Archive pour novembre, 2013

spiritualité et sentiments fraternels

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« Le sentiment fraternel se développe quand on comprend qu’on ne doit pas faire subir ses états négatifs aux autres, d’autant plus qu’il n’est même pas sûr qu’ils puissent faire quelque chose pour vous. Alors, à quoi cela sert-il de les accabler ? Au lieu de perdre votre temps dans des plaintes et des récriminations, cherchez parmi tous les exercices que notre enseignement met à votre disposition ceux qui vous aideront à surmonter vos tristesses, vos déceptions, vos angoisses.

Vous sentez que vous êtes en train de perdre la joie, l’amour, la paix, l’espoir, la foi… Voici encore une méthode pour les retrouver. Écrivez ces mots sur une feuille de papier, prenez-la ensuite dans une main, puis en levant l’autre main vers le ciel, cherchez à capter les courants porteurs de ces bénédictions. Quand vous avez la sensation de saisir un de ces courants, concentrez-vous fortement, puis placez votre main sur le plexus solaire afin de le faire pénétrer en vous.  »

                                                                                                      Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 18 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

leçon de sagesse :

leçon de sagesse :  dans mystique sagesse aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

« Rabbi Chimôn, fils de Gamliel a dit :

 « Le monde ne subsiste que par trois choses : la Justice, la Vérité et la Paix ». Tant que la Justice cherchera à se faire au mépris de la Vérité, aucune Paix ne sera possible.

 

 

 

Publié dans:mystique sagesse |on 18 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Une sénatrice comme les autres

Bien entendu, toute ressemblance avec des événements ou des personnages de l’actualité ne serait que purement fortuite.

Une sénatrice comme les autres  dans mes écrits et ceux des autres aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaapoesie 

Madame la Sénatrice des Huns

Qui n’écoutait jamais les autres

Se découvrit un beau matin
Un rôle de nouvelle apôtre

 

Faisant électoralement ses emplettes
Fervente mais discrète amie des bêtes
Ses étonnant soutiens Dieudonnistes
Front de Gauche et B.B istes
N’eurent pas de mal à persifler
Combien l’égorgement les éraflait

 

Fonctionnaire inconnue et butée
Obscure anonyme au fond d’une Assemblée
Histoire pourtant de bien sortir du tas
Trouva opportunément ici son noble combat

Sans compromettre salaire ni carrière
De beaux sondages à la lisière
Des entrevues et des photos :
La célébrité pour les originaux !

 

Lorsqu’un médiocre site de quidam
Murmura à la naïve Madame
Sur malversations et sionisme
Vieux stéréotypes du Judaïsme

« Tout se tient » lança-t-elle alors
Cruauté et détournement en pays tricolore
« Ce lobby étranger sera vite aux oubliettes
Quand viendront enfin mes étiquettes »

 

Las, d’intelligence et de lumière
Son pauvre esprit n’en aimait guère
Confusion, obstination, bêtise
Sa place était-elle en psychanalyse ?

Mathématiques, logique et raison
N’étaient pas non plus de ses passions
Manipulant plutôt les grandes émotions
Elle préféra s’en prendre « bêtement » à Sion

 

Ni pourcentages ni déclarations d’experts
Ne pourraient la faire changer d’air
Pourquoi diantre écouter les scientifiques
Alors qu’il suffit d’être démagogique ?

 

S’il est vrai que l’animal vous est si proche
Comment vivez-vous, Madame, sans aucune anicroche
Vos ripailles de gibiers, huîtres et homards
Sans que vous ne soyez envahis de cauchemars ?

Comment tolérez-vous en vos sous-bois
Les festins de poulets en cage, et le gavage d’oie ?
Amnistiant derechef crustacés, Réveillon et Corrida
Vous penser ce faisant étiqueter au moins Al-Qaida ?

Cuir a vos souliers, et sur vos canapés,
Le confort bourgeois vous aura aveuglé
Étourdissements ratés et promesse de s’améliorer
Suffiront efficacement à grossièrement vous abuser
Mais animaux et mineurs, dans la même souffrance
Se rejoignent au labeur, malgré votre étonnant silence

 

Avant donc de vous occuper du marginal,
Commencez donc par le gros principal.
Rigueur, cohérence, honnêteté
Est ce trop vraiment vous demander ?
Quoiqu’ inédites vertus pour vous
Elles n’obscurciront pas vos interviews

Navrance enfin,que d’un Palais de la Nation,
Soit rétribué une servante avec si peu de raison
Mais, la liberté de conscience en survivra,
Quoiqu’en dise un membre temporaire du Sénat !

http://miseentrentaine.wordpress.com/2013/07/23/fable-la-senatrice-et-les-bovins-ou-le-carnivore-etiquete/#comment-549

Publié dans:mes écrits et ceux des autres |on 18 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le vieil homme grincheux

 

Quand ce vieil homme est finalement décédé dans la salle d’hôpital gériatrique d’un foyer de soins infirmiers dans une ville australienne, on a cru qu’il n’avait plus rien.

Plus tard, quand les infirmières fouillaient à travers ses maigres biens, elles ont trouvé ce poème. Sa qualité et son contenu impressionnèrent tellement le personnel, que des copies ont été faites et distribuées à chaque infirmière à l’hôpital.

Le poème unique du vieil homme a depuis été publié dans les éditions de Noël des magazines dans tout le pays et est apparu dans des magazines consacrés à la santé mentale.

Ce vieillard, avec rien à donner au monde, est maintenant l’auteur de ce poème « anonyme » célèbre sur internet…
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«Le vieil homme grincheux »

«Que voyez-vous, infirmières?…Que voyez-vous ?
À quoi pensez-vous… quand vous me regardez ?
À un vieil homme grincheux…pas très sage.
Habituellement incertain… avec les yeux lointains ?
Qui évite sa nourriture… et qui ne répond pas.

Quand vous dites à haute voix… « Je veux que vous essayiez! »
Qui ne semble  pas remarquer… les choses que vous faites.
Et qui perd toujours… une chaussette ou un soulier ?
Qui, résistant ou non… vous permet de faire ce que vous voulez,
Me lavant et me nourrissant… longue journée à remplir ?

Est-ce à quoi vous pensez?…Est-ce ce que vous voyez

Alors ouvrez donc vos yeux, infirmières… vous ne me regardez pas,

Je vais vous dire qui je suis… pendant que je suis bien assis ici,
Pendant que je fais ce que vous voulez… que j’ai mangé à votre volonté,

Je suis un jeune enfant de dix ans… avec un père et une mère,
Des frères et sœurs… qui s’aiment les uns les autres,
Un jeune garçon de seize ans… avec des ailes au lieu des pieds,
Rêvant que bientôt… une amoureuse je rencontrerai.
Un mari maintenant à vingt ans… mon cœur fait un bond.
Me rappelant les vœux… que j’ai promis d’honorer.
À vingt-cinq ans, maintenant…j’ai un fils à moi,
Qui a besoin de ma guidance… et d’un foyer heureux et sécurisant.
Un homme de trente ans… mon fils maintenant grandit vite,
Liés l’un à l’autre… avec des liens faits pour durer.
À quarante ans, mon jeune fils… a grandi et est parti,
Mais ma femme est à côté de moi… pour s’assurer que je ne pleure pas.
À cinquante ans, une fois de plus… les bébés s’agrippent à mes genoux,
Encore une fois, nous connaissons l’enfance… ma bien-aimée et moi.

Les jours sombres sont sur moi… ma femme est maintenant morte.
Je regarde l’avenir…je frémis d’effroi.
Pendant que mes enfants élèvent… des jeunes qui leur sont propres,
Je pense aux années… et à l’amour que j’ai connu.
Je suis maintenant un vieil homme… et la nature est cruelle,
Faite pour rendre la vieillesse… avoir l’air stupide.
Le corps s’émiette… la grâce et la vigueur, parties.

Il y a maintenant une pierre… où autrefois j’avais un cœur.
Mais à l’intérieur de cette vieille carcasse… un jeune homme habite toujours,
Et de temps à autre… mon cœur battu se gonfle.
Je me souviens de la joie…je me souviens de la douleur,
Et j’aime et je vis… la vie encore une fois.
Je pense aux années, trop peu nombreuses… passées trop vite,
Et j’accepte le fait austère… que rien ne peut durer.

Alors ouvrez vos yeux, les gens… ouvrez et voyez,
Pas un vieil homme grincheux, regardez de plus près, voyez…Moi !»

Publié dans:Non classé, poemes |on 17 novembre, 2013 |3 Commentaires »

leçon de vie et de sagesse : les paroles de vérité

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« Même si vous les avez oubliées, toutes les paroles de vérité que vous avez lues ou entendues remonteront un jour à votre conscience. Car ces paroles qui possèdent une force, la force que donne la lumière, se sont à votre insu gravées en vous, dans votre subconscient, où elles font leur chemin, et tôt ou tard, au moment où vous vous y attendrez le moins, à l’occasion d’une rencontre, d’un événement, vous ne pourrez pas leur échapper.

Vous direz : « Mais alors, la vérité ne nous laisse jamais en paix ! » Cela dépend de ce que vous appelez la paix. Si vous appelez la paix la possibilité de donner sans discernement libre cours à vos pensées, vos sentiments, vos désirs, vos caprices, ne soyez pas étonné si quelques vérités que vous avez entendues auprès d’un sage, d’un Initié viennent vous prévenir que vous êtes en train de vous égarer. Et ces vérités vont un peu vous piquer, vous mordre, vous tirer les cheveux. Là, c’est vrai, elles ne vous laisseront pas tranquille.

Mais si vous les avez acceptées et si vous avez pris la bonne direction, là, quelle paix vous allez goûter ! »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 16 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

citation de Pierre Doris

 

citation de Pierre Doris dans jouer avec les mots - expressions aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaapierre-doris

 

« Tolérance : c’est quand on connaît des cons et qu’on ne dit pas les noms. »

de Pierre Doris

Publié dans:jouer avec les mots - expressions |on 16 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

MAIS DANS QUELLE LANGUE FAUT-IL LE DIRE ?

MAIS DANS QUELLE LANGUE FAUT-IL LE DIRE ? dans coup de gueule aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaabld-voltaireislam

Grandes villes et capitales de l’Europe vont bientôt tomber !

 

NON. Non au changement de peuple et de civilisation, non à l’islamisation de l’Europe, non à l’asservissement de notre pays.

 

Avez-vous été choqué par les sifflets et les huées à l’encontre de François Hollande durant les commémorations du 11 Novembre sur les Champs-Élysées, mais aussi à Oyonnax ?

Choqué n’est pas le mot. Ces huées étaient assez prévisibles. Mais je dirai, pour emprunter le ridicule sabir d’époque, qu’elles « ne sont pas dans ma culture ».

Elles sont un signe parmi d’autres, et certes pas le plus grave, d’une société qui se délite, qui perd le sens de la convention, de l’abstraction, de la non-coïncidence avec soi-même dont la civilisation et l’État de droit ont pourtant le plus grand besoin.

De mon point de vue, que vos lecteurs commencent à connaître, ni François Hollande, cela va sans dire, ni la haine de François Hollande ne sont à la hauteur de la tragédie qui se joue, le changement de peuple, le Grand Remplacement, la conquête coloniale de notre pays et du continent.

On voit les grandes villes et bientôt les capitales de l’Europe tomber les unes après les autres. À Marseille, déjà, l’élection municipale se joue entièrement en termes ethniques. Il ne s’agit plus que de savoir si c’est bien cette fois que la seconde ville de France va officialiser sa soumission à nos conquérants et remplaçants, sous le couvert de la fiction républicaine, de moins en moins tenable, qu’il n’y a de part et d’autre que d’excellents Français, comme il n’y a à Bruxelles que d’excellents Belges, sans doute, et à Londres d’excellents Anglais. Bien entendu les socialistes, en bons apprentis sorciers, jouent avec cette fiction qui a la loi pour elle car ils en espèrent le pouvoir, gardé ou conquis contre toute espérance.

Et ils seront emportés les premiers par cette vague qu’ils caressent, car nos remplaçants, une fois qu’ils nous auront remplacés, mépriseront plus encore les remplacistes, dont les socialistes sont la fine fleur, que les résistants comme nous.


 LA SUITE ICI :

http://www.bvoltaire.fr/renaudcamus/grandes-villes-et-capitales-de-leurope-vont-bientot-tomber,41120?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=cfbf3a3bec-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-cfbf3a3bec-30406625


Publié dans:coup de gueule |on 13 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

enfant de la guerre

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J’ai 4 ans…
Mon seul but est de vivre.
Pourtant, je dois mourir…
Jamais je n’aurais 5 ans.

J’ai 4 ans…
Je serai fusillé.
Je n’aurais guerre connu la liberté.
Pourtant, je ne suis qu’un enfant.

Quatre ans, c’est grand…
Mais ça ne dure pas longtemps.
Je voudrais connaître le soleil
Pour qu’il m’émerveille.

Pourquoi la guerre ?
Pourquoi faire mourir ma terre ?
Pourquoi avoir tant de peur ?
Pourquoi n’ai-je pas le droit au bonheur ?

Je ne suis qu’un pauvre enfant…
Qui, un jour, aimerait être grand ?
Jamais je ne pourrais être un goéland….
Seulement un ancien combattant.

Demain, je serai fusillé…
Demain, je serai mort…
Mon amour de vivre sera tué…
Mon être ne sera qu’un ancien trésor.

J’ai seulement 4 ans…
Je te dis adieu…
Adieu, ma maman…
Est-ce qu’après…

Je serai encore malheureux ?

Adieu, mes amis…
Adieu, la vie…
Adieu les fleurs…
Adieux le bonheur.

Je suis né…
Est-ce pour être fusillé?
Lorsque je serai mort…
Vont-ils avouer qu’ils ont eu tort ?

Mon cœur a tant de choses à dire…
Pour quelle raison doit-il mourir ?
Il n’a pas fini de grandir
Mais il a encore son sourire.

J’ai 4 ans…
Jamais je n’aurai 5 ans
Mes yeux cependant ont mille ans
Car ils en ont vu tant… pour un enfant.

Adieu maman !
Adieu papa !


Ça y est, tout est terminé
Ma vie vient de m’être enlevée.
Eh oui ! Je viens d’être fusillé !

J’ai pleuré, supplié…
Hélas, ils ne m’ont pas écouté.
Je n’avais que 4 ans…
Adieu maman !

K.B.

extrait de chez Maya

Publié dans:poemes |on 8 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : les animaux

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« Même si nous ne leur prêtons pas tellement attention, les animaux font partie de notre vie et certains mènent à côté de nous une existence dont nous aurions beaucoup à apprendre. Vous parlez à un animal et il fait semblant de ne pas vous comprendre ; en réalité, il peut très bien comprendre, mais quand ça lui plaît. Nous ne savons pas ce qui se passe dans la tête des animaux, mais peut-être savent-ils mieux que nous ce qui se passe dans la nôtre. Nous ne les comprenons pas, ils sont comme des énigmes posées devant nous, mais eux nous comprennent, ou plus exactement, ils nous sentent.

Par moments, en essayant de capter le regard de certains animaux, nous avons l’impression qu’ils nous cachent quelque chose. Pourquoi cette impression ? Parce qu’en réalité il arrive qu’ils soient habités par des entités astrales qui nous observent à travers leurs yeux. Oui, d’autres créatures vivantes, intelligentes, peuvent nous regarder par les yeux d’un chien, d’un chat ou d’un cheval… C’est ce qui nous donne parfois cette sensation étrange qu’ils sont plus qu’un simple animal. Dans leurs yeux, c’est le regard de ces entités que nous rencontrons. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

PS.- pour avoir eu plus de 300 chats et chiens dont je me suis occupé pendant des années, je confirme que les animaux comprennent ce que nous leur disons mais aussi nos états d’âmes, nos peines et quand s’installe entre nous la confiance totale, c’est alors un concert muet de message d’amour qui nous berce en permanence. Yaël

 

Publié dans:animaux, mystique sagesse |on 6 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Lily est partie pour le grand voyage

 

Lily est partie pour le grand voyage dans animaux lili

Lily n’est plus, elle vient de faire le grand voyage dont on ne revient pas.

Elle est arrivée chez moi en Mai 1997. Elle avait environ deux mois et était aveugle de naissance.

Marlène, une autre petite chatte tigrée, arrivée le même jour qu’elle, était devenue très vite son guide  et c’est pourquoi on ne voyait jamais l’une sans l’autre, Marlène en éclaireur, Lily bonne suiveuse qui se payait même le luxe de courir quand sa copine le faisait.

Les années ont passé, Marlène est partie la première et Lily a continué son petit bonhomme de chemin. Elle ne prenait pas beaucoup de place, se contentant de manger et dormir ou encore, dans les grands moments de sentimentalité , de  venir se blottir contre moi  dans le lit familial.

Petit à petit, son poil est devenu terne, sa démarche incertaine mais comme elle ne semblait pas souffrir, je l’ai laissé mener son existence de petite vieille à sa guise.

Les choses se sont compliquées quand un matin, j’ai vu qu’une patte arrière s’était déboitée ce qui accentuait sa démarche chancelante mais là encore, elle ne semblait pas souffrir.

C’est quand l’appétit a disparu que j’ai compris que la fin était proche mais j’ai attendu les premiers signes de souffrance pour intervenir.

Ils sont arrivés ce matin, des miaulements plaintifs qui signalaient  des douleurs, un refus de manger et alors j’ai su que je devais l’aider à partir dignement.

Les piqures ont fait leur effet, elle s’est endormie tout doucement et maintenant elle repose enfin libérée.

Bien sûr, tu vas me manquer mais tes sœurs, Yaël, Sissi et Chloë sont encore là pour me consoler.

Au revoir ma Lily, tu m’ as donné  plus de seize ans de bonheur et pour cela je te remercie du fond de mon cœur. Yaël

Publié dans:animaux |on 4 novembre, 2013 |Pas de commentaires »
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