce, ou que nous pouvons faire pousser dans nos potagers, pour jouer sur toute la gamme des saveurs et des textures qui réjouissent tant nos papilles, et apportent tant de bons nutriments à nos organismes.
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A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sante Nature Innovation

contact@santenatureinnovation.com

Publié dans:écolo. végétarien.végan, sante |on 15 avril, 2014 |Pas de commentaires »

expression : Une réponse de normand

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« Une réponse de Normand  » Une réponse ambigüe ou évasive.

D’après l’Allemand Walter Gottschalk, dans son ouvrage sur la langue française publié en 1930, cela viendrait d’une ancienne loi normande qui permettait à quelqu’un ayant signé un marché, de s’en dédire dans les 24 heures. D’où le proverbe « un Normand a son dit et son dédit ».
En clair, cela voulait dire qu’on ne pouvait aucunement se fier à la parole et même à la signature d’un Normand puisque, une fois que vous aviez le dos tourné, il pouvait casser votre accord.

Nous disposons d’une grande quantité de vocabulaire très peu châtié pour désigner ce genre de comportement, et même si ce n’est pas ici le sujet, imaginez simplement que, par exemple, le lendemain de la signature du compromis de vente de votre appartement, l’autre partie vous annonce que vous pouvez vous brosser pour qu’elle achète votre bien, et le vocabulaire en question vous reviendra vite.

La réputation des Normands étant ainsi faite, on constate que, plus tard, chez des auteurs comme La Fontaine, Fontenelle ou Madame de Sévigné, un Normand est devenu synonyme de « rusé » ou « madré ».

Il existe même plusieurs locutions ou proverbes où le Normand trouve une bonne place :

  • Une « réconciliation normande » est simulée
  • Garde-toi d’un Gascon ou Normand, l’un hâble, l’autre ment
  • Un Manceau vaut un Normand et demi

Ce qui va faire plaisir aux Normands, c’est qu’ils ne sont finalement pas seuls à être mal considérés. Et les Manceaux (de la région du Mans, les spécialistes de la rillette) seraient même pires encore !

Y a-t-il des Manceaux dans la salle ?

Extrait de Expressio

les quatre grandes questions

 

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Les 4 questions majeures :
 « Que puis-je savoir ? » : c’est le domaine de la métaphysique
 « Que dois-je faire ? » : distinguer le bien du mal, c’est le domaine de l’éthique ou de la morale
 « Que puis-je espérer ? » : c’est le domaine du spirituel
 « Qu’est-ce que l’homme ? » : c’est le domaine de l’anthropologie

Publié dans:QUESTION |on 14 avril, 2014 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : la destinée

 

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« Devant certaines destinées humaines on est tenté de se dire que de telles existences n’ont pas de sens. Voilà des êtres qui avaient des possibilités d’apprendre, de comprendre, de faire quelque chose d’utile, mais apparemment ils n’ont rien appris, rien compris, rien fait, sauf des erreurs ! Est-ce que cela valait seulement la peine qu’ils vivent ?…

Eh bien, c’est là un très mauvais raisonnement. L’existence actuelle d’un être n’est que le maillon d’une longue chaîne.

Pour comprendre ce que vit tel homme ou telle femme au cours d’une de ses incarnations, il ne faut pas considérer cette incarnation isolément, mais la relier à toutes ses incarnations passées depuis des siècles et des millénaires, et en même temps savoir que cette existence se poursuivra dans le futur.

On se trompe toujours sur la signification à donner au présent, si on ne le replace pas dans cette continuité qui va d’un passé lointain à un futur encore plus lointain. Quand on ne sait pas quel sens donner à la vie des gens, on n’a pas à dire qu’elle n’en a aucun, et quels que soient les êtres, c’est un sujet sur lequel on n’a pas le droit de porter de jugement.

Toute vie a un sens, et plutôt que de se prononcer sur la vie des autres, chacun doit chercher à donner de plus en plus de sens à sa propre vie afin de préparer son avenir

 Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 14 avril, 2014 |Pas de commentaires »

Une Mamie répond à la question de sa petite fille.

 

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 « Mamie, tu as peur de mourir ? »

« - Qui, moi ? Peur de mourir ? Quelle question ! Je n’ai que 60 ans… Mais pour ma petite-fille de 4 ans, c’est déjà très vieux, apparemment.

Et puis de toute façon, non, je n’ai pas peur de mourir. À mon âge, on n’est plus vraiment inquiet face à la mort. On est plutôt curieux.

Ce qui me fait vraiment peur, c’est de vivre…

  • Vivre seule dans une maison de retraite médicalisée…
  • Vivre avec Alzheimer…
  • Vivre dans un état de dépendance, sans voir ou sans entendre…

Ce sont ces angoisses-là qui me prennent à la gorge la nuit quand je me réveille… »

Pour ma part, je répondrais ceci :

 

 

 -Non je n’aurais pas peur de vivre seule dans une maison de retraite médicalisée, je n’en suis pas encore là, mais si c’était le cas, je verrais cela comme un progrès par rapport  à ma vie présente car je vis seule et si je suis malade, je dois aller par mes propres moyens chez le docteur, au laboratoire ou encore acheter mes médicaments.

 

-       Non je n’aurais  pas peur de Vivre avec Alsheimer car comme mes souvenirs m’auraient quittés, je ne me rendrais pas compte de mon état. Mon entourage en souffrirait mais pas moi.

 

-       Sans entendre ne serait pas vraiment un problème car il y a beaucoup de choses que je n’écoute pas. Ne pas voir serait plus gênant mais alors je ferais comme les aveugles, j’apprendrais à vivre sans mes yeux et je prendrais des cours de  braille et je saurais lire sur les lèvres.

 

Et si en plus j’avais un chien alors là !!!!!!!!! ce serait le bonheur complet.

Et vous que répondriez vous à ces questions ?

Sante Nature Innovation santenutrition@sante-nature-innovation.fr

Publié dans:QUESTION, sante |on 13 avril, 2014 |Pas de commentaires »
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