Archive pour mars, 2013

expression : ne pas être dans son assiette

expression : ne pas être dans son assiette

 

 

 

 

« Ne pas être dans son assiette  » Ne pas être dans son état normal, physiquement et/ou moralement

De nos jours, quand on pense « assiette », on pense généralement au plat individuel dans lequel on mange.

Mais c’est oublier que l’assiette individuelle n’est entrée dans les moeurs qu’après le XVIe siècle, l’habitude étant auparavant de manger avec les doigts (ou avec la fourchette chez les riches, à partir de Louis XIII) dans le plat commun placé au centre de la table.

En effet, le mot « assiette » a son origine liée au verbe ‘asseoir’. De ce fait, un des sens du mot est, depuis 1580 chez Montaigne, la « manière d’être assis » et, pour les amoureux des équidés, la « position du cavalier sur sa monture ».
Cette association du mot à une position a donné, au figuré et chez le même auteur, le sens de « état de l’esprit » ou « façon d’être ».
C’est cette dernière signification qu’on retrouve dans notre expression.

Certains esprits curieux se demanderont pourquoi le mot assiette a ensuite désigné ce plat individuel. À ceux-là je répondrai que c’est parce que, toujours en restant avec le sens de « position » et dès la fin du XIVe siècle, le mot a désigné la situation d’un convive à une table. Par extension, le service posé à chaque place a également été appelé ‘assiette’ avant que le mot ne désigne finalement plus que le petit plat individuel.

Extrait de « expressio »

Publié dans:Non classé |on 9 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Regardez vous après avoir visionné cette vidéo

 

Regardez vous après avoir visionné cette vidéo dans les évènement qui font l'histoire

Les exemples de “’vrai” courage ne manquent pas .

Nous connaissons déjà « Lola », « Lisa » et aussi « Lou »

Voici maintenant un homme sans bras, sans jambes ; Il s’appelle Nick Vujicic, il est australien et c’est un homme tronc.

Nick Vujicic est né en 1982 à Melbourne en Australie, sans bras ni jambes. Sa vie a été remplie de difficultés et d’épreuves .Diplomé de l’université à 21 ans il commence à voyager en tant que conférencier, se concentrant sur des sujets tels que : « j’ai beaucoup de rêves et je me suis fixé beaucoup de buts à atteindre dans ma vie »

Même si ce qu’il dit est en anglais, donc difficile à comprendre pour ceux et celles qui ne parlent pas cette langue, on voit très vite qu’il  donne, avec humour, une leçon de courage et de persévérance à des étudiants, leur montrant l’importance de ne jamais abandonner face aux épreuves quelles qu’elles soient.

Tous ces jeunes venus l’écouter sont émus jusqu’aux larmes et il faut espérer que l’un d’eux  au moins mettra en application le message qui leur a été délivré ce jour là, faisant de lui un être libre, un homme tout simplement.

Quand je regarde ce genre de vidéo, je pense que nous ne méritons pas la chance que nous avons ; toujours à nous plaindre, à pleurnicher pour un oui pour un non,  nous sommes futiles, envieux, tout simplement parce que nous ne savons pas quoi faire de la vie qui nous a été donnée  et que nous la gaspillons dans des actes et des paroles de peu d’importance.

Nous nous croyons les  maîtres de notre vie alors que nous ne sommes que les maîtres de notre suffisance et de notre ignorance.

Il n’y a pas de plus belle vie que celle que l’on se construit.

 

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un message pour les jeunes actuels

un message pour les jeunes actuels dans coup de gueule

« Bill Gates a récemment prononcé un discours dans une école secondaire à propos de 10 choses que l’école n’apprend pas mais qu’il faut néanmoins apprendre le plus rapidement possible ! Vous pouvez ne pas l’aimer. Mais sachez que, lui, a certainement appliqué les règles qu’il préconise !.. Il parle de bons sentiments et d’enseignements politiquement corrects qui ont créé des générations de jeunes to…talement dépourvus du moindre sens des réalités de la vie. Tout en expliquant comment ce « concept » les prédispose à l’échec dans le monde réel, il donne ici dix règles à suivre.
A faire lire à certains ados « révoltés ». Et à d’autres…

Règle 1 : La vie est injuste : habituez vous!
Règle 2 : Le monde se fout de votre amour-propre.
Le monde s’attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.
Règle 3 : Vous ne gagnerez pas $60,000 par an en sortant de l’école.
Vous ne serez pas vice-président en commençant, avec GSM et voiture de fonction fournis, avant d’avoir mérité, gagné ces privilèges.
Règle 4 : Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d’avoir un patron.
Règle 5 : Travailler dans une friterie n’est pas s’abaisser. Vos grands-parents avaient un mot différent pour ça : ils l’appelaient une opportunité.
Règle 6 : Si vous gaffez, CE N’EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.
Règle 7 : Avant que vous naissiez, vos parents n’étaient pas aussi ennuyants qu’ils le sont maintenant !
Ils sont devenus comme ça :
* En payant vos factures,
* En nettoyant vos vêtements
* Et en vous entendant répéter sans arrêt combien vous êtes bons et cools.
Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans votre propre chambre et tout ce qui s’y trouve
Règle 8 : Votre école s’est peut-être débarrassé du système « gagnant-perdant », PAS LA VIE !
Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse.
Ceci n’existe pas dans la vraie vie !
Règle 9 : La vie n’est pas divisée en semestres.
L’été n’est pas une période de congé.
Et très peu d’employeurs sont disposés à vous aider à VOUS ASSUMER, c’est votre responsabilité.
Règle 10 : La télévision n’est pas la «vraie vie».
Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.
Si vous êtes d’accord, faites circuler, sinon, mettez-vous la tête dans le sable et prenez une grande respiration. »
Bill Gates

Publié dans:coup de gueule |on 7 mars, 2013 |Pas de commentaires »

sur le pont d’Avignon

sur le pont d'Avignon dans les évènement qui font l'histoire

 

Le pont fut construit à l’initiative de Bénézet, qui lui donna son nom. Ce simple berger venu du Vivarais parvint à convaincre les notables de la cité et récolta les fonds nécessaires à sa construction. Les travaux débutent en 1177, à l’emplacement probable d’un antique pont romain en  ruine, l’ouvrage est achevé huit ans plus tard en 1185.

Le pont roman comporte 22 arches et mesure 947 mètres de long, il traverse les deux bras du Rhône jusqu’à la bourgade de Saint André, appelé bientôt Villeneuve. Sa chaussée mesure  4 mètres de large. C’est un ouvrage monumental pour l’époque. Il est le seul pont en pierre au dessus du Rhône entre Lyon et la mer Méditerranée. Il attire les voyageurs, marchands, industriels. Les taxes perçues sur les marchandises font la fortune de la Commune d’Avignon.

Le pont est détruit en partie en 1226 après le siège d’Avignon par le roi de France Louis VIII. Mais il est rapidement reconstruit. L’ordre religieux des frères pontifes, créé par Saint Bénézet, veille à la maintenance et rénovation du pont souvent endommagé par les assauts du Rhône.

Au 17ème siècle, le pont est abimé, il exige des réparations constantes, bientôt trop onéreuses. Les arches de pierres emportées par les crues sont remplacées par des passerelles de bois, puis le pont est abandonné définitivement. En 1674, ses dernières arches menacent de s’écrouler si bien que l’on déplace les reliques de Saint Bénézet de la chapelle Saint Nicolas vers l’église des Célestins

Il reste aujourd’hui quatre arches, consolidées au XIXème siècle, avec la chapelle Saint Nicolas, dédiée à la confrérie des Nautonniers.

Il est une icône d’Avignon. Sa célèbrité lui amène de nombreux visiteurs chaque année

pont_saint_benezet_peinture dans les évènement qui font l'histoire

pont d’Avignon en 1840

contes venus d ‘ailleurs

contes venus d 'ailleurs dans mythes et légendes 

Gardez votre fourchette !

C’est l’histoire d’une dame qui souffrait d’un cancer. Elle était en phase terminale et savait qu’il ne lui restait plus que trois mois à vivre.

Voulant mettre de l’ordre dans ses affaires, elle demanda à son pasteur de venir chez elle pour discuter certaines de ses dernières volontés. Elle lui dit quels cantiques on devait chanter, quels passages de l’Écriture devaient être lus à ses funérailles et dans quelle toilette elle voulait être enterrée. La dame demandait également qu’on l’enterre avec sa Bible préférée.

Tout était en ordre et le prêtre se préparait à partir lorsque la dame se rappela soudain une chose très importante.  » Il y a encore quelque chose « , s’exclama-t-elle.  » C’est très sérieux : je veux qu’on m’enterre avec une fourchette à la main droite.  »

Le pasteur, interloqué, la regardait sans savoir très bien quoi lui répondre.  » Cela vous surprend, n’est-ce pas « , dit la dame.  » Eh bien, pour être honnête, j’avoue que cette dernière demande m’étonne un peu « , répondit-il. La dame s’expliqua.  » J’ai participé bien des fois, dans notre paroisse, à des fêtes et à des banquets, et je me souviens qu’après avoir fini le plat principal il y avait toujours quelqu’un qui lançait : ‘Et gardez votre fourchette, le meilleur est encore à venir’, comme un gâteau au chocolat velouté ou une succulente tarte aux pommes. En tout cas quelque chose de merveilleux et de substantiel! Alors je veux simplement que lorsque les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette à la main, ils s’interrogent et vous posent la question :  » Mais qu’est-ce que c’est que cette fourchette?  » Et je veux que vous leur disiez alors :  » Gardez votre fourchette… le meilleur est encore à venir.  »

Les larmes aux yeux, le prêtre embrassa la dame et prit congé. Il savait qu’il ne la reverrait plus avant sa mort. Mais il savait aussi que cette femme avait compris mieux que lui ce qu’était le Ciel. Elle SAVAIT que quelque chose de meilleur l’attendait.

Aux funérailles, les gens qui s’approchaient de son cercueil la voyaient qui reposait dans sa plus belle robe avec sa Bible préférée et une fourchette à la main droite. Et le pasteur entendit maintes fois la question :  » Mais qu’est-ce que c’est que cette fourchette?  » Et toujours il racontait en souriant la conversation qu’il avait eue avec cette dame peu de temps avant sa mort. Il leur dit aussi que depuis ce jour, il ne pouvait s’empêcher de penser à cette fourchette et que ce sera probablement leur cas à eux aussi. Il avait raison.

Alors la prochaine fois que vous déposerez votre fourchette, rappelez-vous, oh très gentiment, que le meilleur est encore à venir.

Auteur inconnu

 

 

Publié dans:mythes et légendes |on 6 mars, 2013 |Pas de commentaires »

la pensée du jour : l’habitude

la pensée du jour : l'habitude  dans mystique sagesse

« À force de voir et d’entendre tellement de choses, les gens sont saturés, blasés. Ils ont l’impression qu’ils n’ont plus rien à apprendre : ils laissent glisser leur attention sans jamais s’arrêter nulle part, et rien ne s’imprime sur eux. Ils se disent : « Ça, je le sais… Ça, je l’ai vu… et ça aussi, ça aussi… » Alors, ils regardent sans voir, ils écoutent sans entendre. Eh oui, l’habitude. Mais il n’y a rien de plus pernicieux que de se laisser gouverner par l’habitude : on s’abrutit.
Il faut au contraire ne s’habituer à rien et porter un regard neuf, une attention nouvelle sur les idées, les êtres, les choses, et les observer, les étudier comme si on les rencontrait pour la première fois. C’est alors que l’on découvre les liens qui existent entre eux, une lumière se fait et quelque chose de la vie de l’univers se révèle à nous. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Publié dans:mystique sagesse |on 5 mars, 2013 |Pas de commentaires »

expression : à bon escient

 

expression : à bon escient  dans jouer avec les mots - expressions

A bon escient » De manière appropriée
En étant au courant de la situation

 

Les mots escient et sciemment ont la même origine. Issus du verbe latin « scire » qui voulait dire « savoir » en latin classique : « me sciente » signifiait « moi le sachant » autrement dit, tout ce qui toirne autour de ces termes indique que ce que vous faites l’est en connaissance de cause.

Il est amusant de voir qu’un même mot à des sens différents selon l’époque : au XIIè siècle « à mon escient » signifiait « en pleine connaissance de ce que je fais » et au XVIème et XVIIème  « véritablement, sans plaisanter »

extrait de « expressio »

je ne renoncerai jamais !

je ne renoncerai jamais ! dans animaux

Je lis encore trop souvent des phrases du genre :

-après tout ce ne sont que des animaux

-la vie de l’être humain est quand même plus importante que celle des animaux

-c’est grâce à ces expériences là que la science avance et que l’on trouve des solutions pour des maladies qui n’en avaient pas.

-pensez à ces familles dont un enfant est atteint d’une maladie pour laquelle il n’y a pas encore de traitement, si vous étiez à leur place, laisseriez vous votre enfant mourir ?

 

Alors soyons logiques jusqu’au bout et si on admet qu’aucune espèce ne peut servir de modèle biologique fiable pour une autre, qui choisir ?

-les condamnés à perpétuité, déchets de notre société, nuisibles, inutiles ?

-les violeurs récidivistes qui au moins serviront à quelque chose d’utile ?

-les albinos, les handicapés mentaux, les rouquins, les nains, les bossus, les vieillards en fin de vie, en bref tout ce qui dérange notre société bien pensante ?

Et moi je vous demande : et dans cette liste, qui choisissez vous ? Lequel vous parait indigne de vivre parmi nous, mais digne de nous aider à vivre mieux ?

Et là bien sûr, personne ne répondra parce que le peu d’éthique que chacun possède lui interdit de choisir un cobaye qui lui ressemble physiquement comme deux gouttes d’eau.

C’est donc au nom  de la méconnaissance des lois de la nature, de l’égoïsme, de la supériorité dont nous nous croyons investis que nous décidons que les « quatre pattes » sont nos inférieurs et en conséquence seront désignés pour subir tous les traitements inhumains et cruels dont l’homme est capable « au nom de la science » ou plutôt « au nom des apprentis sorciers »

Et bien moi, je dis non ! cent fois non ! mille fois non !

La vie d’une personne que je connais, ne vaut pas plus que celle d’un animal que je ne connais pas.

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme …

François Rabelais

Publié dans:animaux |on 4 mars, 2013 |Pas de commentaires »

la pensée du jour – donner et recevoir

 

 la pensée du jour - donner et recevoir dans mystique sagesse

« Donner et recevoir. On ne peut donner que si on a reçu ; et quand on a reçu, il faut être capable de donner. Toute la vie est fondée sur cette sorte de mouvement perpétuel : l’acte de recevoir engendre naturellement celui de donner ; et tandis que l’on donne, on ne doit pas cesser de recevoir pour pouvoir continuer à donner.
Il y aurait tellement de choses à dire sur la signification et l’importance de ces deux mots, recevoir et donner ! De qui recevoir, comment recevoir ?… À qui donner et comment donner ?… Il faut apprendre à recevoir du Ciel et à donner à la terre. Ce qui suppose qu’on sache immédiatement s’adapter aux circonstances et changer de polarité. Cette qualité peut s’appeler la souplesse. Être souple nécessite de rester toujours vigilant, attentif, afin de n’attirer que les courants qui descendent du Ciel vers la terre et d’en devenir les conducteurs. Tous nos organes, toutes nos cellules doivent s’imprégner de l’importance de cette mission, recevoir et donner. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Très rarement je ne suis pas d’accord avec Omraam, ce sage car pour moi  donner est un acte spontané qui ne nécessite aucune réflexion et qui n’a aucun rapport avec le fait de recevoir.

Par contre je suis d’accord pour dire que si un jour, une personne reçoit une aide de quelqu’un qui passe dans sa vie, elle devra, un jour rendre ce qu’elle a reçu à quelqu’un qui à son tour passera dans sa vie et qui aura besoin d’aide, mais ce « recevoir- donner » s’il doit être automatique,  ne doit pas être calculé, il fait seulement partie des réactions normales que nous devons avoir. Yaël

Publié dans:mystique sagesse |on 4 mars, 2013 |Pas de commentaires »

expression : un chevalier d ‘industrie

 

expression : un chevalier d 'industrie dans jouer avec les mots - expressions

« Un chevalier d’industrie » Un affairiste, un escroc
Un individu qui vit d’expédients

Aussi étonnant que cela puise paraître cette locution date du XVIIème siècle
Avec le sens moderne qu’on connaît aux mots de cette locution, on est en droit de se demander comment elle peut avoir la signification indiquée.
C’est pourquoi nous allons devoir passer par un peu d’étymologie afin d’expliquer cette apparente bizarrerie.

Le chevalier, c’était ce héros de roman où le personnage principal essaie de s’insérer dans une société dans laquelle il n’a normalement pas sa place et pour ce faire, il n’hésite pas à employer des moyens comme la ruse pour vivre aux dépens de ceux qui ont la naïveté de croire en lui.

Quant au mot « industrie » il signifiait au XIVème siècle « activité secrète » et lorsqu’il parait il a la connotation de « moyen ingénieux » puis  il deviendra « habileté à exécuter quelque chose «  et enfin « activité productive ». De l’habileté  et de l’ingéniosité, on évoluera vers  le XVème siècle vers le sens de « finesse » ou encore de « ruse »

Le « chevalier d’industrie » est donc l’aigrefin, l’escroc, qui, habilement, par la ruse et le mensonge, va réussir à s’introduire dans une famille ou une société et à y subsister en exploitant sans vergogne ceux qui croient ses mensonges.

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