Archive pour octobre, 2013

l’histoire du livre

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C’est en 1455 et au prix d’un immense travail que Gutenberg et son associé Johann Fust impriment quelques dizaines d’exemplaires de « la Bible »

Avant cette invention, les livres étaient fabriqués un par un dans des monastères et ensuite dans des ateliers laïcs souvent installés près des universités.

Les livres ainsi conçut étaient vendus à prix d’or aux riches bougeois qui pouvaient se le permettre, mais du fait de la recrudescence du nombre d’étudiants, les ateliers ne suffisaient plus et c’est pourquoi Gutenberg fut accueilli avec un grand enthousiasme.

Les conséquences de l’imprimerie sont énormes car non seulement elle fait connaître une ponctuation jusqu’alors pratiquement ignorée et elle fixe aussi les premières règles grammaticales mais plus que tout, elle donne à beaucoup l’accès à l’instruction et à l’esprit critique car les lecteurs n’étaient plus obligés de s’en remettre aux soit disant connaissances d’une poignée d’érudits et de clercs.

Enfin, grâce ou à cause d’elle, elle participe de façon indirecte à la première fracture intellectuelle dans la chrétienté occidentale avec la réforme de Martin Luther et la naissance du protestantisme

la pensée du jour : le corps, l’esprit et l’âme

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« Le corps de l’homme n’est pas l’homme lui-même, il est seulement sa maison, son instrument, son moyen de transport, un cheval, une voiture… L’homme véritable, il faut le chercher dans l’esprit omniscient, tout-puissant, qui ne connaît aucune limite. C’est pourquoi nous ne pouvons devenir vraiment immortel que si nous parvenons à nous identifier avec notre esprit.

Tout ce qui existe en bas dans le monde matériel, physique, a son origine en haut, dans le monde de l’esprit. Les pierres, les plantes, les animaux, les hommes ont d’abord existé en haut avant de descendre s’incarner ici-bas. La matière physique n’est rien d’autre qu’une condensation de l’esprit.

L’esprit est à l’origine de tout le monde créé, c’est pourquoi il est essentiel pour l’être humain d’avoir cette philosophie de la primauté de l’esprit : c’est à cette condition qu’il peut progresser.  »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

Publié dans:mystique sagesse |on 4 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

expression : mettre la main à la pâte

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« Mettre la main à la pâte  » Participer au travail, à ce qu’il y a à faire.

Cette expression est utilisée dès le XIIIe siècle. Sa signification a évolué, avec d’abord le sens de « agir, intervenir personnellement » (« mettre la main à l’oeuvre »), puis avec une connotation lucrative (« avoir un bon travail où on peut faire du profit »).

Maintenant, mettre la main à la pâte, c’est faire comme le boulanger qui doit travailler lui-même sa pâte pour faire son pain.

Extrait de Expressio

expression : l’erreur est humaine

 

 

« L’erreur est humaine »

S’utilise lorsqu’on cherche à atténuer la responsabilité de celui qui a commis une erreur
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Cette expression est la traduction approximative de la locution latine errare humanum est (« se tromper est humain ») qui est la version raccourcie de errare humanum est, perseverare diabolicum (« se tromper est humain, persévérer est diabolique »).

Elle signifie qu’il est parfaitement normal que l’homme puisse se tromper. Mais si se tromper une fois est parfaitement excusable, il devient impardonnable de persévérer ou, autrement dit, de reproduire la même erreur. Si l’homme est imparfait et donc forcément faillible, nous sommes censés apprendre de nos erreurs.
Voilà donc une excuse que l’on est bien content de pouvoir faire sienne lorsqu’on a commis une bévue, la première (et, bien sûr, la seule) fois où on la commet.

Cette expression est généralement attribuée à Sénèque, même si certains la considèrent comme postérieure, le latin de cette époque n’utilisant généralement pas le terme diabolique, paraît-il.
Cela dit, quand bien même serait-elle vraiment de Sénèque dans la version que nous utilisons encore aujourd’hui, on trouve d’autres formes de la même affirmation chez Tite-Live (cinquante ans plus vieux que Sénèque) ou Cicéron (encore cinquante ans plus âgé que Tite-Live).

écoutez la langue de nos ancêtres

 

Un linguiste américain s’est enregistré en train de lire une fable écrite en indo-européen commun, la langue considérée comme l’ancêtre de toutes les langues contemporaines. Un voyage dans le temps étonnant.

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Portrait d’August Schleicher, 1868. 

 

C’est en 1868 qu’August Schleicher, un linguiste allemand, rédige une fable, celle du « cheval et du mouton », dans une langue totalement inconnue : l’indo-européen commun, parfois renommée proto-indo-européen. Ce dialecte est considéré par beaucoup comme la matrice de toutes les langues, puisque d’usage au sein des populations ayant vécu de 4500 à 2500 ans avant J.-C, bien avant, donc, le latin et le grec ancien.

Cet écrit est d’ailleurs le seul support de travail pour les chercheurs, en raison de l’absence totale de preuve concrète démontrant l’existence de cette langue. Mais ceux-ci sont confiants, notamment Andrew Byrne, de l’university du Kentucky, dont le travail l’a mené à en reconstituer la phonétique, lui permettant de lire la flable à voix haute. Le linguiste s’est d’ailleurs enregistré et a posté le document sur internet, permettant aux internautes d’écouter cette langue peut être ancêtre de nombre de celles parlées à ce jour.

Ecoutez l’enregistrement ici !

Francis Bacon, Descartes, Ludwik Lejzer Zamenhof et son Espéranto ou encore Johann Martin Schleyer et son « Volapük » : nombreux sont les savants, chercheurs et penseurs ayant rêvé d’une langue universelle qui permettrait la communication et l’échange entre tous. Désormais reléguée au rang ingrat de simple utopie, l’idée reste néanmoins toujours d’actualité auprès des linguistes, avec ce rêve un peu fou : découvrir la langue originelle. Une langue, plus ancienne encore que le latin ou le grec ancien, ancêtre d’une majeure partie du patrimoine linguistique contemporain.

le lien ici : 

regardez ! regardez ! c’est une merveille

 

Une petite merveille a regarder sans modération

 

http://youtu.be/93FoCLTtVGw

 

 

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Publié dans:insolite |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Une expérience pas comme les autres : le kibbutz Nir Am

Je suis arrivée en Israël en 1981. Ma première expérience commence par un séjour de 3 mois dans le kibbutz « Nir-Am » Un jour, on ma demandé d’écrire mon « aventure » Je l’ai fait d’autant plus volontiers que j’étais presque sure que cela n’était que le début d’une nouvelle vie, la vraie, celle pour laquelle j’étais venue dans ce monde et………… je ne m’étais pas trompée.

Une expérience pas comme les autres : le kibbutz Nir Am dans les évènement qui font l'histoire aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaakibbuts-niram

LE KIBBOUTZ ET LE VOLONTARIAT –

 

 


C’EST LE RECIT D’ UNE EXPERIENCE ORIGINALE QUI SE POURSUIT ENCORE, REDIGE D UNE MANIERE SINCERE PAR CELLE QUI L ‘A VECUE.

CELA DONNE UNE IDEE DES DIFFICULTES QU ‘AFFRONTENT TOUS CEUX QUI VIENNENT EN ISRAEL AVEC LE DESIR DE CHANGER DE VIE
ET AUSSI DE SERVIR. (note de l’éditeur – année 1981)

 

 

Débarquer, comme ça, un jour en Israël pour tenter de s’y installer quand on est non-juive, que l’on a 42 ans, que l’on ne connaît pratiquement personne, que l’on ne parle pas l’hébreu et très mal l’anglais, c’est soit de la folie soit de l’idéalisme. C’est pourtant une histoire qui existe : c’est la mienne.

La réalisation de mon rêve vieux de 20 ans prend naissance le 7 Mars 1981 quand je descends de l’avion et pose pour la deuxième fois de ma vie le pied sur la terre d’Israël.

Trois jours après, suite à l’intervention d’une famille d’Ashdod avec laquelle je corresponds depuis 2 ans, je me retrouve à Nir-Am (sillon du peuple), Kibboutz situé à l’entrée du Néguev, à 25 km d’Ashkélon et qui comprend environ  180 familles.

Même si l’on ne sait pas qu’il y a quelques dizaines d’années, cet endroit n’était qu’un désert, on est forcé de tomber en admiration devant cette nature luxuriante qui vous souhaite la bienvenue.

Devant vos yeux défilent des haies d’hibiscus, s’enchevêtrent des branches de bougainvillées, le sol est recouvert de fleurs de frangipaniers et chaque maison  est entourée de roses, d’œillets et de plantes grasses.

Frédéric est le responsable des volontaires. Agé de 30 ans, barbu, sympathique et parlant français, il me confie très vite que ma venue pose un problème. En effet, les 40 volontaires actuellement au kibboutz sont âgés de 18 à 25 ans et ne parlent qu’anglais; dans cette ambiance qui n’est absolument pas la mienne, je risque d’être très déçue et de repartir avec une mauvaise impression.

La chance, qui se manifestera d’ailleurs souvent sur mon chemin, va jouer une première fois : une jeune française est arrivée la veille et il y a une place dans sa chambre. C’est grâce à cet arrangement que Frédéric m’acceptera à Nir-Am et me conduira, séance tenante à mes nouveaux « appartements » situés à une extrémité du Kibboutz appelée « ghetto ».

La pièce dans laquelle je pénètre fait partie d’un bloc en fibrociment de 5 chambres en alignement. L’intérieur est sombre malgré les deux fenêtres auxquelles pend, un restant de moustiquaire. Deux lits sur lesquels nous apprendrons à nous asseoir avec précaution, des couvertures qui en ont vu de toutes les couleurs, une armoire sans porte, une table de cuisine en formica rouge et une chaise.

Par contre, pour les murs, nous sommes gâtées puisque nous avons hérité de tous les fantasmes des précédents locataires.

Je digère assez bien ce premier choc et mon « aventure » commence. Les deux premiers jours sont consacrés à la reconnaissance des lieux et au choix de nos tenues de travail qui se composeront de chemises d’hommes, de pantalons trop grands et de vieilles chaussures dans lesquelles mes pieds crieront grâce!

Je suis affectée à l’usine qui fabrique des couverts de table.

Les trois premiers jours, je travaille de 6h du matin à 14h dans une salle de tri, réservée en général aux personnes âgées;  nous manipulons pendant des heures, cuillères,   fourchettes et couteaux que nous sortons des caisses pour les ranger dans d’autres afin qu’ils subissent les dernières retouches de chromage et polissage.

Un matin, je suis envoyée directement devant les machines. C’est une salle immense dont les murs et le sol sont recouverts de projection d’huile et de limaille ; le bruit est infernal car douze mâchoires tournent en cadence régulière au-dessus d’immenses rouleaux de polissage.

J’ai le cœur qui se serre car je pense que je ne vais pas tenir le coup. Pourtant, après deux jours passés dans cette ambiance, je demande à rester dans la salle des machines et mon choix me surprend.

Moi qui, en France ,était attachée de direction, toujours tirée à quatre épingles et ne recevant que sur rendez-vous, comment puis-je trouver un intérêt quelconque à ce travail d’usine d’ou l’on sort taché de graisse et rompu de fatigue? Pourtant, j’aime ce que je fais parce que je me mesure à des éléments nouveaux en ce qui me concerne.
Avant, je travaillais avec mon cerveau, maintenant, j’utilise mes mains ; j’étais assise huit heures par jour dans un bureau confortable, je dois me tenir six heures debout, face à des engins bruyants et sales et de  surcroît, il y a cette ambiance muette, du fait du bruit, où nous devons nous comprendre uniquement par gestes.

Alors que je travaille depuis plus de deux mois dans le cadre que je viens de décrire, je suis brutalement affectée aux champs car la période des melons vient de commencer et nous sommes tous réquisitionné pour ce travail.

Le choc est rude pour moi car je me sens parfaitement intégrée à l’équipe et je n’ai pas envie de la quitter. Mais dans un kibboutz, il n’existe pas de décision personnelle ; seul, l’intérêt de la communauté prime; cela aussi est difficile à admettre pour un esprit français, donc indépendant.

C’est un peu la mort dans l’âme que je pars pour les champs tous les matins à 5 heures, persuadée que cette fois, je vais flancher, d’une part parce que je pense  que physiquement ce sera trop pénible et d’autre part parce que durant tout ce temps passé au kibboutz, mon moral n’a pas toujours été bon. Les premiers temps, j’avais tout à découvrir, ce qui occupait mes moments de loisirs, mais dans un cercle aussi fermé que peut l’être un kibboutz, on parvient très vite à une sorte de routine ; on voit pratiquement toujours les mêmes  personnes on tient à peu près toujours les mêmes conversations, ce dont je me suis finalement lassée.

Quant à mes rapports avec les volontaires, ils étaient excellents mais je commençais à être fatiguée de ces nuits sans sommeil dues aux nombreuses fêtes données par les uns et les autres à grand renfort de cris et de musique et ce, jusqu’à l’aube.

Pourtant j’ai, là aussi, tenu le coup, soulevant durant des heures des seaux remplis de fruits murs et pesant entre 10 et 15 kgs, trié des tonnes de melons en fonction de leur couleur, de leur forme, de leur grosseur.

Moshé, membre du kibboutz, responsable de ce travail, m’a beaucoup épaulée, pétillant d’intelligence et de dynamisme, on ne peut imaginer le potentiel de facultés qu’il possède. C’est chez Olga d’origine roumaine, arrivée à Nir-Am il y a près de 40 ans, au début de la création de celui-ci, que j’étais invitée à tout moment, d’autant plus qu’elle raffolait converser en français .C’est Stéphen, ce jeune volontaire allemand qui se posait beaucoup de questions sur le rôle que son pays a joué voici 40 ans et qui est venu ici pour mieux comprendre ce peuple qui a été opprimé par le sien et peut-être aussi pour demander pardon.?

Au mois de juin, j’ai eu la désagréable surprise d’apprendre que je ne pourrais pas apprendre l’hébreu dans l’oulpan se trouvant dans un kibboutz voisin et en moins de trois semaines j’ai dû trouver une solution.

Ceci m’a conduite à Tel-Aviv où j’étudie depuis deux mois.

De nouvelles aventures et découvertes m’attendaient et m’attendent encore et si aujourd’hui je ne sais pas  de quoi est fait demain, je suis par contre certaine que je vais continuer sur le chemin que j’ai choisi afin que mon rêve devienne réalité

 

Ecrit en 1981

Publié dans:les évènement qui font l'histoire |on 1 octobre, 2013 |2 Commentaires »

la pensée du jour : à l’école de la vie

la pensée du jour : à l'école de la vie dans mystique sagesse aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaecle-de-la-vie

« Qui parmi vous n’a pas entendu dire que la vie est une école ?… Si vous aviez vraiment compris ce que cela signifie, devant chaque nouvelle difficulté vous accepteriez d’avoir là de nouveaux exercices à faire, et vous diriez : « Ah ! Voilà encore une occasion de progresser ! » Et après avoir surmonté cette difficulté, vous vous réjouiriez comme l’étudiant qui a été reçu à un examen.

Un sage ne peut pas rester indifférent aux plaintes de ceux qui viennent lui confier leurs déceptions et leurs souffrances. Mais il est obligé de constater que leur mal vient tout d’abord de leur ignorance de cette vérité première : nous sommes tous venus sur la terre pour étudier, nous exercer.

La plupart sont persuadés qu’ils ne sont là que pour connaître la facilité, le confort, les richesses, l’amour des autres, comme si cela leur était naturellement dû. Eh non, tout cela n’est pas dans les projets de l’Intelligence cosmique. L’Intelligence cosmique veut que les humains soient heureux, mais elle a fait les choses de telle sorte qu’ils ne trouveront le bonheur qu’en développant leur nature supérieure. Or, la nature supérieure ne se développe pas dans le confort et la facilité. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

expression : en catimini

« En catimini  » En cachette, très discrètement.
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Cette locution adverbiale est attestée dès la seconde moitié du XIVe siècle, mais son origine est incertaine.

Il est souvent dit que le mot ‘catimini’ viendrait du grec ‘katamênia’ pour ‘menstrues’ ou ‘menstruations’, mais le lien avec la signification de l’expression est difficile à faire sauf, peut-être, si les femmes de l’époque cachaient leur état régulier.

À l’époque de la naissance de l’expression, il existait également le verbe ‘catir’ pour ‘cacher’, qui a aussi donné ‘faire le catinus’ pour ‘faire l’hypocrite’. Il se peut donc qu’il soit à l’origine de notre mot.

Mais une autre explication vient du picard. À cette période de notre histoire, le chat était considéré comme un animal hypocrite, car il avance en se dissimulant lorsqu’il prépare un mauvais coup comme attraper un piaf ou un rongeur. Or chez les Picards, ‘cate’ désignait une ‘chatte’ et ‘mini’ est de la même racine que ‘minou’ ou ‘minette’.

Le dédoublement du ‘chat’ dans le même mot, même s’il nous semble incompréhensible, était pourtant en usage à cette époque. Ainsi, le mot ‘chattemite’ (‘mite’ étant un ancien nom populaire du chat) existait déjà à la fin du XIIIe siècle pour désigner des manières hypocrites ; de même, l’adjectif ‘marmite’, qui au XIVe désignait un hypocrite, était constitué de l’onomatopée ‘marm’ exprimant le ronronnement du chat et de la même ‘mite’ que le mot précédent. Dans les deux cas, l’hypocrisie imaginée du chat est mise en avant.

À la lumière de ces deux explications et en l’absence de certitudes, rien n’interdit aussi d’imaginer que ‘cati’ vient du verbe ‘catir’ (également d’origine picarde) et que ‘mini’ désigne bien le chat. On retrouverait ainsi le chat qui se cache (avant de perpétrer ses crimes).

Extrait de Expressio

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